Elon Musk réagit à la condamnation d’Alain Soral !
La boîte de Pandore est ouverte : la condamnation d’Alain Soral à la prison ferme (pour un commentaire journalistique sur une militante LGBTQ+) n’a pas fini de faire réagir les défenseurs honnêtes de la liberté d’expression ! Preuve en est avec cette publication inquiète du plus grand entrepreneur du monde, le libertarien Elon Musk (qui s’est lui aussi retrouvé confronté au lobby LGBTQ+, de l’autre côté de l’Atlantique).
Richard Hanania (auteur de l’ouvrage "The Origins of Woke") : La Suisse condamne un journaliste à 60 jours de prison pour avoir traité une journaliste de « grosse lesbienne ». NBC News présente cela comme une grande victoire pour les droits civiques. N’oubliez pas qui sont ces gens et ce qu’ils vous feraient s’ils étaient au pouvoir.
Elon Musk : Ce qu’il a écrit était certes grossier, mais en faire un délit pénal… ?
What he wrote was certainly rude, but to make it a criminal offense … ?
— Elon Musk (@elonmusk) October 4, 2023
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Elon Musk commente la condamnation d’Alain Soral à 60 jours de prison pour une insulte : “C’est grossier, mais en faire un délit pénal…”
Dans une récente affaire qui interroge les internautes, le président de l’association Egalité et Réconciliation, Alain Soral, a été condamné à 60 jours de prison ferme en Suisse pour avoir insulté une journaliste du quotidien "La Tribune de Genève", la qualifiant de « grosse lesbienne ». Cette décision de justice a suscité des réactions, notamment celle d’Elon Musk.
Alain Soral condamné à 60 jours de prison pour insulte. Elon Musk s’interroge sur la proportionnalité de la peine.
Cette sentence a déclenché une vague de réactions et d’incompréhension. Alain Soral a reçu un soutien notable, celui d’Elon Musk. Le milliardaire, à la tête de Tesla et de X (anciennement Twitter), a exprimé son point de vue en commentant un article posté par Richard Hanania.
“Ce qu’il a écrit était certes grossier, mais en faire un délit pénal… ?”
En effet, Elon Musk n’est pas le seul à être éberlué par cette affaire qui soulève des questions sur la liberté d’expression et la proportionnalité des peines. Certains internautes ont dénoncé un “deux poids deux mesures”, comparant cette affaire à celle de personnalités comme Pierre Palmade, qui a causé un accident de voiture sous l’emprise de drogues sans passer un seul jour en prison. Et que dire du magistrat à Dijon, Olivier Bailly, qui avait proposé sa fille de 13 ans, sur internet, pour des relations sexuelles. La justice l’a condamné à du sursis et lui a permis de conserver la garde de sa fille.
- Source : E&R