Vaccins inefficaces ? Des éléments qui le confirment
Les arguments invoqués sont divers, le plus pertinent étant le caractère expérimental, jusqu’en 2023, des vaccins que l’on nous injecte. Rappelons une fois encore que l’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin ne peut être délivrée, selon l’Agence européenne des médicaments (EMA) et de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qu’à l’issue des trois phases d’essais cliniques sur l’homme si ces dernières sont concluantes. Or, la phase 3 n’est toujours pas achevée. Ce qui fait des actuels vaccinés des cobayes (lire Covid : oui, les vaccins sont expérimentaux ! du 19 mars 2021).
Récemment, le groupe pharmaceutique qui produit le très controversé vaccin AstraZeneca a dû reconnaître dans un communiqué que « l’essai n’a pas atteint le but principal de prévenir les cas de Covid-19 symptomatique après exposition ». En clair : son traitement contre le coronavirus serait inefficace sur les personnes exposées au virus. Ce résultat tombe après une étude réalisée sur 1 121 personnes ayant toutes plus de 18 ans. Celles-ci, non préalablement vaccinées, ont été confrontées à des personnes contaminées pendant les huit jours précédant l’injection. Le résultat est sans appel : la réduction du risque de développer un Covid-19 avec symptômes ne serait que de 33 % ! Qu’en pensent ceux qui se sont précipité tête baissée vers les vaccinodrômes ? Cependant, nous dit-on, des essais se poursuivraient avec des patients n’ayant pas été exposés au virus… Il y aurait encore des courageux, ou des inconscients.
Quand on songe que certains pays, notamment anglo-saxons, ont misé sur ce vaccin, on s’interroge sur le succès de l’immunité collective recherchée. D’aucun n’hésitent pas à établir un lien entre l’usage de l’AstraZeneca et l’augmentation des contaminations outre-Manche constatée depuis quelques semaines. En effet, alors qu’il affichait zéro cas le mois dernier, le Royaume-Uni a vu les contaminations repartir à la hausse. En une semaine, il y aurait eu ainsi une augmentation de 65 % des cas. Des chiffres qui inquiètent sérieusement les Britanniques largement vaccinés (77 % de la population avec deux doses) avec ce produit.
En conclusion, il apparaît de plus en plus précisément que le vaccin AstraZeneca serait moins protecteur que les autres vaccins… dont on ne sait pas grand-chose d’ailleurs faute de recul suffisant. Petite consolation quand-même pour le groupe pharmaceutique AstraZeneca : son vaccin resterait efficace à 90 % pour se prémunir d’une hospitalisations due au variant Delta (un mutant du variant indien).
Une lueur d’espoir bien dérisoire dans le contexte d’une pandémie ne faisant que rebondir au gré des variants qui se succèdent les uns aux autres. Car ce virus grippal est voué à nous pourrir la vie, saison après saison, à l’instar de ses prédécesseurs depuis la nuit des temps, vu qu’il est insensible aux vaccins au-delà de huit mois (au mieux). N’aurait-il pas été plus judicieux d’investir dans la recherche de thérapies efficaces pour passer l’obstacle de la contamination à moindre dégâts ? Certainement pas pour les laboratoires qui voient plus de rentabilité à vendre des centaines de millions de doses vaccinales deux fois par an (lire La martingale de Bill Gates dévoilée du 19 avril 2021) plutôt qu’une molécule à usage des seuls malades. Rien qu’en France, deux fois deux vaccins pour 50 millions de personnes contre une boîte de médicament pour 500 000 malades… Le choix est vite fait.
« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir ».
- Source : Nice Provence Info