Covid-19, pots-de-vin et corruption — Le cartel criminel Big-Pharma supervise le nouveau vaccin
Big-Pharma — coupable de mensonges, de tricheries, de vols, de corruption et d’avoir exposé le public à des médicaments dangereux et même mortels — reçoit des milliards pour développer un « vaccin » Covid-19. Confieriez-vous votre santé à ces criminels ? La maladie à coronavirus 2019 ou hystérie « Covid-19 » balaie le globe — la panique publique provoquée par les médias de masse paralysant des nations entières, vidant pour des milliards de dollars des économies [déjà bien en berne avant la crise – NdT], alors que les lieux de travail sont fermés et que le public est confiné chez lui tout en étant exposé à des bulletins d’infos continus qui attisent les flammes de la peur de façon délibérée.
L’industrie des « soins de santé » de l’Occident en profite déjà, tant sur le plan monétaire qu’en termes de crédibilité artificielle, alors qu’un public paniqué se tourne vers elle pour obtenir des réponses et se mettre à l’abri. L’industrie pharmaceutique occidentale, en particulier, attend de gagner de l’argent en offrant des « remèdes » et des « vaccins » contre un virus. Il s’agit de sociétés notoires comme GlaxoSmithKline (GSK), Novartis, Bayer, Merck, Johnson and Johnson, Pfizer, Lilly et Gilead [qui appartient à Donald Rumsfeld – NdT].
Toutes les entreprises — sans exception — qui cherchent des vaccins et des thérapies financés par le gouvernement pour « lutter contre » le Covid-19 sont des entreprises coupables et condamnées à plusieurs reprises par les tribunaux du monde entier pour des crimes tels que la falsification des données de recherche et des études de sécurité et d’efficacité, la corruption de chercheurs, de médecins, de régulateurs et même de responsables de l’application de la loi, et la commercialisation de médicaments qui étaient soit totalement inefficaces, voire carrément dangereux.
Les fonds publics provenant des contribuables du monde occidental sont canalisés vers des organisations prétendument à but non lucratif comme la Coalition for Epidemic Preparedness Innovation (CEPI), qui sont en réalité des façades créées et présidées par les grandes entreprises pharmaceutiques pour éviter d’investir leur propre argent dans des travaux de recherche et développement coûteux et de simplement profiter de ce qui résulte de la recherche financée par l’État.
La CEPI, par exemple, reçoit des milliards de fonds publics de différents pays qui seront utilisés pour la recherche et le développement de produits vendus par les grandes entreprises pharmaceutiques dont elles tirent profit.
Novartis — Immersion dans les profondeurs de l’ignominie
Un exemple particulièrement choquant et révoltant émane du géant pharmaceutique suisse Novartis — qui tente actuellement de faire approuver son médicament Jakafi comme thérapie pour les patients atteints de Covid-19 sévère.
Une équipe de l’université de Pennsylvanie, dirigée par le Dr Carl June et entièrement financée par une organisation caritative, a mis au point une thérapie génique qui a permis de guérir complètement et définitivement des patients atteints de leucémie qui, autrement, n’auraient pas répondu à des traitements plus traditionnels comme les greffes de moelle osseuse. Lors des premiers essais en 2010-2012, un patient — une fillette de 6 ans nommée Emily Whitehead — se trouvait littéralement à l’article de la mort avant qu’elle ne reçoive la thérapie génique révolutionnaire. Aujourd’hui, elle est bien vivante et en rémission permanente.
Le plus stupéfiant dans cette thérapie réside dans le fait qu’elle n’est administrée qu’une seule fois, parce que les cellules du patient sont en permanence recâblées pour combattre le cancer. Les anciennes cellules transmettent les informations de lutte contre le cancer aux nouvelles qui se divisent et se multiplient.
