Technologie, contrôle, dictature et la 5G arme informatique
En 1963, les régulateurs fédéraux [aux Etats-Unis] dirent à IBM que l’entreprise ne pourrait pas promouvoir ses machines et nouveaux ordinateurs aux citoyens parce qu’ils représentaient une arme dangereuse par laquelle la désinformation pourrait être utilisé pour subvertir et soumettre des populations entières.
Quelques décennies de déréglementation plus tard, IBM fut finalement autorisée à vendre ses systèmes d’armement au monde. Dès 1993, la National Security Agency (NSA) avait fait installer des portes dérobées dans les microprocesseurs de ces armes ordinateurs, leur donnant un monopole sur le processus du chiffrage encrypté. Ceux qui furent impliqués dans ces efforts furent des gens comme John Podesta, Larry Summers, James Comey, Robert Mueller, Rod Rosenstein et George Bush Senior via l’entreprise du groupe Carlyle (NdT: dont un des frères de Sarkozy fut haut-cadre)
CISCO, connue comme “l’enfant chéri” de la NSA, fut une entreprise clef de cet effort. L’agent de la couronne (City de Londres) General Electrics (GE) fut instrumental pour procurer le logiciel volé requis PROMIS. La firme Intel (les processeurs) en croqua, installant une “télécommande agressive” sur tous ses microprocesseurs connus comme moyen de contrôle d’ingénierie mécanique. Par son nouveau Point Focal Node Trusted Remote Access Control (PFNTRAC), la NSA pouvait donc maintenant tout TRACER.
Hillary Clinton et la cohorte de sa firme de Rose Law Firm participa à cet effort par leur attaque en justice pour viol de patente pour l’entreprise Big Tech dont les sponsors militaires et de la couronne savaient déjà que les patentes et l’innovation joueraient un grand rôle dans la domination future totale tout azimut (Full Spectrum Dominance), ce qui était recherché avec cette nouvelle arme informatique.
Tandis que le gouverneur de l’état d’Arkansas Bill Clinton était occupé à utiliser Mena en Arkansas comme plateforme de financement des contras du Nicaragua par le trafic de la cocaïne et que le top de Little Rock, Jackson Stephens utilisait sa Worthen Bank pour aider la BCCI (NdT: banque de la CIA) à blanchir l’argent pillé par le FMI à de pauvres pays, Hillary aidait l’IBM Eclipse Foundation à voler le logiciel clef depuis Leader Technologies, qui deviendra plus tard… Facebook.
Des gyroscopes de cristal QRS-11 furent aussi envoyés de Littel Rock à la NSA où ils se révèreront de première importance pour le monopole du chiffrage de l’agence. Ils seront dès lors installés sur tout, des jumbo-jets aux voitures en passant par les systèmes du guidage de missiles, avec la capacité d’être allumés ou éteints par leurs contrôleurs de la NSA, les cristaux QRS-11 fourniront la base de ce qu’on appelle aujourd’hui “l’internet des choses”.
L’agent de la couronne / City de Londres SERCO a reçu le contrat pour gérer le bureau américain des patentes et toutes les patentes 5G subséquentes viendraient mystérieusement sous le contrôle de l’ancien de Hewlett Packard (HP) et fondateur d’Agilent, Richard P. Walker.
(https://hendersonlefthook.wordpress.com/2019/03/19/whos-behind-the-5g-cull-of-humanity/)
Au moment où l’homme de l’armée et ancien d’AT&T/Bell Labs Eric Schmidt devint le CEO de Google, la fondation Eclipse d’IBM avait organisé sa sous-traitance de la Silicon Valley pour mettre en place leur rêve de 5G militarisée. Ceci impliquerait du hardware informatique qu’ils avaient déjà, des logiciels, qui bientôt allait sortir des vitrines de la NSA à la Silicon Valley et maintenant bien financées et du matériel “humide” (humain).
