Notre-Dame était un temple viking ! Le grand réveil, partie 2
Nous avons vu dans le premier article que Notre-Dame de Paris était un livre de pierre écrit il y a 850 ans. « Ces livres qu’on appelait édifices » comme l'écrivait Victor Hugo. Ce livre authentique écrit par nos ancêtres contient une histoire tout à fait insoupçonnée, car s’il s'agit de la propre histoire des Français et de leur identité, ils ont tout oublié. Et pour cause, l’histoire officielle n’est que celle écrite par l’Inquisition, vous savez cette terreur au cours de laquelle on brûla vif des êtres humains, mais aussi tous les livres qui déplaisaient à l’Église, une Église chrétienne qui a ensuite réécrit toute l’histoire à son compte, notamment parce que l’histoire authentique lui était clairement défavorable.
« Il existait à cette époque pour la pensée écrite en pierre, un privilège tout à fait comparable à notre liberté de la presse. Cette liberté va très loin, quelquefois un portail, une façade, une église tout entière présente un sens symbolique absolument étranger au culte, ou même hostile à l’église chrétienne » Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Livre 5, Chapitre 2.
Victor Hugo révèle ici que certaines cathédrales étaient hostiles à l’église, aurait-il existé des cathédrales non chrétiennes ? Notre passé a été totalement obscurci, pour satisfaire l’église chrétienne, mais aussi pour nous priver de notre libre arbitre.
« Celui qui contrôle le passé contrôle l’avenir » George Orwell, 1984 ; « L'histoire est une fable » Napoléon Bonaparte
Heureusement, les livres de pierre comme Notre-Dame ne brûlent pas… Enfin presque, car les charpentes elles, ont bien brûlé. Avant l’incendie de 2019, Notre-Dame de Paris était l’avant-dernière illustre cathédrale Notre-Dame à posséder encore sa charpente d’origine… (Amiens est la dernière rescapée aujourd’hui). Heureusement, il nous reste encore les signes et symboles sculptés dans la pierre il y a 850 ans.
« Cette pensée libre s’écrivait tout entière sur ces livres qu’on appelait édifices. Sans cette forme édifice, elle se serait vue brûler en place publique » Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, Livre 5, Chapitre 2.
Bien que les livres de pierre aient résisté à l’Inquisition, nous ne savons plus les lire, le peuple français est devenu amnésique, il ne comprend plus les symboles qu’il a pourtant jadis écrits, car l’influence occulte de l’Église moderne continue de nous maintenir éloignés de la culture à laquelle cette écriture appartient. Restés jusqu’ici aveugles à des symboles qui étaient familiers à nos ancêtres, le temps est maintenant venu pour nous de retrouver la vue, d’annuler les effets dévastateurs de l’Inquisition et de sortir du lavage de cerveau.
La flèche symbolisait l’arbre sacré celto-viking, on peut même y discerner des groupes de trois triangles (1) qui symbolisent Odin, le père des dieux vikings/
- L’arbre de vie Viking, il était symbolisé par la flèche, on le nommait Yggdrasil/Irminsul, il est aussi l’arbre cosmique qui relie la terre au ciel. La flèche était faite en bois et présentait des stylisations végétales (2) pour symboliser l’arbre. On peut également voir qu’en haut de la flèche trônent des rapaces (3), comme cela est explicitement mentionné dans la mythologie nordique. L’origine de notre arbre de Noël, c’est Yggdrasil ! Dans la Bible, il est prescrit de détruire les arbres sacrés : Deutéronome 12.3 : « Vous démolirez leurs autels, vous briserez leurs statues, vous livrerez aux flammes leurs poteaux (arbres) sacrés, vous abattrez les sculptures sacrées de leurs dieux et vous ferez disparaître leur nom de ces endroits-là. » Juges 6.26 : « Tu offriras un holocauste avec le bois de l’idole (arbre/poteau) » C’est pourquoi, à notre époque de nouvelle Inquisition, le maire de Bordeaux, a fait interdire l’arbre de Noël de la grande place Pey Berland !
Victor Hugo, dans Notre-Dame de Paris, Livre 3, chapitre 1, à propos des cathédrales gothiques :
« Cet art magnifique que les vandales* avaient produit, les académies l’ont tué […] dégradant avec discernement pour la plus grande gloire du Parthénon**. C’est le coup de pied de l’âne au lion mourant »
*Vandales : Au temps de Victor Hugo, c’est comme cela qu’on avait coutume d’appeler les Vikings et les autres peuples Germains ayant migré chez leurs frères Gaulois au cours de l’histoire.
**Parthénon : Temple gréco-romain
« Qu’il y a loin de là à l’époque où Robert Cenalis, comparant Notre-Dame de Paris à ce fameux temple de Diane à Ephèse, tant réclamé par les anciens païens, trouvait la cathédrale gauloise plus excellente en longueur, largeur, hauteur et structure ! »
Observons les symboles les plus présents et les plus caractéristiques des plus illustres cathédrales gothiques : Chartres, Paris, Bourges, Reims et Amiens.