La thérapie développée par l’équipe du Dr June n’est pas seulement une thérapie unique, elle est aussi incroyablement rentable. Dans des conditions expérimentales, la procédure a coûté moins de 20 000 dollars. Lors d’une conférence donnée en 2013 à la Society for Translational Oncology, le Dr June a déclaré :
« Le coût des produits utilisés est donc intéressant. Le plus important est celui de la gammaglobuline. Donc nos coûts internes pour fabriquer les cellules T dans le cadre d’une aphérèse ou autre, sont environ de 15 000 dollars ».
L’organisme de bienfaisance qui a financé l’équipe du Dr June — la Leukemia & Lymphoma Society (LLS) — a vendu son travail à Novartis, lequel a été approuvé par la FDA en 2017 et commercialisé sous le nom de Kymriah. Selon le Dr June lui-même, ce qui coûtait 15 000 dollars à produire dans des conditions expérimentales a été évalué par Novartis à un demi-million de dollars. L’article du New York Times qui a rapporté le coût du médicament n’en mentionne jamais le coût réel et préfère se limiter aux explications de Novartis quant à la raison du coût élevé de cette thérapie.
Le New York Times avait déjà rendu compte des progrès de cette dernière avant son acquisition par Novartis, mais les rédacteurs du New York Times n’ont d’une part pas tenu Novartis pour responsable ou informé les lecteurs du coût réel de la thérapie, mais n’ont pas non plus révélé les prix abusifs pratiqués par Novartis. Cet aspect illustre bien le rôle des médias qui vise à faciliter et dissimuler la corruption des grandes entreprises pharmaceutiques.
En y regardant de plus près — et certainement pas grâce à des publications comme celle du New York Times — il s’avère que LLS était et est toujours en partenariat avec Novartis et bien qu’elle ait nié que Novartis ait eu quoique ce soit à voir avec la thérapie génique financée par LLS et finalement vendue à Novartis — le conflit d’intérêts flagrant demeure et s’inscrit parfaitement dans les antécédents de l’industrie pharmaceutique au sens large en matière de corruption, d’abus, et de placement des profits avant l’intérêt de la vie humaine.
L’exemple de Novartis constitue un microcosme illustrant le fonctionnement de l’ensemble de l’industrie et, en fait, de la façon dont elle exploite et profite déjà de l’hystérie du Covid-19 : les travaux des scientifiques qui recherchent avec acharnement des remèdes sont financés par des « organisations caritatives » douteuses pour être ensuite rachetés par les grandes entreprises pharmaceutiques qui brandissent ensuite sous le nez de patients désespérés des « solutions médicamenteuses » à des prix exorbitants, le tout avec l’aimable coopération des gouvernements et des mass médias complices.
GSK — Racket et corruption à travers le monde
GlaxoSmithKline est une autre société pharmaceutique qui cherche à tirer profit du Covid-19. Les personnes qui pourraient être exposées aux produits commercialisés par GSK dans le cadre de ce virus doivent savoir que ce géant pharmaceutique a été sur tous les continents condamné pour avoir pratiqué à l’échelle mondiale un racket et une corruption visant les médecins, les scientifiques, les régulateurs, les politiciens et même les forces de l’ordre.
© chinadaily.com.cn
GSK a été condamné en Asie. Dans son article « Le géant pharmaceutique confronté à ses responsabilités dans la lutte anti-corruption mené en Chine », le New York Times prétend :
« L’affaire Glaxo, qui a entraîné des peines record de près de 500 millions de dollars et une ribambelle de plaidoyers de culpabilité de la part des dirigeants, a bouleversé la dynamique du pouvoir en Chine, dévoilant un gouvernement de plus en plus affirmé et déterminé à resserrer son emprise sur les multinationales. Au cours des trois années qui se sont écoulées depuis les arrestations, le gouvernement chinois, sous la direction du président Xi Jinping, a libéré toute la force du système autoritaire du pays, dans le cadre d’un programme plus large de nationalisme économique ».
