Panthéon : l’avorteuse et le protecteur des assassins bientôt la main dans la main ?
À moins que Badinter n’ait été éternel, ce qui nous aurait évité sa panthéonisation, l’annonce du président de la République ne surprendra personne. Quand on envoie Simone au Panthéon, et fête hanoukka à l’Élysée contre tout principe républicain, on peut tout se permettre.
À Robert Badinter. pic.twitter.com/Xv2CVjbAWZ
Pas sûrs que les autres vrais grands morts – Curie, Dumas, Condorcet, Moulin, Hugo, Jaurès, Rousseau – fassent une standing ovation à l’entrée du défenseur des assassins de Français, enfants compris, après l’entrée de l’avorteuse en chef.
Nos élites jouant contre le peuple et ses représentants naturels, on a bien dit naturels, il est logique de voir arriver des ennemis du genre français dans le caveau de la République, à ne pas confondre avec la salle de spectacles du même nom. Mais vu comme c’est parti...
Autant les légions d’honneur sont distribuées aux copains et aux coquins de l’élite, n’ayant plus rien à voir avec la récompense des actes de bravoure originels, autant on entre maintenant au Panthéon sur une jambe. Plus besoin de faire le bien, il suffit de faire du mal aux Français, et l’affaire est dans le sac. On attend donc la panthéonisation de Castaner, qui a si bien tabassé, éborgné, amputé les Gilets jaunes. Il a défendu la « République », l’autre nom de l’oligarchie.
Le bourreau des innocents
Dans ces hommages nationaux forcés, le public surintoxiqué ne voit pas l’entourloupe, l’attaque de la morale. Le malheureux applaudit même à deux mains celui qui a réussi à marier sa haine des Français prétendument antisémites – les patriotes, tout simplement – avec sa fonction de libérateur des assassins. Quasiment le job du bourreau qu’il a mi à la retraite (il lui a accordé une pension) et remplacé !
Depuis que la peine de mort n’est plus, la perpète disparaît progressivement. Bientôt, on ne prendra pas même deux ans pour un meurtre. Les loges ont fait du bon boulot !
Sardine, celle qui donne toujours le pouls de la sottise, est évidemment tombée dans le panneau. elle récite sans le comprendre le discours médiatico-politique officiel sur le grand mort :
« Il a permis que la France défende les valeurs qui sont profondément celles qu’elle affiche au fronton de ses mairies et qu’elle affiche dans sa Constitution ».
Sandrine Rousseau (@sandrousseau): "Robert Badinter c'est l'homme qui n'a pas suivi les sondages et qui a suivi des valeurs et je voudrais que la gauche reprenne ce chemin-là" pic.twitter.com/NPHZfPLfzI
— BFMTV (@BFMTV) February 14, 2024
En quoi laisser vivre longtemps, voire libérer des assassins qui récidivent, est-il compatible avec la liberté, l’égalité ou la fraternité ?
On va donc se taper une autre cérémonie à la Simone, qui elle a plombé avec sa loi la démographie française, une sorte de crime en douce qui ne dit pas son nom. Si elle avait été accusée de crime contre la nation, ou de crime contre l’humanité française, Badinter aurait heureusement sauvé sa tête !
Heureusement, l’immigration de masse est venue boucher ce trou terrible d’où s’écoulait le sang de la nation, et SOS Racisme a sanctuarisé cet état de fait. Les Français l’ont eu dans l’os, et en plus ils faut qu’ils vénèrent, qu’ils adorent comme des dieux la Veil et le Badinter, qui leur ont pourtant fait tant de mal. Vous avez dit masochisme ? Vous avez dit sadisme ? Vous avez dit inversion des valeurs ?
Macron n’aime pas plus la France, notre France, il est donc facile pour lui de pratiquer ce même sadisme. Après l’avortement et la peine de mort, on va terminer sur le troisième coup de couteau dans la nation.
«Emmanuel Macron ne légalisera pas l’euthanasie de mon vivant»: le dernier combat de Robert Badinter
— Le Figaro (@Le_Figaro) February 13, 2024
S’il est célébré pour avoir permis l’abolition de la peine de mort, l’ex garde des Sceaux a aussi pris position contre la légalisation de l’euthanasie.https://t.co/kjQZDCyIml↓
Badinter avait-il peur qu’on l’euthanasie ?
Au fait, maintenant que la peine de mort n’est plus mais que l’euthanasie est dans la Constitution, on peut éliminer les assassins et les violeurs d’enfants, non ? Ensuite, tout n’est qu’une affaire de consentement et de persuasion...
Robert dit adieu à Simone, « une des femmes les plus remarquables de notre nation »
Laquelle ? C’est toute la question.
- Source : E&R