Être contrôlé à Paris par des policiers arabes ou brésiliens…
Il échappe à de moins en moins de monde que les Jeux Olympiques de Paris ont transformé la capitale française en une vaste prison à ciel ouvert, obligeant la population à marcher entre des grillages, comme si les gens étaient en cage, à montrer régulièrement patte blanche via un QR Code, et à devoir accepter de voir des policiers et des militaires de 43 pays de par le monde patrouiller dans les rues. Tout cela sous la surveillance massive de drones et de caméras.
Comme le remarquent de nombreux internautes, les mesures qui accompagnent ces jeux olympiques sont une étape supplémentaire évidente pour imposer le plan mondialiste et banaliser l’idée d’une police internationale, dans la foulée de la police des Nations Unies (UNPOL) déjà existante.
Il y a une forme d’humiliation de la population française de l’amener ainsi à être potentiellement contrôlée sur son propre territoire par des policiers du Qatar, des Emirats Arabes Unis, du Brésil, de Corée, etc, etc.
Habituer les Français à vivre sous cage et sous Pass et à obéir à une police mondialisée : le projet mondialiste !
— Aliyah?? (@Aliyah01150546) July 21, 2024
Ne jamais s’y accoutumer ! pic.twitter.com/ivCkMZPZql
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QR codes, barrages routiers, grèves et cafés vides : Paris se prépare à accueillir les JO
Les mesures de sécurité prises par les autorités françaises posent de nombreux problèmes tant aux habitants qu’aux touristes.
Dans le centre de Paris, 44 000 barrières ont été installées, délimitant des zones dont l’accès est réservé aux détenteurs de QR codes. Sauf que l’identification n’est pas sans anicroche : les écrans des smartphones miroitent au soleil, empêchant la bonne lecture des codes. Tous les piétons ne parviennent donc pas à destination. Ces innovations découragent également les touristes. Résultat : quais, cafés et boutiques sont déserts. Leur chiffre d’affaires a chuté de 30 à 70%.
Les restrictions de circulation pénalisent les livraisons et les transports, notamment les taxis. Les habitants de Paris se plaignent de la difficulté d’atteindre les hôpitaux.
De surcroît, plusieurs syndicats ont l’intention d’organiser des grèves durant la période des Jeux. Ainsi, Force ouvrière prévoit une grève le 26 juillet, jour de la cérémonie d’ouverture. L’organisation syndicale réclame que le montant de la «prime JO», de 300 euros, soit porté à 1000 euros.
Hier, quelques 150 danseurs ont refusé de répéter la chorégraphie lors du filage de la cérémonie d’ouverture. Ils ont levé le poing en l’air pour protester contre des inégalités de traitement.
Une grève des sapeurs-pompiers et des transports est prévue mercredi à Lyon, alors que leur ville doit accueillir les matchs du tournoi olympique de football.
Les JO de Paris se dérouleront du 26 juillet au 11 août. Emmanuel Macron a visité le village olympique situé à Saint-Denis, près de Paris, lundi et a déclaré que tout était prêt pour l’événement.
source : Sputnik Afrique
- Source : MPI