Sophia Aram aux portes des urgences psychiatriques

L’ultrasionisme est-il une maladie mentale ? sera-t-il intégré dans la prochaine bible des maladies psychiatriques, le fameux DSM (Diagnostic and Statistical Manual of mental disorders) ?
À l’occasion de la mort du pape, qui n’était pas non plus un monstre, juste un petit employé de la dominance mondialiste, la fausse humoriste mais authentique haineuse Sophia Aram a laissé libre cours à sa folie furieuse, mais aussi à sa malhonnêteté. Cela ne surprendra personne mais mérite d’être souligné. Le mélange de haine et de mensonge est très dangereux, c’est un cocktail explosif pour soi et pour les autres. On le voit à Gaza.
Il n’a jamais justifié cela. D’ailleurs vous avez bien pris soin de couper ce qu’il énonce juste avant dans la vidéo: « Tuer au nom de Dieu est une aberration", et la liberté d’expression est un droit fondamental. Pourtant la vidéo est disponible en entier.
— Pierre-Albert Giraud (@pieralgir) April 21, 2025
Étrangement, on nous trouve chaque année de nouvelles maladies mentales – par exemple les enfants suractifs alors qu’ils sont souvent victimes du croisement entre une éducation médiocre, les effets des écrans et la surconsommation de sucres –, mais on n’inclut jamais le mensonge et la haine. Certes, la mythomanie est classée dans le DSM, mais la mythomanie n’est pas le mensonge, c’est un petit pays imaginaire que se forgent des gens qui souffrent d’un réel un peu trop dur. Les mythos, on les voit venir à des kilomètres. Ils sont inoffensifs.
Aramophobie
Comme ce sont les people qui nous intéressent ici, en tant que cas pathologiques connus de tous, on peut citer Alexandre Jardin avant sa révolte contre les ZFE, son nouveau cheval de bataille qui le ramène dans le réel ; le fils Tesson qui se bat contre des panthères des neiges à main nue (l’autre sert à tenir la bouteille) par moins soixante dans les montagnes des Buttes-Chaumont ; et l’abbé Cyrulnik qui nous tartine depuis des lustres avec ses faux diplômes et sa résilience piquée aux Rosbifs. On n’évoquera pas ici la mythomanie absolue sur des décennies du pseudo-spécialiste des serial killers Stéphane Bourgoin, qui mériterait d’en rencontrer un vrai au détour d’un jogging...
Le mensonge politique est à la fois plus subtil et plus dangereux, puisqu’il est fait pour induire en erreur des masses de gens. Par exemple, il y a encore des gauchistes qui croient que Sophia Aram est une humoristes, alors que les expressions de son visage tordues par la haine disent le contraire. On dirait même qu’elle a été mordue par un renard israélien enragé.
Selon la psychiatrie traditionnelle, si la haine peut apparaître dans certaines pathologies, par exemple la psychopathie, elle n’est pas en soi une maladie mentale : on peut être considéré comme normal tout en éprouvant de la haine. Dans les couples se déchirant, c’est fréquent ; dans les pays en guerre, c’est malheureusement banal.
La mythomanie n’est pas une maladie mentale courante, car il y a plusieurs niveaux de mythomanie. On peut se la raconter devant les potes, ou les copines, mais on peut aussi devenir Jean-Claude Romand.
Sophia Aram est à mi-chemin entre ces deux personnages, et on voit dans ses yeux qu’il n’en faudrait pas beaucoup pour qu’elle passe à l’acte, par exemple sur Aymeric Caron. Ici, c’est la folle qui traite les autres de fous, ce qui est un classique du genre. Le Point, qui défend le camp d’Aram, celui du génocide, a trouvé une des rares photos où elle n’a pas l’air trop dingue. Bravo au service icono.
- Source : E&R