Oradour sur Glane, les faits
Les faits ont été établis il y a plus de vingt ans.
On peut en suivre le déroulement ici, précédé de trois articles qui documentent au plus près la controverse.
Oradour : j’accuse le dernier témoin
Robert Hébras est le dernier survivant majeur du drame d’Oradour. En 1992, il a publié une brochure intitulée : Le drame d’Oradour, heure par heure. Dans cette vidéo, Vincent Reynouard le prend en flagrant délit d’invention et de falsification. Car voulant sauver une thèse officielle intenable, Robert Hébras en a été réduit à mentir effrontément. Après avoir rappelé ce qui s’est vraiment passé ce 10 juin 1944 tragique à Oradour, documents à l’appui, Reynouard dévoile les tricheries du dernier témoin…
Message de Vincent Reynouard au maire d’Oradour-sur-Glane
J’ose le dire, Monsieur le Maire : ceux qui pourraient vous solliciter pour me censurer prostituent les victimes afin qu’elles rapportent politiquement. Si les morts d’Oradour pouvaient se réveiller, alors ils témoigneraient en ma faveur, pour le plus grand déshonneur des gardiens de la Mémoire.
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard adresse un message sans concession au maire d’Oradour. Après avoir dévoilé l’escroquerie du « devoir de Mémoire » (une mémoire qui « oublie », par exemple, les drames des bombardements alliés sur la France), Vincent Reynouard démontre que ce sont les gardiens de la Mémoire qui falsifient l’histoire à des fins politiques.
Oradour dans le miroir de la vérité
Une petite vidéo à diffuser largement, merci beaucoup à celles et à ceux qui m’y aideront.
En huit minutes, la vérité (occultée depuis 1944) sur le drame d’Oradour.
Pourquoi les Waffen SS sont-ils venus dans le village ? Quelle était leur mission ? Qu’est-ce qui a provoqué la mort des femmes et des enfants dans l’église ? Que s’est-il passé, qui a transformé l’expédition en tragédie ? Les réponses dans ce petit court-métrage.
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Oradour, à quand la vérité ?
Dans cette série en cinq épisodes, Vincent Reynouard apporte une réponse à ces questions.
À bout d’arguments, les gardiens de la Mémoire orchestrent la répression
Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d’Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l’église.
Cette tragédie s’est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.
Sans nier ni les morts, ni l’horreur, ni la douleur des familles, l’histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s’est-il passé dans l’église vers 16 heures et qui a tout déclenché ?
La Justice entame puis esquive le débat historique
Le procès truqué de 1953 contre les « bourreaux d’Oradour »
La nécessité d’établir la matérialité des faits
Pour une vraie réconciliation fondée sur la vérité historique
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Il n’y a donc plus aucune polémique scientifique sur la chose, jusqu’à preuve du contraire. L’enjeu est simplement idéologique, le CRIF teste son emprise, à travers la fabrication d’une hystérie médiatique destinée à occuper le terrain psychologique pendant quelques jours : et il risque d’être fort déçu, de la très faible envie des Français en général pour se laisser embringuer dans une bataille pour un vieux mensonge, et pour les beaux yeux du CRIF. Quant aux autorités locales, intellectuelles, ou nationales, elles développent, comme la population tout entière, une culture du double langage et de la clandestinité, indispensables dans le cadre de la préparation d’actions d’envergure qui ne soient pas simplement suicidaires.
Toutes nos prières vont à l’âme de ces civils innocents morts dans le cadre de règlements de compte en vue de la prise du pouvoir en France, qui ne se sont pas encore soldés par une victoire du camp de la raison, ni du camp de la paix, ni du camp de la justice. La guerre continue.
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- Source : Entre La Plume et l'Enclume