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Vendredi, 23 Mai 2025

La santé comme nouveau champ de bataille

Auteur : Phil Broq | Editeur : Walt | Vendredi, 23 Mai 2025 - 14h39

Croire que les fabricants de médicaments œuvrent pour la santé, c’est comme croire que les marchands d’armes œuvrent pour la paix. Lorsque ces deux forces se croisent, elles ne construisent pas un monde plus sûr. Elles engendrent l’OMS, une organisation qui, loin d’être un bastion de protection sanitaire, est devenue l’instrument de domination des mondialistes, de manipulation et de spoliation des souverainetés comme des libertés humaines.

Ce 20 mai 2025 marquera une nouvelle page sombre dans l’histoire de la gouvernance mondiale où la 78ème Assemblée mondiale de la santé a officiellement ratifié un «traité pandémique» qui, sous prétexte de protéger la planète, offre les pleins pouvoirs à une institution corrompue jusqu’à l’os nommée l’OMS.

Sous son vernis humanitaire, cette organisation, grassement financée par des intérêts privés comme la Fondation Bill Gates, et dirigée par un homme à la réputation sulfureuse (un ancien ministre éthiopien dont les casseroles incluent de lourdes accusations liées aux massacres au Rwanda) se mue en véritable police sanitaire mondiale. Sans mandat démocratique, sans contrôle parlementaire, sans consultation des peuples, l’OMS s’octroie désormais le droit de dicter des mesures liberticides à des nations entières. Vaccination obligatoire imposée à marche forcée, confinements planétaires décrétés d’un simple claquement de doigts, passeports numériques traquant chaque citoyen. Le tout enveloppé dans l’emballage lisse et cynique de la «sécurité sanitaire mondiale».

Mais cette mascarade n’a pas dupé tout le monde. Certains pays, encore debout, ont refusé de se faire enrôler dans cette farce tyrannique : États-Unis, Russie, Chine, Brésil, Inde, Afrique du Sud, Israël, Égypte, Turquie… Ces nations ont reconnu la manœuvre. Elles ont compris que ce traité n’est rien d’autre qu’un cheval de Troie et une nouvelle tentative de prise de pouvoir globale, un mécanisme soigneusement huilé pour dépouiller les peuples de leur souveraineté et suspendre les constitutions sous prétexte de «crise». Ce n’est plus une théorie conspirationniste, c’est une opération bien réelle qui se déploie sous nos yeux. C’est une stratégie planifiée, une opération systémique pour dépouiller les peuples, suspendre les constitutions et centraliser le pouvoir sous couvert de santé publique. Les «grands» de ce monde n’ont pas construit des hôpitaux. Ils ont bâti des usines à virus pour stériliser et dépeupler la planète entière. Un programme froidement orchestré par une élite technocratique qui ne construit plus que des laboratoires d’expérimentation à ciel ouvert aux quatre coins de la Terre. Tels que les laboratoires officiels de type P4, et tous ceux, clandestins, non répertoriés. Le Covid n’était visiblement que l’échauffement.

Depuis des décennies, des générations entières ont été éduquées, manipulées, et conditionnées à placer une confiance aveugle dans les institutions internationales comme l’OMS, l’ONU, le CDC, le NIH, et GAVI. Ces organisations, massivement soutenues par les gouvernements, les médias et les grandes puissances financières, se sont peu à peu imposées comme des garants de la santé et du bien-être mondial. Elles sont perçues, à tort, comme des bastions d’impartialité, de dévotion humanitaire, et de bienveillance universelle. Mais derrière cette façade lisse et réconfortante se cache la plus perfide des mascarades. Loin d’être des sauveurs de l’humanité, ces institutions sont les rouages d’une machine de contrôle global mise en place pour broyer l’humanité et accomplir un plan machiavélique. Et cette machine n’est pas dirigée par des médecins ou des scientifiques œuvrant pour le bien de l’humanité, mais par des financiers, des technocrates sans scrupules, des industriels allant de l’armement à l’agro alimentation jusqu’aux cartels pharmaceutiques, tous plus intéressés par le profit que par la santé publique et le bien-être de l’humanité.