GSK a également été condamnée en Amérique du Nord. À en croire l’article du Guardian, GlaxoSmithKline a été condamné à une amende de 3 milliards de dollars après avoir soudoyé des médecins pour qu’ils multiplient les ventes de médicaments :
« Le groupe pharmaceutique GlaxoSmithKline a été condamné à une amende de 3 milliards de dollars (1,9 milliard de livres sterling) après avoir admis avoir soudoyé des médecins et encouragé la prescription d’antidépresseurs inadaptés aux enfants. On s’attend également à ce que Glaxo admette, devant un tribunal de district à Boston ce jeudi, avoir omis de signaler les risques inhérents à l’usage du médicament antidiabétique Avandia.
Aux États-Unis, le groupe GSK a encouragé ses commerciaux à vendre de façon abusive trois médicaments à des médecins en offrant faveurs et pots-de-vin — y compris des voyages dans des stations balnéaires aux Bermudes, en Jamaïque et en Californie — à ceux qui acceptaient de rédiger des ordonnances qui augmentaient les prescriptions. »
La corruption au sein de GSK existe également en Europe. Au début de l’année 2014, le London Telegraph révélait dans son article qu’« un ancien employé de GlaxoSmithKline affirme que le groupe a « soudoyé » des médecins pour promouvoir leurs médicaments en Europe » :
« GlaxoSmithKline, la plus grande société pharmaceutique de Grande-Bretagne, a été accusée de soudoyer des médecins chargés de prescrire leurs médicaments en Europe.
En Pologne, et selon les accusations portées par un ancien commercial du groupe, des médecins ont apparemment été rémunérés pour promouvoir son traitement contre l’asthme, le Seretide ».
Et nous n’effleurons ici que la surface du racket, des extorsions et de la malhonnêteté qui en découle — et qui en soi, n’effleure même pas l’étendue de la débauche corruptrice de cette industrie. GSK est actuellement sur le point de développer et de déployer un vaccin Covid-19 avec Innovax.
Note du traducteur : « GlaxoSmith Kline a intensifié ses efforts pour contribuer à la guerre contre le Covid-19 en s’alignant sur une biotechnologie chinoise pour soutenir le développement et la commercialisation d’un candidat vaccin recombinant à base de protéines contre les coronavirus appelé COVID-19 XWG-03. GSK rapporte que le vaccin expérimental, qui fait partie d’une collaboration en cours entre l’université de Xiamen dans la province de Fujian, dans le sud de la Chine, et une société de biotechnologie privée appelée Xiamen Innovax Biotech Co., Ltd. offrira son système d’adjuvant pour l’évaluation pré-clinique du COVID-19 XWG-03 ».
Source : Trial Site News , le 6 avril 2020
Les antécédents de GSK en matière de corruption influenceront-ils le développement d’un vaccin Covid-19 et son approbation pour un usage public ?
À cette question, il existe déjà une réponse probante.
Big-Pharma a déjà été incriminé de simuler de fausses pandémies pour remplir ses coffres
La dernière vague d’hystérie concernant une pandémie s’est produite lors de l’épidémie de H1N1 de 2009 aussi appelée « grippe porcine ».
Si quelqu’un se souvient vaguement du H1N1 — et a besoin d’éléments d’informations pour se rafraîchir la mémoire — c’est probablement parce que la pandémie telle que l’ont présentée des responsables de la santé publique corrompus et des médias complices a fait pschitt. Parmi ces responsables de la santé publique corrompus figuraient des « experts » de l’Organisation mondiale de la santé à la solde des grandes entreprises pharmaceutiques qui ont utilisé leur position pour déclarer « pandémie » l’apparition de la grippe H1N1, justifiant ainsi le fait que des gouvernements ont également payé pour stocker des médicaments de grandes entreprises pharmaceutiques pour des patients qui n’en ont jamais eu besoin.
Dans l’article intitulé « Les experts de l’OMS en matière de grippe porcine sont « liés » aux sociétés pharmaceutiques », la BBC stipulait :
« Une enquête a révélé que les principaux scientifiques à l’origine des conseils de l’Organisation mondiale de la santé sur la constitution de stocks de médicaments contre la grippe pandémique avaient des liens financiers avec des entreprises qui étaient susceptibles de faire des bénéfices.
