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La chercheuse principale du vaccin Gardasil et du Cervarix fait ses aveux pour qu’elle puisse « dormir la nuit »

Auteur : Realfarmacy (USA) | Editeur : Walt | Mercredi, 25 Nov. 2015 - 10h19

La Dr Diane Harper était la chercheuse principale dans le développement des vaccins contre le virus du papillome humain, le Gardasil et le Cervarix. Elle est la dernière à se présenter et à remettre en question la sécurité et l’efficacité de ces vaccins. Elle a fait l’annonce surprenante à la 4ème conférence internationale sur la vaccination publique, qui a eu lieu à Reston en Virginie, du 2 au 9 octobre 2009.

Son discours était censé promouvoir les vaccins Gardasil et Cervarix, mais au lieu de cela, elle s’en est prise de manière publique à ses employeurs. Interrogés sur la présentation, les membres du public ont fait remarquer qu’ils repartaient en ayant le sentiment que ces vaccins ne devraient pas être utilisés.

« Je suis sortie de l’entretien avec l’impression que le risque d’effets secondaires indésirables est aussi grand que le risque de cancer du col utérin. Je ne pouvais pas m’empêcher de me demander pourquoi nous aurions besoin de ce vaccin » – Joan Robinson

La Dr Harper a expliqué dans sa présentation que le risque de cancer du col utérin aux Etats-Unis est déjà extrêmement faible et que les vaccinations ne sont pas susceptibles d’avoir un effet sur le taux de ces cancers aux Etats-Unis. En fait, 70% de l’ensemble des infections par le VPH se résorbent sans traitement en un an et ce nombre augmente à plus de 90% en deux ans.

La Dr Harper a aussi évoqué l’aspect de la sécurité. Tous les tests sur les vaccins ont été effectués sur des enfants âgés de 15 ans et plus, en dépit de leur actuelle commercialisation pour les enfants de 9 ans.

Jusqu’à présent, 15 037 filles ont rapporté des effets secondaires indésirables du seul Gardasil au Système de Rapport des Effets Indésirables des Vaccins (VAERS) et ces nombres ne concernent que les parents qui ont subi les obstacles requis pour déclarer ces effets indésirables. Au moment de la rédaction, 44 filles sont officiellement connues pour être mortes à cause de ces vaccins. Les effets indésirables observés comprennent le syndrome de Guillain-Barré (paralysie durable pendant des années, ou de façon permanente – et quelquefois finissant par causer la suffocation), le lupus, des convulsions, des caillots de sang et l’inflammation du cerveau.

En général, les parents ne sont pas au courant de ces risques. La Dr Harper, qui a créé ce vaccin, a affirmé qu’elle parlait afin de pouvoir finalement être capable de dormir la nuit.

« Environ 8 femmes sur 10 qui ont été sexuellement actives auront le VPH à un certain stade de leur vie. Normalement, il n’y a pas de symptômes, et dans 98% des cas, il se résorbe de lui-même. Mais lorsqu’il ne se résorbe pas et qu’il n’est pas traité, il peut développer des cellules pré-cancéreuses qui peuvent évoluer en cancer du col de l’utérus » Dr Diane Harper.

Il est nécessaire de comprendre comment les institutions jouent sur les mots pour vraiment comprendre la signification de la citation ci-dessus, et on a besoin de comprendre cette facette restreinte de la « science ». Lorsqu’ils signalent que les cas non traités « peuvent » conduire à quelque chose qui « peut » conduire au cancer du col utérin, cela signifie en réalité que la relation de cause à effet est simplement une conjecture hypothétique qui est rentable si les gens y croient réellement.

En d’autres termes, il n’y a aucune relation démontrée entre le fait d’être vacciné contre les cancers rares et la prévention du cancer, mais il est commercialisé en l’annonçant quand même. En fait, il n’y a aucune preuve réelle que le vaccin peut empêcher le cancer. Du propre aveu des fabricants, le vaccin ne fonctionne que sur 4 souches, alors qu’il y a 40 souches d’une maladie vénérienne spécifique qui meurt d’elle-même en un temps relativement court, et donc la chance qu’il puisse réellement aider un individu est environ la même que le risque d’être frappé par une météorite. Pourquoi les petites filles de 9 ans auraient-elles besoin de vaccinations pour des maladies vénériennes extrêmement rares et sans symptômes que le système immunitaire tue généralement de toute façon ?


- Source : Realfarmacy (USA)

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