Très loin de protéger la population mondiale, pour lequel elles avaient un mandat, ces organisations ont surtout tissé un réseau d’influence tentaculaire, un cartel transnational aux intérêts totalitaires et financiers ignobles. Leurs véritables objectifs ne sont surement pas la protection de la santé, mais bien la privatisation des droits fondamentaux, la concentration du pouvoir économique et politique, et l’exploitation sans limites des citoyens comme des ressources naturelles. Le contrôle, cette fois sous couvert de science et de bien-être, est devenu leur vocation suprême. Un contrôle qui ne se limite pas seulement à la santé publique, mais qui englobe la vie privée, les libertés individuelles, et, plus insidieusement, l’autonomie des nations.

Ces cartels transnationaux ont réussi à infiltrer les plus hautes sphères du pouvoir, armés de milliards d’euros, de dollars et de puissants relais médiatiques. Au fur et à mesure que ces organisations ont consolidé leur pouvoir, elles ont mis en place un système complexe et opaque de surveillance mondiale où chaque aspect de la vie humaine est minutieusement observé, mesuré et contrôlé. Ce qui est recherchée, c’est la conformité totale et de tous à leur plan. Les citoyens ne sont plus des individus libres, mais des objets d’expérimentation ou des unités économiques à réguler, exploiter et contrôler.

Tout a été mis en œuvre pour créer un monde où la santé et la sécurité deviennent les justifications idéales pour des mesures d’une violence silencieuse et pernicieuse appuyée par des restrictions des libertés individuelles, de l’obéissance forcée, et la transformation de la population mondiale en un mouvement de troupeau numérique où chaque geste, chaque parole, chaque pensée est traquée, enregistrée, et modulée pour mieux servir les intérêts de ce Nouvel Ordre Mondial mafieux.

L’influence de ces organisations n’est pas seulement économique, elle est aussi profondément politique. Les gouvernements, aveuglés par des financements visant à les corrompre, du chantage sous toutes ses formes et des accords secrets, ont largement laissé les technocrates de l’OMS et les financiers de GAVI dicter les grandes lignes des politiques publiques mondiales. Des décisions cruciales, qui devraient relever des autorités élues démocratiquement, sont désormais prises dans l’ombre, loin de tout contrôle populaire. Par exemple, l’OMS, avec sa charte de neutralité et son prétendu rôle d’organisme international indépendant, a acquis un pouvoir démesuré dans la gestion des crises sanitaires mondiales. Mais cet «indépendance» n’est qu’une illusion. Derrière cette façade de neutralité, on retrouve les mains de Bill Gates, George Soros, et d’autres magnats de l’industrie pharmaceutique, qui dictent les priorités sanitaires non pas en fonction des besoins réels des populations, mais des profits à générer.

GAVI, par exemple, loin d’être une simple organisation humanitaire, est en réalité un moteur de privatisation de la santé mondiale, transformant la santé publique en marché mondial lucratif. Ce qui semblait être une noble initiative pour fournir des vaccins aux populations les plus pauvres s’est rapidement transformé en un mécanisme de domination, où les décisions de vaccination sont désormais gouvernées par des intérêts privés. Le système, loin de sauver des vies, impose une dépendance économique aux pays les plus vulnérables, leur fournissant des solutions imposées, mais d’une efficacité douteuse, et à un coût astronomique.

Dans ce système, tout est orchestré pour diviser et régner, pour maintenir un statu quo économique où l’élite mondiale détient toutes les cartes. Et ce contrôle se poursuit même après la crise avec la surveillance numérique imposée par des outils comme les passeports sanitaires numériques. Et on constate que les crypto monnaies d’état ne sont pas qu’une réponse à une crise sanitaire ou financière. C’est une reconfiguration totale des sociétés humaines, où la liberté individuelle devient une exception et où chaque mouvement est scruté et analysé. La traçabilité des comportements et des échanges commerciaux devient la norme. La vie privée n’est plus qu’une relique du passé. L’individu est transformé en une unité de contrôle dans un système de crédit social où le comportement est évalué, noté et, à terme, manipulé pour servir les grands intérêts économiques.

