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Mardi, 22 Juill. 2025

Alain Juillet (ex-DGSE) s’étonne : Éric Denécé, expert renseignement, retrouvé «suicidé» dans sa voiture… avec une carabine sans empreintes, sans gants, et sans enquête sérieuse

Auteur : Crashdebug | Editeur : Walt | Mardi, 22 Juill. 2025 - 12h17

Ça fait un peu beaucoup, un 22 long rifle c’est vraiment un petit calibre et aucune empreinte, et pas de gants, je croie qu’il reste peu de doute…

***

Alain Juillet sur la disparition d’Éric Denécé : « S’il n’y a aucune empreinte sur la carabine et qu’il n’a pas de gant, c’est bien que ce n’est pas un suicide ! »

Alain Juillet rend hommage à son ami Éric Denécé, ex-officier du renseignement et directeur du CF2R, retrouvé mort le 9 juin 2025 à Serraval, officiellement suicidé. Face caméra, Alain Juillet, ému, loue son intelligence et son courage. Mais il pointe des zones d’ombre : absence d’empreintes sur l’arme, enquête bâclée. Il questionne la thèse du suicide, suggérant une mort suspecte liée aux positions critiques de d'Éric Denécé. Un vibrant appel à la vérité.

« Indiscutablement, Eric fait partie de ces gens qui ont été massacrés par les bienpensants quand il a essayé d’expliquer ce qui s’était passé en Ukraine avant la guerre et les raisons de la guerre ».

Une mort aux zones d’ombre troublantes

Alain Juillet, figure respectée du renseignement, ne mâche pas ses mots : la thèse du suicide d’Éric Denécé ne tient pas. Une carabine 22 long rifle sans empreintes, une enquête de gendarmerie expédiée sans autopsie sérieuse : les faits hurlent l’anomalie. Eric Denécé, connu pour ses analyses percutantes et dérangeantes sur l’Ukraine ou l’affaire Alstom, s’était attiré des inimitiés puissantes, notamment auprès de cercles pro-ukrainiens et atlantistes. Ces derniers, prompts à le taxer de « prorusse », auraient-ils préféré le silence définitif d’un homme trop lucide ?

« Il s’est tout de suite fait traiter de prorusse et il n’a pas pu s’enlever cette image qui lui a été donnée par des gens qui sont évidemment proaméricains ».

Un appel à la vérité étouffé par la Macronie

Dans un pays où les vérités dérangeantes sont souvent balayées sous le tapis, la mort d’Eric Denécé sent le règlement de comptes. Juillet évoque des services étrangers, comme le SBU ukrainien, coutumiers des éliminations ciblées. Pourtant, l’absence d’enquête approfondie trahit une complaisance suspecte des autorités. Sous le vernis de la démocratie, la Macronie semble tolérer que les gêneurs disparaissent, laissant les citoyens dans l’ignorance. Éric Denécé mérite mieux : que la lumière soit faite sur cette mort qui pue le crime d’État.

L’omerta est totale. Médias, parquet et police s’accordent sur cette description : « Sa tête tuméfiée repose sur son épaule, un fusil de chasse à ses côtés. » Absolument personne n’évoque la présence d’une balle. Un silence éloquent qui laisse place à toutes les interprétations, sauf à celle du suicide.

par Yoann - Le Média en 4-4-2


- Source : Crashdebug

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