Le matériel “humide” signifie être humain ou tout autre créature vivante qui seraient ionisés et programmé sur une base ADN hautement personnalisée avec le hardware et le logiciel pour créer une grille 5G complètement intégrée et contrôlable, ayant la capacité d’un système de contrôle total tout azimut. L’Intelligence Artificielle (IA) imbiberait la grille, cherchant à s’auto-reproduire tout en mettant un terme à l’humanité.
Peu de temps après que Schmidt eut pris position à Google, furent mis en place Gmail, Facebook, Instagram et autres outils de collecte de données de la NSA. La Banque des Règlements Internationaux (NdT: La BRI, GQG du cartel des banques centrales privées siégeant à Bâle en Suisse) avait une faction renégate de la CIA sous son contrôle qui opérait depuis le CERN. Le temps était venu de personnaliser le matériel “humide”. Pour ce faire, tout le monde devrait être profilé émotionnellement, spirituellement et physiquement.
Alphabet, parent de Google, rafla Boston Dynamics qui était la première entreprise de robotique. L’attaque faux-drapeau de la couronne du 11 septembre sur les Etats-Unis donnerait le prétexte pour faire passer la législation du Patriot Act, qui fut ciselée par Robert Mueller et ses cohortes traîtresses affiliées à la City de Londres. Avec la constitution des Etats-Unis officiellement suspendue, les humains n’auraient donc plus aucune base légale pour résister à leur mise en esclavage future au moyen de la grille 5G.
Le GCHQ de la couronne (NdT: l’agence de renseignement britannique) a maintenant pignon sur rue à Fort Meade (Maryland) donnant toute une nouvelle signification au mandat de la FISA (Foreign Intelligence Surveillance Authority).
Le Projet Echelon a fusionné avec l’alliance des Cinq Yeux (NdT: alliance du reseignement liant la GB, les USA, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande). Toutes les communications se retrouvèrent dès lors sous observation du Board of Broadcasting Governors (BBG) ou Bureau des Gouverneurs de la Diffusion. Plus tard le président Obama établirait le Global Engagement Center au sein du ministère des affaires étrangères pour servir de sorte de “ministère de la vérité”.
George Soros, le lieutenant de Rothschild a attendu dans l’ombre pour sortir sa dernière révolution colorée si nécessaire. Ceci impliquerait le renversement du président Trump si par hasard celui-ci ne voulait pas marcher droit avec l’agenda de mise en esclavage globale de la Couronne / City de Londres. Elle serait appelée la révolution violette, cette couleur étant celle des “familles royales” Utilisant le changement climatique de l’Agenda 21 comme marteau, les humains ont reçu le rôle de méchants dans cette production, faisant ainsi le chemin pour la nouvelle monnaie numérique des Rothschild basée sur le crédit-social (cf le modèle chinois) et l’empreinte carbone, monnaie qui sera utilisée dans la grille de contrôle 5G.
Avec Big Brother maintenant complètement en place, tout dissident opérant sur une plateforme électronique d’ordinateurs militarisés pourra être sorti de la grille depuis les sites variés de collecte de données contrôlés par la NSA. Facebook et Twitter ont déjà banni des individus radicaux, YouTube a purgé les vidéos qui dénonçaient la 5G et les chemtrails et Amazon a banni les bouquins anti-vaccination.
La publication des dossiers d’Edward Snowden a été arrêtée en mars dernier alors que le milliardaire qui contrôle ces données se plaignaient de problèmes… d’argent. La semaine dernière Julian Assange fut abandonné par le président traître de l’Equateur Lenin Moreno, partie d’un accord en échange d’un emprunt au FMI. Ceux qui ont fait le plus attention à cette affaire ont sans doute remarqué qu’Assange ne fut pas embarqué dans un véhicule de la police de Londres, mais dans une fourgonnette, propriété de l’agent de la Couronne SERCO.
Traduit de l’anglais par Résistance 71
- Source : Left Hook by Dean Henderson (Royaume-Uni)