Fusillade de San Bernardino: un témoin indique que les tireurs étaient 3 hommes blancs en tenues militaires

Encore une incohérence majeure dans cette énième fusillade aux Etats-Unis. Alors que la VO nous indique que les tireurs étaient un couple de musulmans radicalisés, ayant récemment fait allégeance à l'EI (sur Facebook...), un témoin de la fusillade indique dans une entrevue avec CBS que les responsables de la fusillade étaient 3 hommes blancs, grands et athlétiques, vêtus de tenus noires militaires.

Ce nouveau témoignage vient confirmer qu'il s'agissait bien de 3 hommes blancs.

C'est également ce qu'indiquait la presse locale dans les moments qui ont suivi la fusillade: "La police recherche 3 hommes blancs avec des tenues militaires".

Autre fait troublant. La Fusillade de San Bernardino qui a fait 14 morts et 17 blessés, a été précédé d'un exercice impliquant un tireur actif il y a à peine deux jours dans la même ville. D'ailleurs, une infirmière qui travail sur place pensait que c'était un exercice car il y a tous les mois des exercices avec ce type de scénario.

Lors d'une conférence de presse donnée à Washington, le procureur général des États-Unis, Loretta Lynch, a déclaré que la tuerie de San Bernardino "nous donne une merveilleuse occasion et un merveilleux moment pour vraiment faire des changements importants".

Le fait qu'un tel exercice ait eu lieu deux jours plus tôt soulève des interrogations car lors d'une précédente opération psychologique impliquant une fusillade aux à l’aéroport de LAX, le chef de police avait indiqué: "nous avions pratiqué (il y a 3 semaines) le même scénario que nous avons mis en scène aujourd'hui." Pourtant, cette "mise en scène" a été vendue au public comme une fusillade mortelle. Est-ce également le cas cette fois-ci?

La dernière incohérence majeure en date est que plusieurs journalistes entre autre de MSNBC ont été autorisés a aller filmer l'appartement du couple mis en cause dans la fusillade alors que c'est une scène de crime qui devrait être scellée et inaccessible en dehors de l'enquête. Pourtant, ils n'hésitent pas à fouiller les affaires de la pièce.

L'appartement ressemble plus à un hall de gare qu'à une zone mise sous scellé. Le journaliste trouve d'ailleurs des photos, des documents qui ont été détruits (qui devraient pourtant intéresser le FBI), des cartes de crédits et d'identité et des exemplaires du Coran. Cette scène plus qu’invraisemblable semble être tout droit sorti d'un mauvais film.

Il est impensable qu'une réelle scène de crime soit non seulement donner en pâture à des journalistes de la sorte mais surtout qu'on y trouve autant d'informations qui devraient avoir été récupérés par la police pour l'enquête. Tout cela ressemble à une mise en scène pour montrer au public ce qu'il a envie de voir.

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