Selon le British Medical Journal, les scientifiques avaient ouvertement déclaré ces intérêts dans d’autres publications, mais l’OMS n’a fait aucune mention de ces liens ».
La BBC cite nommément GSK, en notant :
« […] …trois scientifiques ayant participé à l’élaboration des orientations de 2004 avaient auparavant été payés par Roche ou GSK pour des conférences et des travaux de conseil, tout en étant impliqués dans la recherche pour les entreprises ».
Également mentionné, Roche [entreprise pharmaceutique suisse comme Novartis – NdT] produit actuellement des kits de test Covid-19 et réalise manifestement des bénéfices massifs en les vendant dans un contexte d’hystérie soutenue dans le cadre de la « pandémie ». Elle avait déjà profité du fait que les responsables de l’OMS avaient en 2009 déclaré « pandémie » le H1N1, en vendant des kits de test et des médicaments antiviraux qui se sont empilés dans des stocks gouvernementaux complètement inutiles.
Dans un article de 2014 intitulé « Selon une étude, les stocks du médicament Tamiflu de Roche sont un gaspillage d’argent », Reuters précise :
« Les chercheurs qui se sont battus pendant des années pour obtenir des données complètes sur le Tamiflu, le médicament antigrippal de Roche, ont déclaré jeudi que les gouvernements qui le stockent gaspillent des milliards de dollars pour un médicament dont l’efficacité est douteuse ».
L’article notait également :
« Les ventes de Tamiflu ont atteint près de 3 milliards de dollars en 2009 — principalement en raison de son utilisation dans la pandémie de grippe H1N1 — mais elles ont depuis diminué ».
Commentaire : Les effets secondaires désagréables du Tamiflu ont peut-être aussi un rapport avec son déclin :
Allons-nous vraiment permettre à ces mêmes entreprises et aux fonctionnaires corrompus avec lesquels elles sont liguées par le biais des organismes nationaux et internationaux de reprendre les rênes au milieu du Covid-19 ?
L’hystérie du Covid-19 est provoquée par une kyrielle de criminels
Cette même Organisation mondiale de la santé mène aujourd’hui la riposte face au Covid-19 en partenariat avec les mêmes criminels de l’industrie pharmaceutique, et ce sont les mêmes médias complices ayant permis dans le passé la corruption et les abus de ces deux entités qui contribuent aujourd’hui à alimenter l’hystérie du Covid-19. Le but est de transmettre un pouvoir sans précédent à ces mêmes intérêts qui dégageront des profits inégalés, et qui se sont avérés à maintes reprises dans le passé non seulement indignes de confiance mais qui ont aussi constitué des obstacles à la santé humaine — plutôt que des garants de celle-ci.
Bientôt, les seringues seront remplies de « vaccins » produits par ce conglomérat de corruption et d’abus en toute genre, et il sera demandé au public de retrousser ses manches et de se faire injecter des substances créées par des criminels au sens propre du terme.
Sous l’illusion de la légitimité, de la science et de la médecine, les gens seront contraints de se soumettre aux grandes entreprises pharmaceutiques et à leurs co-conspirateurs au sein des organismes de réglementation, des organisations consultatives, du gouvernement et des médias, peu importe le contenu de ces seringues, peu importe qu’il protège ou pas le public contre le Covid-19, et peu importe qu’un tel vaccin soit vraiment nécessaire ou qu’il ne le soit pas.
Bien que le Covid-19 puisse être un véritable agent pathogène, les preuves suggèrent qu’il ne justifie pas les réactions excessives que nous observées dans le monde entier. L’« hystérie du Covid-19 » a — de très loin — un impact beaucoup plus dévastateur sur l’humanité que le virus lui-même. Au milieu de cette hystérie, la plus grande menace réelle pour la santé humaine — une industrie pharmaceutique corrompue et ses partenaires au sein du gouvernement — sont sur le point d’accroître à la fois leurs profits aux dépens du public et leur pouvoir sur ce dernier.
Traduction : Sott.net
- Source : New Eastern Outlook (Russie)