L’objectif final est d’imposer une dictature technocratique, où les libertés humaines ne sont plus qu’un souvenir lointain. La santé, au lieu d’être un droit universel, devient un moyen d’asservissement ; un outil de domination, où la peur est cultivée et exploitée pour justifier des mesures de contrôle toujours plus invasives et autoritaires. Ainsi, le véritable cartel pharmaceutique, en réalité, n’est pas constitué uniquement de laboratoires et de financiers, mais d’un réseau tentaculaire d’acteurs politiques, financiers et industriels qui s’entrelacent dans une convergence d’intérêts privés, créant ainsi une architecture de domination invisible. Ce gouvernement mondial, non élu et largement opaque, a une seule finalité de maintenir les peuples sous contrôle, réduire à néant toute forme de souveraineté nationale et imposer un système de surveillance totale.

Les véritables maîtres de ce système ne sont ni la science ni l’éthique, mais la rentabilité, l’oppression et le contrôle global. Et à la tête de ce cartel, se trouvent des figures comme Fauci, Obama, Clinton, Biden, Soros, Gates, des hommes et des femmes de pouvoir qui, sous couvert de lutter contre les crises qu’ils créent de toutes pièces, mènent une guerre ouverte contre la liberté, la souveraineté et l’indépendance des peuples.

La pandémie de Covid-19 leur a servi de cheval de Troie et d’entrainement. Car sous le prétexte de protéger les populations d’un hypothétique danger, diffusé à haute dose par leurs médias de propagande, le monde entier a été verrouillé. Les économies ont été brisées, les libertés piétinées, et l’obéissance fut imposée par des pseudos «experts» juges et parties. Mais cette crise sanitaire n’était que l’introduction d’un plan machiavélique bien plus vaste. C’est ainsi que l’Ukraine, ce pays dévasté par la guerre et rongé par la corruption, s’est transformé en un laboratoire biologique secret, où des expériences dangereuses sur des pathogènes mortels se menaient à l’abri des regards internationaux. C’était le terrain de jeu idéal pour une manipulation à grande échelle.

Sous la présidence de Barack Obama, un projet de coopération sanitaire a été lancé en 2005 avec l’Ukraine. Ce que l’on a vendu comme un programme d’aide humanitaire dissimulait en réalité des objectifs bien plus sinistres où des millions de dollars ont été injectés dans des biolaboratoires qui n’étaient pas destinés à sauver des vies, mais à développer des armes biologiques. Un projet qui a pris une ampleur considérable sous la présidence de Joe Biden. À partir de là, Metabiota, une entreprise liée à la recherche biologique, a servi de tête de pont pour infiltrer des fonds et des projets secrets. Il est impossible de dissocier Hunter Biden, le fils de l’ancien président, de cette affaire. Bien que les médias subventionnés aient tenté de disqualifier ces révélations en les qualifiant de «conspirationnistes», des documents et des témoignages prouvent clairement des liens directs entre Biden et ces laboratoires ukrainiens.

Mais la question centrale demeure : pourquoi l’Ukraine, avec son manque de surveillance, ses infrastructures fragiles et ses nombreuses zones d’ombre, est-elle devenue un terrain d’expérimentation biologique privilégié ? La réponse est à chercher dans la combinaison de facteurs géopolitiques et scientifiques. L’Ukraine n’était pas seulement un champ de bataille stratégique, mais aussi un laboratoire potentiel pour des programmes de guerre biologique, en partie parce que les preuves pouvaient y être effacées plus facilement dans le chaos du conflit – notamment sous les bombes russes.

Dans ce contexte, certains observateurs avancent que si Vladimir Poutine a ordonné à ses troupes d’avancer à pied, et non de bombarder massivement certaines installations sensibles, ce n’était pas par faiblesse militaire ou stratégie conventionnelle, mais par souci d’éviter une catastrophe biologique potentielle. En effet, un bombardement aérien de laboratoires impliqués dans des recherches pathogènes aurait pu libérer dans l’atmosphère des agents biologiques dangereux, virus expérimentaux ou agents chimiques, provoquant ainsi une crise sanitaire incontrôlable non seulement pour les populations locales, mais aussi pour les régions frontalières, y compris en Russie.

Dans cette optique, l’avancée terrestre pouvait apparaître comme un choix tactique visant à «neutraliser» ces sites de manière plus maîtrisée, en réduisant le risque de dissémination accidentelle. Cette hypothèse, bien que controversée, offre une grille de lecture alternative aux stratégies militaires adoptées au début du conflit.

