Ursula von der Leyen efface les racines chrétiennes : « L’Europe, ce sont les valeurs du Talmud. Am Israel Chai »

Ursula von der Leyen a déclaré en Israël que "l’Europe repose sur les valeurs du Talmud". Elle a encensé Ben Gourion, passé sous silence les crimes historiques du sionisme, et n’a jamais mentionné les droits du peuple palestinien. Cette réécriture historique, combinée à la gestion opaque de milliards d’euros pour des vaccins peu efficaces, signe une dérive grave de la Commission européenne.
Le 14 juin 2022, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne — qui a débloqué des dizaines de milliards d’euros pour acheter des vaccins anti-COVID —, tenait un discours à l’Université Ben Gourion du Néguev. Ce qui aurait pu être une intervention de courtoisie diplomatique s’est transformé en profession de foi idéologique, où l’Europe s’est retrouvée redéfinie à la lumière de valeurs… étrangères à ses fondements historiques. Et le tout sur fond de vaccination de masse opaque, de stratégie énergétique douteuse, et de révision historique soigneusement orientée.
Quand l’Europe devient talmudique ?
Mais ce qui a le plus frappé dans ce discours, c’est cette phrase :
« L’Europe, ce sont les valeurs du Talmud, le sens juif de la responsabilité personnelle, de la justice et de la solidarité. Au fil des siècles, le peuple juif a été « une lumière pour les nations ». Et il sera une lumière pour l’Europe pendant de nombreux siècles à venir. L’héritage de Ben Gourion est durable. […] Am Israel Chai. [NDLR : Longue vie à Israël] »
Von der Leyen : « L'Europe,
— Camille Moscow (@camille_moscow) April 8, 2025
ce sont les valeurs du Talmud »
L’aveu est frontal, fini les racines grecques ou chrétiennes : place au Talmud comme boussole morale du continent. pic.twitter.com/ILsoF6SpXc
Non, Madame von der Leyen, l’Europe n’a pas été fondée sur le Talmud. L’Europe est le fruit de siècles de culture gréco-romaine et, surtout, de christianisme. Affirmer que nos racines culturelles sont talmudiques est historiquement faux, intellectuellement malhonnête et politiquement dangereux.
Surtout quand on sait ce que certains passages du Talmud disent de figures centrales du christianisme : Jésus y est qualifié de « sorcier » condamné à mort, Marie y est insultée. Ce n’est pas une question d’interprétation : ce sont des extraits documentés. Alors pourquoi réécrire l’histoire européenne à la lumière d’un texte religieux qui n’a jamais été le socle de notre civilisation ?
Israël, démocratie modèle ou impunité permanente ?
En louant sans nuance l’héritage de Ben Gourion — « père de la nation israélienne » — Ursula von der Leyen oublie de mentionner l’autre visage de ce fondateur : celui d’un homme qui a justifié l’épuration ethnique des Palestiniens, comme l’ont attesté de nombreux historiens israéliens eux-mêmes (Benny Morris, Ilan Pappé, etc.).
Et que dire du terroriste Jabotinsky, chantre du sionisme révisionniste, qui prônait une domination territoriale sans compromis, au mépris des populations arabes ? Glorifier ces figures sans même évoquer les conséquences humaines de leurs projets revient à légitimer une expansion coloniale en cours. Et à nier les droits des peuples qui en sont victimes.
Une Europe instrumentalisée ?
Ce discours d’Ursula von der Leyen en Israël n’est pas qu’une maladresse diplomatique. Il révèle une dérive grave : celle d’une Union européenne qui, au lieu de défendre ses peuples, ses cultures et ses intérêts, se met au service d’agendas étrangers — qu’ils soient sanitaires, énergétiques ou idéologiques.
Le respect de la mémoire, oui. L’alignement aveugle, non.
La démocratie, oui. L’oubli volontaire de notre histoire, non.
L’Europe mérite mieux que des leçons de morale déguisées. Elle mérite une politique de vérité, de justice, et de souveraineté. Et surtout, elle mérite qu’on ne confonde jamais la défense d’une communauté religieuse avec la soumission à une vision politique d’un autre temps.
Rappel des valeurs talmudistes :
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Leyen : « L’Europe a les valeurs du Talmud »
Ce petit extrait de discours dans une université israélienne en 2022 résonne avec l’actualité. La maquerelle de Bruxelles déguisée en Grand Maître a en quelque sorte avoué son crime. On comprend mieux aujourd’hui le rapport entre son éloge du Talmud, qui représente pourtant l’inverse des valeurs chrétiennes, donc européennes, et sa politique délétère, voire, délirante.
