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Lundi, 23 Déc. 2024

Coronavirus – Aucun vaccin n’est nécessaire pour la guérison

Auteur : Peter Koenig | Editeur : Walt | Dimanche, 12 Avr. 2020 - 08h42

Le New York Times a rapporté le 30 mars que le président Trump s’est rétracté de sa déclaration précédente selon laquelle, d’ici le 12 avril, le verrouillage dû à la COVID-19 devrait être terminé et il est temps de penser au « retour au travail ». Au lieu de cela, il a déclaré qu’une prolongation jusqu’à la fin avril était nécessaire – et peut-être même jusqu’en juin. Cela, a-t-il dit, suivait les conseils de ses conseillers, dont le Dr Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), au sein du National Institute for Health (NIH), fait partie.

Le virus COVID-19 a jusqu’à présent causé beaucoup moins d’infections et de décès que la grippe ordinaire au cours des dernières années. L’OMS fait état le 30 mars dernier de 750 000 infections dans le monde et d’un nombre de décès de 36 000. Aux États-Unis, on compte environ 161 000 cas et 3 000 décès. Pourtant, le lanceur d’alerte Fauci affirme qu’il pourrait y avoir des millions de cas de coronavirus aux États-Unis et 100 000 à 200 000 décès. Et, par coïncidence, Bill Gates fait de même, en utilisant à peu près les mêmes chiffres.

Tout cela dans l’idée d’imposer un vaccin à la population.

Un vaccin de plusieurs milliards de dollars n’est pas nécessaire.

Le NIAD et la Fondation Bill et Melinda Gates collaborent en vue de développer un vaccin COVID-19.

La Chine a prouvé que le virus COVID-19 pouvait être maîtrisé à un coût relativement faible et avec une discipline stricte et des médicaments traditionnels. Les mêmes médicaments et mesures ont été utilisés pendant des siècles pour prévenir et guérir avec succès toutes sortes de maladies virales.

Tout d’abord, un vaccin contre la COVID-19, ou contre les coronavirus en général, est un vaccin contre la grippe. Les vaccins ne guérissent pas. Dans le meilleur des cas, les vaccins antigrippaux peuvent empêcher le virus d’affecter un patient autant qu’il le ferait sans vaccin. L’efficacité des vaccins antigrippaux est généralement évaluée entre 20 et 50 %. Les vaccins sont avant tout un immense bonus financier pour les grandes entreprises pharmaceutiques.

Ensuite, voici une multitude de remèdes qui se sont révélés très efficaces. Voir aussi ceci et cela.

  • Le professeur français Didier Raoult, qui est l’un des cinq meilleurs scientifiques au monde dans le domaine des maladies transmissibles, a suggéré l’utilisation de l’hydroxychloroquine (Chloroquine ou Plaquenil), un médicament bien connu, simple et peu coûteux, également utilisé pour lutter contre le paludisme, et qui a montré son efficacité avec des coronavirus antérieurs tels que le SRAS. Dès la mi-février 2020, des essais cliniques réalisés dans son institut et en Chine ont déjà confirmé que le médicament pouvait réduire la charge virale et apporter une amélioration spectaculaire. Les scientifiques chinois ont publié leurs premiers essais sur plus de 100 patients et ont annoncé que la Commission nationale chinoise de la santé recommanderait la chloroquine dans ses nouvelles directives pour le traitement du virus COVID-19.
  • La Chine et Cuba collaborent à l’utilisation de l’interféron Alpha 2B, un médicament antiviral très efficace développé à Cuba depuis 39 ans, mais peu connu du monde entier, en raison de l’embargo imposé par les États-Unis sur tout ce qui provient de Cuba. L’interféron s’est également révélé très efficace dans la lutte contre COVID-19 et est maintenant produit dans une joint-venture en Chine.
  • Il existe un vieux médicament naturel indien/ayurvédique, la curcumine, qui se présente sous forme de capsules de C90. C’est un composé anti-inflammatoire et antioxydant qui a été utilisé avec succès pour traiter le cancer, les maladies infectieuses et, oui, les coronavirus.
  • D’autres remèdes simples mais efficaces comprennent l’utilisation de fortes doses de vitamine C, ainsi que de vitamine D3, ou plus généralement l’utilisation de micro-nutriments essentiels pour combattre les infections, notamment les vitamines A, B, C, D et E.
  • Les produits à base d’argent colloïdal sont un autre remède utilisé depuis des milliers d’années par les anciens Chinois, les Romains et les Égyptiens. Ils se présentent sous forme de liquide à administrer par voie orale, ou à injecter, ou à appliquer sur la peau. Les produits à base d’argent colloïdal renforcent le système immunitaire, combattent les bactéries et les virus, et ont été utilisés pour traiter le cancer, le VIH/sida, le zona, l’herpès, les affections oculaires, la prostatite – et la COVID-19.
  • Un remède simple et peu coûteux, à utiliser en combinaison avec d’autres, est le « Mentholatum » à base de menthol. Il est utilisé pour les symptômes courants de la grippe et du rhume. Appliqué sur et autour du nez, il agit comme un désinfectant et empêche les germes de pénétrer dans les voies respiratoires, y compris les coronavirus.
  • Le nord de l’Italie et la Nouvelle-Orléans rapportent qu’un nombre inhabituel de patients ont dû être hospitalisés dans des unités de soins intensifs (USI) et être mis 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 sous un respirateur artificiel à 90 %, certains d’entre eux ne réagissant pas et tombant en insuffisance respiratoire. Le taux de mortalité rapporté est d’environ 40%. Cette condition est appelée syndrome de détresse respiratoire aiguë, SDRA. Cela signifie que les poumons sont remplis de liquide. Lorsque cette description des épisodes de SDRA s’applique, le Dr. Raoult et d’autres collègues médicaux recommandent aux patients COVID-19 de « dormir assis » jusqu’à ce qu’ils soient guéris. Cela permet d’évacuer le liquide des poumons. Cette méthode est connue pour son efficacité depuis qu’elle a été documentée pour la première fois lors de l’épidémie de grippe espagnole de 1918.
  • Enfin, des chercheurs chinois, en coopération avec des scientifiques cubains et russes, développent également un vaccin qui pourrait bientôt être prêt à être testé. Ce vaccin tenterait de s’attaquer non seulement à un seul brin de coronavirus, mais aussi au génome de base de l’ARN coronaviral (ARN = acide ribonucléique), pour prévenir les nouvelles mutations des coronavirus. Contrairement à l’Occident, qui travaille exclusivement dans un but lucratif, le vaccin sino-cubano-russe serait mis à la disposition du monde entier à un prix modique.