Sous la tutelle d’Hillary Clinton, la doctrine de la «recherche à double usage» a pris une place centrale dans les politiques de bio-défense des États-Unis. Derrière cette terminologie aux accents orwelliens se cachait une stratégie habile pour dissimuler des programmes de recherche militaire sur des pathogènes hautement dangereux sous couvert d’objectifs civils ou médicaux. En réalité, cette approche a ouvert la voie à la création d’agents pathogènes génétiquement modifiés, officiellement étudiés pour «mieux s’en prémunir», mais dont l’utilité militaire restait une priorité tacite.

Clinton, à travers son influence diplomatique et juridique, a contribué à institutionnaliser cette militarisation de la médecine, en fournissant un cadre légal et politique permettant de protéger ces projets contre toute forme de transparence ou de régulation internationale. Ce sont les grandes agences fédérales telles que la CIA, la DARPA, et même le FBI, qui ont été mobilisées pour superviser, financer et couvrir ces programmes sensibles, souvent situés hors du territoire américain, dans des pays plus vulnérables à l’opacité, comme l’Ukraine ou la Géorgie.

C’est dans ce contexte que s’est formée l’hostilité profonde de Clinton envers la Russie. Car Moscou, à travers ses services de renseignement, avait mis en lumière certaines de ces opérations biologiques suspectes à proximité de ses frontières, ce qui a provoqué un affront direct à l’hégémonie américaine dans le domaine de la bio-défense. Face à cette menace d’exposition, Clinton et ses alliés ont retourné la stratégie et au lieu de se défendre, ils ont accusé la Russie d’ingérence électorale, créant de toutes pièces la narration d’une collusion entre le Kremlin et l’équipe de Donald Trump. Ce récit, bien que jamais prouvé, a servi de rideau de fumée pour détourner l’attention médiatique et politique des activités biologiques menées sous sa supervision. Ainsi, l’affaire de l’ingérence russe n’a pas seulement été une arme politique contre Trump, mais aussi un mécanisme de dissimulation proactive, une manière de diaboliser un adversaire géopolitique qui menaçait de révéler les véritables enjeux cachés derrière la diplomatie biomédicale américaine.

Anthony Fauci, figure emblématique de la technocratie sanitaire moderne, s’est imposé comme l’un des maîtres d’œuvre de la biopolitique contemporaine, non pas par altruisme scientifique, mais en orchestrant une stratégie à la croisée de la science, de l’industrie pharmaceutique et de la guerre biologique. Sous couvert de recherche pour la prévention des pandémies, Fauci a soutenu, voire dirigé, le financement de projets à haut risque, via des structures comme «EcoHealth Alliance», en transférant des millions de dollars à des laboratoires étrangers, notamment à Wuhan en Chine, pour y mener des expériences de «gain de fonction». Une technique visant à rendre des virus plus infectieux ou plus mortels, supposément pour en anticiper les mutations. Ces activités, financées en grande partie par le NIH et la DARPA, ont bénéficié d’un large soutien de l’appareil d’État, mais aussi de la complicité tacite des grands laboratoires privés, soucieux de breveter à l’avance les traitements des crises qu’ils contribuaient à rendre possibles.

Au-delà du débat scientifique, les méthodes employées dans ces recherches posent une véritable question éthique. Certaines expérimentations sur des animaux, voire sur des groupes humains vulnérables dans des pays pauvres, ont évoqué, pour certains observateurs, une forme de folie médicale digne d’un Joseph Mengele moderne, où le progrès scientifique justifie la transgression des limites morales. Sous la direction de Fauci, un système parallèle s’est consolidé en un réseau opaque mêlant intérêts privés, institutions de recherche, agences de renseignement, et multinationales pharmaceutiques, avec pour objectif non déclaré le contrôle biologique des populations et la monétisation des solutions vaccinales préfabriquées.

Le plus troublant reste que Fauci a su se maintenir au cœur de ce dispositif durant des décennies, tenant les rênes du financement public et transformant la peur sanitaire en levier d’enrichissement personnel et de pouvoir bureaucratique absolu. Sa longévité institutionnelle et son influence sur les politiques sanitaires mondiales témoignent moins d’un succès scientifique que de la solidité d’un système de loyautés croisées, où l’expérimentation humaine est devenue une variable d’ajustement géopolitique et la corruption son moteur.

