Le chef de la banque Mizuho a démisionné et des dizaines d'autres hauts responsables ont subi des sanctions disciplinaires lorsque les faits ont été reconnus.
L'enquête concernera également les concurrents de Mizuho : les banques Mitsubishi UFJ et Sumitomo Mitsui Banking Corporation.
Les dirigeants de Mizuho sont accusés du fait d'avoir accordé des prêts deux ans après qu'il ait été établi qu'ils avaient été utilisés à des fins criminelles.