Le pape François, cheval de Troie du mondialisme – François Asselineau

François Asselineau, président de l’UPR, a livré une analyse sans concession du pontificat du pape François et des enjeux géopolitiques entourant sa succession. Selon lui, derrière les apparences spirituelles se cachent des manœuvres de puissances étrangères et des luttes idéologiques déterminantes pour l’avenir de l’Église.
Le Vatican, une institution au cœur des rivalités géopolitiques
François Asselineau rappelle que la papauté, vieille de deux millénaires, a toujours été un enjeu de pouvoir. Les États-Unis, notamment, auraient historiquement influencé l’élection des papes pour servir leurs intérêts, comme avec Jean-Paul II face à l’URSS.
Le pape François, un allié des élites mondialistes ?
Alignement sur l’agenda progressiste : François aurait été promu par les cercles américains (sous Obama) pour favoriser les migrations massives, en lien avec des figures comme Peter Sutherland (Goldman Sachs, Bilderberg).
Positions controversées : Son soutien aux vaccins COVID (traitant les sceptiques de « négationnistes ») et son ouverture aux flux migratoires contrastent avec les strictes règles du Vatican.
Conflit avec Trump : Le pape et l’ex-président américain se sont opposés frontalement sur la question migratoire.
Benoît XVI : une démission forcée ?
François Asselineau avance que Benoît XVI aurait été poussé à la renonciation en 2013 sous pressions financières (blocage des transactions SWIFT), permettant l’arrivée d’un pape plus progressiste.
La succession : un conclave sous haute tension
Influences étrangères : Les États-Unis, la Chine et d’autres puissances tenteraient d’influer sur le prochain vote.
Guerre idéologique : Les traditionalistes (comme le cardinal Vigano) s’opposent aux réformistes sur des sujets comme la morale ou les migrations.
Géopolitique et religion : Le futur pape pourrait soit prolonger la ligne de François, soit incarner un retour au conservatisme.
L’hypocrisie des politiques français
François Asselineau dénonce les éloges hypocrites de personnalités comme Jordan Bardella, qui encensent le pape sans questionner ses liens avec des figures comme George Soros.
- Source : UPR