Lorsque les choses ont commencé à déraper, c’est George Soros, l’homme derrière le rideau, qui est entré en scène avec une puissance financière colossale. Par le biais de ses fondations et d’un vaste réseau d’ONG, il a injecté des millions de dollars pour soutenir certains laboratoires, contrôler les médias, et réduire au silence toute voix dissidente. Aucune décision majeure, aucun mouvement significatif dans cette sphère de pouvoir n’échappait à son influence.

Loin d’être un simple philanthrope, Soros s’est imposé comme un architecte discret mais implacable d’un agenda global, fondé sur la surveillance généralisée, la restriction progressive des libertés individuelles, et la centralisation du pouvoir. Derrière son masque humanitaire se cache, selon certains analystes, une volonté délibérée de déstabiliser les nations souveraines, particulièrement celles incarnant un fort sentiment nationaliste, qu’il considère comme un obstacle à son dessein.

Soros, de tradition talmudique, est animé par une vision millénariste visant à détruire les structures nationales et étatiques, perçues comme autant de barrières à «l’activation de l’arrivée du Messie» et à l’accomplissement de prophéties anciennes. Cette lecture, bien que controversée, alimente chez ses détracteurs l’image d’un homme prêt à tout pour remodeler le monde selon un ordre nouveau, où les identités nationales sont effacées au profit d’une gouvernance mondiale technocratique. Son rôle dépasse largement la simple influence financière puisqu’il s’agit d’un acteur clé dans la manipulation de l’opinion publique, la censure des idées dissidentes, et la protection des intérêts d’un système opaque, au service d’une idéologie qui, pour beaucoup, incarne l’un des visages les plus haineux et destructeurs de notre époque moderne.

Et toujours de connivence avec la CIA et donc le Mossad. Car l’entrelacement historique, stratégique et opérationnel entre les agences de renseignement américaines et israéliennes, en particulier dans le cadre des politiques d’ingérence, de surveillance globale et de déstabilisation ciblée n’est plus à démontrer. La CIA (Central Intelligence Agency) est depuis des décennies un acteur central dans la projection du pouvoir américain à l’étranger. Ses opérations vont de l’espionnage classique à la manipulation politique, en passant par le financement d’organisations tierces et l’orchestration de coups d’État ou de révolutions dites «colorées». Dans de nombreux cas, ces actions sont menées en étroite collaboration avec des alliés stratégiques, parmi lesquels Israël occupe une place spéciale.

Le Mossad, service de renseignement extérieur israélien, partage avec la CIA des intérêts géostratégiques communs, notamment dans la lutte contre les États perçus comme hostiles à l’ordre libéral occidental ou à la sécurité d’Israël. Cette coopération s’est renforcée au fil des décennies, en particulier autour de la surveillance technologique, de la cyberguerre (avec des programmes comme Stuxnet contre l’Iran), et de la manipulation de flux d’information (notamment via les réseaux sociaux et ONG). Ainsi, parler de connivence CIA/Mossad, c’est évoquer un axe de renseignement transnational structuré autour d’objectifs partagés que sont l’affaiblissement des États-nations indépendants, la promotion d’un ordre mondial centré sur les intérêts occidentaux (et israéliens), et le soutien à des organisations et figures alignées idéologiquement avec ces objectifs.

Lorsque des figures influentes comme George Soros ou Anthony Fauci sont liées à des réseaux de pouvoir globalistes, leur proximité idéologique et opérationnelle avec des acteurs comme la CIA les place, de facto, dans une dynamique convergente avec le Mossad. En effet, les intérêts s’alignent sous la bannière du progrès ou de l’humanitarisme, avec la déstabilisation des régimes souverainistes, l’implantation de structures de contrôle transnationales et le soutien à des réformes sociétales disruptives amenée par des ONG et des groupuscules fomentant des révolutions dites «de couleur». Il est clair que la connivence CIA/Mossad est moins une conspiration explicite qu’un alignement stratégique bien documenté, nourri par des décennies de coopération, d’intérêts communs et d’opérations coordonnées sur les plans technologique, politique, et idéologique.

Et puis il y a Bill Gates, l’homme derrière la Bill & Melinda Gates Foundation, qui représente l’un des principaux architectes de ce système d’ingénierie sociale sanitaire. Bien plus qu’un simple investisseur, Gates est devenu l’architecte d’un monde où la santé publique mondiale est utilisée comme instrument de contrôle. La fondation de Gates a permis non seulement de redistribuer des milliards de dollars à des entreprises pharmaceutiques, mais aussi de définir les priorités sanitaires mondiales.