-La Triquetra est un symbole viking et celte, les plus anciennes triquetras connues se trouvent en Scandinavie. Elle caractérise toutes les cathédrales gothiques : La Triquetra symbolise le lien et l’harmonie entre le dieu père Odin et la déesse mère, c’est un symbole géométrique obtenu à partir de 3 cercles entrelacés, ces 3 cercles sont les 3 anneaux, eux-mêmes un symbole celte :
-Les 3 anneaux entrelacés, symbole dominant à Paris, sont une image, une simplification du Triskèle celte. Ces 3 cercles représentent la fameuse déesse vierge mère qui est à la fois une et triple, c’est pourquoi à Chartres il y a 3 vierges, une en haut de chaque portail, ce sont les 3 nornes, les 3 vierges de la religion celto-Viking. Le Triskèle figure à merveille le fil à tisser des 3 tisseuses, les 3 vierges divines de la religion druidique, similaire à la religion nordique, les deux religions sœurs ont fusionné au début du moyen-âge pour résister aux romains puis au christianisme : c’est le druido-odinisme, la magnifique religion philosophique honteusement occultée. En plus du Triskèle, les 3 anneaux de la vierge triple dissimulent également la Triquetra et le Triangle, qu’ils permettent de tracer.
- Le Triangle figure le dieu masculin Odin, lui aussi triple, c’est pourquoi on discerne des groupes de trois triangles sur les cathédrales, il y a trois façades sur chaque Notre-Dame avec un triangle au sommet de chacune d’entre elles. Ces trois triangles sont l’emblème d’Odin, le dieu principal des Vikings, et lorsqu’ils sont entrelacés, ce symbole est nommé le Valknut (signifie « nœud des valeureux »).
Dans la pierre, ces symboles sont ultra-majoritaires et se comptent par centaines, en contrepartie, on trouve seulement, en moyenne, une croix chrétienne par édifice (Zéro à Chartres); qui plus est, comme beaucoup de statues, ces rares croix ne sont pas nécessairement d’origine.
La charpente de Notre-Dame de Paris était riche des inscriptions et signatures runiques des bâtisseurs, attestant de leur foi odinienne et de leur identité celto-viking. L’incendie a tout détruit, ce drame est l’œuvre des néo-inquisiteurs modernes qui combattent encore aujourd’hui l’immense religion démocratique des natifs européens, sans même que ces derniers s’en rendent compte ! Le pouvoir de l’obscurantisme est à la fois fatal et cynique.
- Quant à la croix à six branches, il s’agit de la rune mère Hagal*, emblème des druidesses expertes en pharmacopée, mères de la médecine, dont l’emblème aux origines runiques orne encore les ambulances, comme vous avez pu le découvrir dans notre premier article.
*Rune mère Hagal : Les runes sont l’écriture symbolique des Vikings et des druides du moyen-âge.
- La rune nommée Odal qui symbolise entre autres, le dieu père Odin, est encore visible à Chartres dans le cœur de la cathédrale, sa présence discrète fondue dans le décor lui a permis sa sauvegarde, elle est aussi visible sur le dallage d’Amiens, dont tous les motifs sont celto-viking.
« Toute pensée, soit religieuse, soit philosophique, est intéressée à se perpétuer, l’idée qui a remué une génération veut en remuer d’autres et laisser trace. Or quelle immortalité précaire que celle du manuscrit ! Qu’un édifice est un livre autrement plus solide, durable et résistant ! » Victor Hugo, Livre 5, chapitre 2
Les symboles odiniens sont légion dans les cathédrales, notre exposé n’est qu’un petit échantillon, et nous n’avons pas encore abordé l’architecture qui décrit la philosophie odino-pythagoricienne. Notre-Dame est celto-viking et non pas chrétienne, pour l’œil qui connait cette culture, c’est aussi évident que le cheval cabré symbolise Ferrari et non pas Renault ! C’est pourquoi les agents chrétiens et monothéistes font tout pour faire méconnaître la culture celto-Viking, ils ne veulent pas que les gens s’aperçoivent que les plus belles cathédrales au monde sont en réalité païennes ! A cet égard, mensonges et calomnies sont répandus contre les Vikings, contre les druides, mais Notre-Dame est bien la déesse de la religion druido-odinienne (religion d’Odin, liée à la mythologie celto-nordique et à la philosophie Pythagoricienne).
Dans les trois religions abrahamiques monothéistes, les femmes sont sous considérées, la vierge Marie elle-même n’est pas reconnue comme divine ! En effet, le culte de Marie n’existe pas dans la Bible, c’est tardivement qu’elle fut ajoutée au christianisme afin de récupérer les fameuses cathédrales Notre-Dame pour le compte de l’église chrétienne tout en faisant oublier son origine païenne. Sinon comment expliquer que la vierge Marie, non divine, se trouve au-dessus du dieu unique Jésus-Christ ? Pourquoi avoir attribué les plus belles cathédrales à une simple mortelle ? Parce qu’à l’origine, Notre-Dame n’est pas la vierge Marie, c’est la déesse païenne (elle possède plusieurs noms liés aux cultures locales : Freya, Frigg, Ana, Dana, Amma, Vanadis...)