Ces remèdes alternatifs ne peuvent pas être trouvés sur l’internet contrôlé par les grandes sociétés pharmaceutiques. Les références Internet, s’il y en a, peuvent déconseiller leur utilisation. Au mieux, elles vous diront que ces produits ou méthodes n’ont pas prouvé leur efficacité, et au pire, qu’ils peuvent être nocifs. N’y croyez pas. Aucun de ces produits ou méthodes n’est nocif. N’oubliez pas que certains d’entre eux sont utilisés comme des remèdes naturels depuis des milliers d’années. Et n’oubliez pas que la Chine a réussi à maîtriser COVID-19, en utilisant certains de ces médicaments relativement simples et peu coûteux.

Peu de médecins connaissent ces remèdes pratiques, simples et peu coûteux. Les médias, sous la pression des géants de l’industrie pharmaceutique et des organismes gouvernementaux qui s’y conforment, ont été invités à censurer ces précieuses informations. La négligence ou l’incapacité à rendre publics ces remèdes facilement accessibles fait des victimes.

Le rôle de Bill Gates et le verrouillage

Bill Gates a peut-être été l’un des « conseillers » de Trump, suggérant qu’il prolonge la date de « retour au travail » au moins jusqu’à la fin avril, et, si Gates le veut, au moins jusqu’en juin. Cela reste à voir. Gates est très – très puissant :

Image de CNBC: Bill Gates dit que les États-Unis ont raté leur chance d’éviter la fermeture dû au coronavirus et les entreprises devraient rester fermées

Le président Donald Trump a déclaré mardi qu’il souhaitait que les entreprises ouvrent avant Pâques, le 12 avril, afin d’atténuer l’impact économique. … Gates a reconnu mardi que l’isolement sera « désastreux » pour l’économie, mais « il n’y a pas vraiment de juste milieu ». Il a suggéré un arrêt de six à dix semaines. (CNBC, 24 mars 2020) Bill Gates, Gerard Miller/ CNBC. Capture d’écran, CNBC, 24 mars 2020

Pour en savoir plus : COVID-19 – La lutte pour la guérison : une gigantesque razzia de l’industrie pharmaceutique occidentale

La Fondation Bill et Melinda Gates sera la source de l’organisation de la vaccination de masse qui devrait être lancé dans la période qui suivra le confinement.

L’association de vaccination comprend la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), une semi-ONG, à laquelle le NIH/NIAID a confié la supervision du programme de vaccination – avec le soutien de Bill Gates ; la GAVI, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination – également une création de Bill Gates, soutenue par l’OMS, également amplement financée par la Fondation Gates ; la Banque mondiale et l’UNICEF ; ainsi qu’une myriade de partenaires pharmaceutiques.

Bill Gates suggère aussi fortement que les voyageurs doivent avoir dans leur passeport un certificat de vaccination avant d’embarquer dans un avion ou d’entrer dans un pays.

La mise en œuvre du programme, y compris un programme mondial d’identité électronique connexe, éventuellement administré au moyen de nanopuces qui pourraient être intégrées au vaccin lui-même, serait supervisée par l’agence peu connue Agenda ID2020, qui est également une initiative de la Fondation Bill et Melinda Gates.

Bill Gates est également connu comme un fervent partisan d’une réduction drastique et sélective de la population. Sachant ce que nous savons, qui ferait confiance à tout vaccin portant la signature de Bill Gates. L’espoir que cette entreprise diabolique ne réussisse pas est fort important. Nous devons garder l’espoir jusqu’à la fin, alors la fin n’arrivera jamais – et peu à peu la Lumière noiera les Ténèbres.

Pour plus de détails sur l’Agenda ID2020, voir:

La pandémie de coronavirus COVID-19: Le vrai danger est « l’Agenda ID2020 ».

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca

Image d'illustration: pixabay.com

L'auteur, Peter Koenig, est économiste et analyste géopolitique. Il est également spécialiste des ressources en eau et de l’environnement. Il a travaillé pendant plus de 30 ans à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé dans le monde entier dans les domaines de l’environnement et de l’eau. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.


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