Le rôle central de Gates dans la pandémie de COVID-19 est indéniable. En tant qu’investisseur majeur dans des entreprises comme Moderna, AstraZeneca, et Pfizer, il a non seulement financé la recherche sur les vaccins, mais a aussi manipulé les politiques publiques pour imposer des stratégies de vaccination mondiale, et ce, sans transparence, sans preuve évidente de l’efficacité et de la sécurité des produits. Mais l’objectif de Gates dépasse largement celui de la simple philanthropie puisqu’il manipule l’économie mondiale de la santé, et ses partenariats avec l’OMS lui ont permis de piloter des politiques de santé publique globales, imposant des choix sanitaires controversés à travers le monde. Et son influence dépasse la simple recherche médicale, puisqu’il est à l’origine de technologies de surveillance numérique, telles que les Pass’ sanitaires et les vaccins numériques, permettant un contrôle social mondial et la traçabilité totale des citoyens. À travers des systèmes de géolocalisation sous cutanée et de crypto monnaie (Le brevet WO 2020/060606 A1 n’a officiellement aucun lien avec les vaccins ou le nouveau coronavirus, pourtant il concerne un système de production de cryptomonnaie qui utilise des données d’activité corporelle, et c’est une solution injectable sous cutanée !) et de crédit social, Gates œuvre à la création d’un monde où chaque action est traçable, chaque individu réduit à une simple donnée, et chaque mouvement est soumis à un contrôle numérique totalitaire.

Il est non seulement parfaitement légitime, mais nécessaire, d’examiner avec rigueur et audace les dérives d’un système qui, sous prétexte de santé publique, manipule les crises sanitaires à des fins politiques et économiques. Cette analyse doit se porter sur les dérives autoritaires déguisées en mesures d’urgence, la mise en place de régimes exceptionnels qui suppriment les droits fondamentaux au nom de la sécurité. Il est crucial de questionner les conflits d’intérêts qui jalonnent la gestion mondiale des pandémies, où l’indépendance des institutions de santé publique est souvent mise en péril par des acteurs privés, puissants et influents. Enfin, l’érosion insidieuse des libertés individuelles, sous couvert de prévention sanitaire, ne peut être ignorée car elle représente une menace directe à la démocratie, à la souveraineté des peuples et dorénavant à la vie elle-même. Critiquer ces abus, c’est refuser de céder à la manipulation et revendiquer la préservation de notre autonomie collective.

Ce cartel médico-politique ne s’effondrera pas sous le poids de ses propres mensonges, mais il prospère uniquement grâce à notre passivité. Il ne tombera pas tant que nous le regardons faire, les bras croisés, hypnotisés par ses discours sirupeux et ses fausses promesses de salut. Il doit être dénoncé, nommé, démantelé, sans détour, sans filtre. Il ne s’agit plus de simples erreurs. Ce sont des actes délibérés, calculés, méthodiques. Nous n’avons pas été «protégés», nous avons été soumis, dressés comme du bétail numérique. Chaque mesure imposée, chaque liberté arrachée, chaque vérité étouffée n’est pas une bavure, c’est une stratégie. Le masque est tombé, montrant que ce n’est pas la santé qu’ils veulent sauver, c’est le contrôle qu’ils veulent imposer. Et si nous continuons à attendre, à espérer un retour à la normale dicté par ceux-là mêmes qui ont fabriqué la crise, alors nous mériterons notre servitude. Car ce n’est plus une crise sanitaire, c’est un coup d’État global, rampant, technologique, cynique.

La seule réponse à cette imposture est la révolte. Non pas une révolte aveugle, mais une insurrection de conscience, massive, déterminée, inflexible. La désobéissance n’est plus une option, elle est un devoir. Reprendre le pouvoir, c’est refuser leur narratif, désobéir à leurs injonctions, dénoncer leurs réseaux. Ils ont transformé le monde en laboratoire. À nous de le reconquérir, mètre par mètre, idée par idée, vérité par vérité. Leur empire ne tombera pas par fatigue, il tombera quand nous cesserons d’avoir peur !

Et ce jour-là, ce ne sera pas seulement leur système qui s’effondrera, mais l’humanité qui se libérera…


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