On commence par sa volte-face sur la guerre trumpienne contre la mondialisation et le mondialisme.
4 petits jours séparent ces deux déclarations. pic.twitter.com/Ev4xQ9nznO
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) April 8, 2025
L’UE est au bout du rouleau : elle s’est fait piquer 132 milliards par l’alliance des globalistes américains et des oligarques ukrainiens, après s’être fait piquer 71 milliards par l’alliance des mêmes globalistes américains et du Big Pharma, majoritairement américain.
Von der Leyen : « L'Europe,
— Camille Moscow (@camille_moscow) April 8, 2025
ce sont les valeurs du Talmud »
L’aveu est frontal, fini les racines grecques ou chrétiennes : place au Talmud comme boussole morale du continent. pic.twitter.com/ILsoF6SpXc
Tout le monde ne semble pas d’accord avec l’employée du Diable, par exemple les cathos intégristes, ou, devrait-on dire, les cathos tout court. Ils ont l’avantage de la cohérence et de la pensée durable. Eux n’ont pas changé d’un iota depuis 2 000 ans, et encore moins depuis 1789, 1905 ou 1962, trois dates historiques dans la déconstruction de l’Église par le pouvoir profond.
« Le Talmud démasqué – Les Chrétiens dans le Talmud des Juifs, ou les doctrines rabbiniques secrètes sur les chrétiens » (1892)
— Renaissance Française (@IRFMx) October 17, 2023
Rev. Justinas Bonaventure Pranaitis (1861-1917), de l’Académie Impériale Écclésiastique de Saint-Pétersbourg.
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Si certains trouvent que la Renaissance française avec l’expression « complot satanique » y va un peu fort, il faut juste remettre en perspective les termes dans leur contexte historique. Le Diable d’hier n’est plus exactement celui d’aujourd’hui. Mais ce n’est peut-être qu’un changement d’habit...
Par exemple, le Diable tentateur du Christ dans le désert, vers l’an 20 ou 30, c’est celui qui propose à Jésus le monde, le pouvoir dans ce monde, comprendre en substance : « T’es un gars doué, si tu entres dans le Système tu auras de l’or et des femmes. » Jésus renonce, devient le Christ qui prône l’amour universel plutôt que les magouilles tribales, et finit buté à la JFK par l’élite juive de l’époque.
Le Diable de 1789, ce sont évidemment les loges maçonniques anglaises qui veulent détruire leur grand ennemi, la royauté française. Elles y arriveront, avec la complicité de la bourgeoisie d’affaires qui deviendra (ou qui était déjà) anticatho, on le voit aujourd’hui dans le cinéma, cette machine à ridiculiser nos croyances et traditions. Certes, ces dernières ne sont pas toujours à la page, mais les phrases des Évangiles, pour qui sait lire entre les lignes, ont conservé toute leur puissance explosive.
Le Diable de 1905, c’est évidemment la république – avec un petit « r », vous noterez –, celle de la gauche que fusille, pardon, fustige Moreau dans ses bouquins. Cette théorie a l’avantage d’être durable et de réunifier les aléas de la politique française depuis 250 ans sur un axe majeur.
Le Diable de 1962, ce sont les évêques allemands bien défroqués, bien protestantisés, bien sionisés, qui ont fait payer à l’Église sa frilosité pendant la Deuxième Guerre mondiale, quand les juifs étaient persécutés. À l’époque, on pensait qu’il s’agissait d’un châtiment biblique pour les assassins du Christ. Pie 12 et les nazis, un débat sans fin qui permet au lobby sioniste international de bien culpabiliser les catholiques, de bien enfoncer la tête du pape dans la mer Morte, de le mettre à genoux devant Yad Vashem et de lui faire baiser les pieds du Mossad.
Enfin, le Diable de 1968, qui n’est pas dans la liste, ou qui est encore trop frais, c’est celui de l’américanisme triomphant, de la consommation de masse, de l’idéologie du désir, de la destruction des collectifs et de l’émergence de l’individu, de son moi et de son immaturité, de sa croyance en lui-même et plus en Dieu, de la fin de la transcendance et du début de la dépression. Tout se tient !
Et Leyen là-dedans ? Bof, une petite employée du Diable, de tous les diables, qui fait son taf sans même se cacher, en se référant à un texte de séparatisme absolu et de haine tribale farouche. Le Talmud ? Youssef Hindi, qui l’a étudié, vous expliquera ça mieux que nous. On n’a pas la place ici, tant il y a à dire. Place au livre !
- Source : Le Média en 4-4-2