La véritable trinité Père-Fils-Mère ou Ciel-Arbre-Terre (ces 3 principes sont déclinables à volonté) est symbolisée par la trinité Triangle-Triquetra-Triskèle. On y retrouve également le 3 fois 3 de Pythagore : La Triquetra (3 arcs de cercles) fait le lien entre les 3 cercles féminins et les 3 triangles masculins.
Et c’est parce que Notre-Dame est païenne, qu’elle a subi des attaques : La statistique montre que sur les 11 premières grandes cathédrales gothiques, seules celles dédiées à Notre-Dame ont subi des incendies ! Au total ce sont 36 incendies pour les sept cathédrales Notre-Dame, en face les quatre autres dédiées à des saints n’ont subi qu’un seul incendie ! Si l’on ôte les incendies dus à la seconde guerre mondiale, la statistique est radicale : 32 contre 0 ! N’est-ce pas la preuve d’une hostilité particulière envers la vierge ?
Les Celtes ont continué à exister au moyen-âge, les invasions vikings étaient une croisade pour rétablir l’antique religion celto-nordique, les Germains étaient des celtes, de même que les Slaves étaient des germains, les ancêtres des Espagnoles étaient des celte-ibères, les Italiens des germano-étrusques, et même les Berbères/Kabyles étaient des vandales avant le métissage avec les arabes musulmans. Le point commun de ces anciens peuples : la religion primordiale trinithéiste et philosophique. Les concepts et les idées monothéistes ne sont que l’exacte négation de cette ancienne Tradition sacrée, de cette philosophie divine. Odin et Thor étaient les dieux de la connaissance, de la liberté et de la justice, alors que la déesse Freya était la déesse de l’amour. Cette religion philosophique est la mère de toutes les démocraties. On reconnait Thor et Odin dans Zeus, Freya et Dana dans Athéna et Aphrodite, les trois nornes tisseuses dans les trois moires, les Valkyries dans les Amazones et les valeurs celto-vikings dans la démocratie grecque. La déesse vierge à la fois une et triple est présente dans toutes les anciennes cultures.
Allier la démocratie au spirituel, au sacré, c’est lui donner les moyens de triompher de la sournoise guerre qu’on lui fait, car la démocratie est actuellement en danger. Nous sommes face à une conspiration anti-démocratique, la révolution française n’a pas été remportée par les vrais démocrates, les inquisiteurs ont continué l’obscurantisme et fait triompher le suprématisme monothéiste au sortir de la seconde révolution de 1792-93, au cours de laquelle les nobles et les païens étaient les cibles, l’Église en est sortie presque indemne, au point de pouvoir édifier ses plus beaux monuments, comme le Sacré-Cœur ou le Sanctuaire de Lourdes, à la fin du XIXe siècle !
Ces édifices sont bien catholiques, mais ils sont datés de la fin du 19e siècle ! Les livres de pierre révèlent que le christianisme est une religion beaucoup plus récente que l’on ne le croit et qu’elle s’appuie sur l’obscurantisme allié à une forte propagande historique toujours omnipotente dans nos institutions.
Le monde celto-viking ne s’est arrêté qu’après les terribles guerres de religion de la fin du XVIe siècle, et n’a été effacé des mémoires que par les buchers du XVIIe siècle. Mais au XXIe, siècle de liberté de l’information, les très nombreuses traces laissées par nos sages ancêtres ne peuvent plus être cachées, comme l’avait prévu les derniers druides, en retrouvant les traces, tel le Petit Poucet retrouvant son chemin en suivant les pierres qu’il a jetées, la vérité et la religion démocratique vont renaître. La cathédrale Notre-Dame est aujourd’hui comme un cheval de Troie, elle doit permettre de délivrer la princesse Hellène (image de la déesse)... Notre-Dame symbolise aussi la déesse elle-même, la délivrer c’est lui rendre son identité celto-viking, ce qui équivaut à nous délivrer du mensonge, à retrouver notre identité, notre histoire et notre liberté. L’allégorie de « la princesse à délivrer » c’est aussi retrouver la plus belle partie de nous-même, enfouie au plus profond de notre âme. Quand la princesse sera libérée, plus rien ne pourra arrêter les valeurs démocratiques ancestrales de l’occident, car leur statut de valeurs sacrées et divines sera rétabli. La conspiration antidémocrate, qui ne cesse actuellement de promouvoir les religions monothéistes fachistes, sera vaincue.
Nous verrons dans le prochain article*, l’histoire authentique de l’Occident que révèle Notre-Dame.
*En attendant vous pouvez toujours visionner le film documentaire d’Oleg de Normandie : “Templiers, Vikings et Cathédrales”
Partie 1 : Le grand réveil : Notre-Dame, l'incendie cache un énorme secret
- Source : FranceSoir