Samedi 3 Octobre 2015 : Bienvenue dans le régime policier de Manuel "Big Brother Charlie" Valls
Le samedi 3 octobre, la loi Renseignement, préparée depuis 2013 et facilitée par les attentats de janvier 2015, entre en vigueur.
Le Premier ministre Manuel Valls pourra dorénavant faire procéder légalement et sans l'assistance de la justice à :
- des écoutes téléphoniques
- des intrusions informatiques
- des captations d'images ou de frappes de clavier
- des sonorisations d'appartements et de véhicules
Sous quel prétexte?
Selon le texte fourre-tout et nébuleux de la loi, il s'agira, par exemple, de "prévenir le terrorisme, des atteintes à la forme républicaine des institutions, des actions tendant au maintien ou à la reconstitution de groupements dissous" ou "des violences collectives de nature à porter gravement atteinte à la paix publique"
Extrait d'un article de Panamza publié le 11 septembre 2013 :
"En incarnant la figure incongrue et brutale d’un néoconservateur -tendance Likudnik- à la française, le nouvel israélomane Manuel Valls ne suscite pas seulement des railleries sur les réseaux sociaux ou des interrogations sur la force motrice d’une telle dérive politique. Il inquiète également ceux qui se souviennent que le prétendant à l’Elysée, si proche de Tel-Aviv, dispose également des policiers du renseignement.
Comme le rappelait Roland Dumas dans son autobiographie, « les Israéliens en font à leur guise en France, et manipulent les services de renseignements français comme bon leur semble ». Quiconque deviendrait un obstacle pour l’ambition présidentielle de Manuel Valls -ou le renforcement corollaire de l’influence sioniste sur l’appareil d’Etat- n’est pas à l’abri, comme l’enseigne l’histoire de la Vème République, de barbouzeries et autres manœuvres plus ou moins illicites.
C’est ici que réside le danger pour les libertés publiques : le fanatisme croissant du ministre de l’Intérieur à propos de son « lien éternel » et de son « engagement absolu » est propice à l’accomplissement de toutes les dérives, pourvu que celles-ci soient discrètement perpétrées ou rapidement étouffées."
- Source : Panamza