75 % des médecins refuseraient la chimiothérapie pour eux-mêmes
Aucun des principaux médias n’a jamais mentionné cette étude exhaustive ; elle a été complètement enterrée.
Tim O’ Shea, Chemotherapy – An Unproven Procedure
Selon les associations médicales, les effets secondaires notoires et dangereux des médicaments sont devenus la quatrième cause principale de mortalité après l’infarctus, le cancer et l’apoplexie.
Journal of The American Medical Association, 15 avril 1998
Un grand manque de confiance est aussi évident parmi les médecins. Les enquêtes et les questionnaires montrent que trois docteurs sur quatre (75 %) refusent toute chimiothérapie sur eux-mêmes en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l’organisme humain.
Voici ce que de nombreux docteurs et scientifiques ont à dire à propos de la chimiothérapie :
La majorité des patients atteints de cancer dans ce pays meurent à cause de la chimiothérapie, qui ne soigne ni les cancers du sein, ni ceux du côlon ou des poumons. Cela a été consigné depuis plus de dix ans. Néanmoins, les docteurs continuent à utiliser la chimiothérapie pour combattre ces tumeurs.
Allen Lewin, médecin, UCSF, The Healing of Cancer, Marcus Books, 1990
Si je devais contracter le cancer, je ne recourrais jamais à un certain modèle thérapeutique pour soigner cette maladie. Les patients du cancer qui se tiennent éloignés de ces centres ont une certaine chance de s’en sortir.
Prof. Georges Mathé, Scientific Medecine Stymied, Médecines Nouvelles, Paris, 1989
Le Dr Hardin Jones, conférencier à l’Université de Californie, après avoir analysé pendant de nombreuses décennies les statistiques de survie au cancer, est parvenu à cette conclusion : « Quand ils ne sont pas traités, les patients ne vont pas plus mal, ils vont même mieux ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n’ont jamais été réfutées.
Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, mars-avril 1998
De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants.
Albert Braverman, médecin, Medical Oncology in the 90s, Lancet, 1991, vol. 337, p. 901
Nos prescriptions les plus efficaces sont très risquées, ont des effets secondaires et comportent des problèmes pratiques, et après que tous les patients que nous avons traités ont payé leur dîme, seul un minuscule pourcentage d’entre eux est remboursé par une période éphémère de régression tumorale et généralement partielle.
Edward G. Griffin, World Without Cancer, American Media Publications, 1996
Après tout, et pour une majorité bouleversante de cas, il n’y a aucune preuve que la chimiothérapie prolonge les attentes de survie. Et c’est le grand mensonge de cette thérapie, qu’il y a une corrélation entre la réduction des tumeurs et le prolongement de la vie du patient.
Philip Day, Cancer: Why we’re still dying to know the truth, Credence Publications, 2000
Plusieurs scientifiques à plein temps au Centre du cancer Mac Gill ont envoyé à 118 docteurs, tous experts du cancer du poumon, un questionnaire pour déterminer le niveau de confiance qu’ils avaient dans les thérapies qu’ils appliquaient ; on leur a demandé d’imaginer qu’ils avaient eux-mêmes contracté la maladie et laquelle des 6 thérapies expérimentales actuelles ils choisiraient. 79 docteurs ont répondu, 64 d’entre eux ont dit qu’ils ne consentiraient pas à subir un traitement contenant du cis-platine (un des médicaments communs en chimiothérapie) tandis que 58 sur 79 croient que toutes les thérapies expérimentales ci-dessus ne sont pas acceptables en raison de leur inefficacité et du niveau élevé de toxicité de la chimiothérapie.
Philip Day, Cancer: Why we’re still dying to know the truth, Credence Publications, 2000
Le docteur Ulrich Abel, un épidémiologiste allemand de la Clinique des tumeurs de Heidelberg-Mannheim, a étudié et analysé de manière exhaustive les principales études et expérimentations cliniques effectuées sur la chimiothérapie : « Abel a découvert que le taux global mondial de résultats positifs résultant de la chimiothérapie était effrayant, parce que, simplement, nulle part nous n’avons de preuve scientifique à notre disposition démontrant que la chimiothérapie est capable de “prolonger d’une manière appréciable la vie des patients affectés par les types les plus communs de cancer des organes” ». Able met en lumière le fait que rarement la chimiothérapie améliore la qualité de vie, il la décrit comme désolante du point de vue scientifique et maintient qu’au moins 80 % des chimiothérapies administrées dans le monde sont sans valeur. Mais même s’il n’y a pas de preuve scientifique, quelle qu’elle soit, que la chimiothérapie marche, ni les docteurs ni les patients ne sont préparés à l’abandonner.
Lancet, 10 août 1991
- Source : Croah.fr