Le ministre socialiste Rebsamen veut radier les chômeurs pour faire baisser le chômage...
La bonne solution du ministre franc-maçon socialiste Rebsamen pour faire baisser le chômage: radier les chômeurs!! pas con le Rebsamen.
«On se bat mais cela n'a pas régressé, c'est un échec», admet ce mardi matin le ministre du Travail, face aux chiffres du chômage toujours en hausse. Mais «nous ne baissons pas les bras», assure encore François Rebsamen, invité sur iTélé.
Et de mettre en exergue un paradoxe récurrent : «En France, 350 000 emplois ne trouvent pas preneurs».
Conséquence : «Je demande à Pôle Emploi de renforcer les contrôles pour être sûr que les gens cherchent bien un emploi», lance le ministre socialiste. Si ce n'est pas le cas, «il faut qu'il y ait, à un moment, une sanction», estime-t-il encore. En effet, «c'est négatif, pour ceux qui recherchent des emplois, d'être à côté de personnes qui ne cherchent pas d'emploi». Cette mission de contrôle nécessite un «état d'esprit différent, des convocations et des vérifications (...) Sinon on est radié», insiste François Rebsamen.
Selon les chiffres dévoilés fin août par le ministère du Travail, 26100 demandeurs supplémentaires se sont inscrits à Pôle Emploi en juillet 2014, en «catégorie A», c’est-à-dire recherchant activement un CDI. Soit une hausse du nombre de chômeurs de 0,8% en un mois et de 4,3% en un an. La France compte donc au total 3 424 400 chômeurs de catégorie A.
«Il n'est pas possible, dans un pays qui est en difficulté, qui veut se redresser, qui porte le travail, d'avoir des gens qui ne cherchent pas d'emploi», renchérit le ministre du Travail de Manuel Valls, précisant toutefois que ce n'était «pas la majorité».
Déjà une meilleure coordination avec l'Urssaf
Depuis plusieurs mois, l'administration renforce déjà discrètement le contrôle des chômeurs. Et depuis janvier, tous les conseillers Pôle emploi savent automatiquement si les chômeurs qu'ils suivent ont retrouvé ou non un emploi : l'Urssaf envoie en effet quotidiennement les déclarations préalables à l'embauche (DPAE) remplies par les employeurs. Avant, les conseillers ne pouvaient se fier qu'aux déclarations spontanées des chômeurs.
- Source : Le Parisien