Les journalistes sont devenus les représentants du gouvernement
Aujourd’hui, un ancien directeur de l’information de la chaîne internationale Sky News, ainsi qu’un vétéran d’ITV, a révélé ce que les téléspectateurs n’ont pu que supposer jusqu’à présent : certains réseaux d’information ont dû recevoir l’ordre d’adhérer aux récits du gouvernement sur la « pandémie » sous peine de graves conséquences (telles que la perte des licences de diffusion et d’autres représailles).
Mark Sharman a révélé ses idées troublantes sur la couverture médiatique étonnamment coordonnée de la « pandémie de Covid » lors d’un entretien avec l’animateur Dan Wootton dans l’émission « The Lockdown Inquiry » de la chaîne britannique GBN.
***
Les journalistes US complices du président Biden
Aux États-Unis, les journalistes ne sont pas autorisés à poser de question au président Joe Biden sans les avoir soumis préalablement à la Maison-Blanche. Celle-ci rédige alors les réponses que le président lit avec conviction. Ce dispositif, qui rappelle ceux de régimes autoritaires, vise à masquer l’état mental défaillant du président (79 ans).
Des photographies circulent qui montrent ces anti-sèches.
Chaque fois que le président a répondu à une question imprévue, il a dit n’importe quoi. Par exemple, durant sa campagne électorale, il avait annoncé avec insistance la venue de son fils, Beau, mort depuis six ans. Ou encore, en janvier 2021, après une question imprévue sur l’inflation élevée, il l’a décrite comme un « grand atout » avant d’injurier le journaliste et de le traiter de « fils de pute ».
- Source : Quadrillage Traduction