L’ONU nous somme de financer l’omertà covidiste

Buanderie du Forum dit Economique et Mondial de Klaus Schwab, l’ONU tire la sonnette d’alarme : les « travailleurs clés de la pandémie de Covid-19 » seraient mal rémunérés. C’est vrai qu’on n’est jamais assez payé pour combattre une pandémie qui n’existe pas. Et surtout : pour la fermer après.

La principale différence entre les princes bolchéviques de 1917 et leurs imitateurs de 2020, c’est que les compagnons de Lénine avaient conquis le pouvoir l’arme au poing, et leur opulence en « expropriant » eux-mêmes les aristos tsaristes, alors que les davosiens se sont contentés d’hériter l’un et l’autre de la social-démocratie néo-libérale en décomposition.

N’ayant pas l’habitude de bosser, ces derniers se reposent sur le middle-management des institutions « internationales » (lire : mondialistes) comme l’ONU, et sur un petit personnel de gardes rouges – généralement des idiots utiles contents de toucher une vague bourse tous les 5 ans. Car l’oligarchie est radine.

L’ONU, syndication des petites mains du mondialisme

Dans le cadre de la psy-op covidienne, néanmoins, la rhétorique de la Science exigeait l’implication d’un personnel « qualifié », qui a été recruté dans les rangs des professions de santé, à grand renfort de pourliche – que beaucoup ont accepté, quitte à se faire purger un an plus tard pour avoir reculé devant la seringue : derrière tout garde rouge, il y a toujours eu un commissaire politique prêt à lui tirer dans la nuque.

Et là, visiblement, les commissaires flippent. Pendant que l’Angleterre digère ses Hancock leaks, que le « monsieur Covid » allemand, Karl Lauterbach, bafouille sa race sur la chaîne ZDF, qu’en France Pierre Chaillot anéantit le récit covidiste comme une batterie de Wagner aplatit du bandériste devant Bakhmout, les apparatchiks du multilatéralisme onusien nous exhortent à « améliorer les (…) revenus (…) de ces travailleurs clés » « afin de refléter (…) leur importance dans le fonctionnement quotidien des économies ». Des économies du bobard, a priori.

Traduit de l’onusien dialectal : « Si vous voulez qu’ils continuent à sauver l’humanité en dansant sur TikTok, va falloir allonger l’oseille ! »

Seront a priori exclus de cette promotion syndicale ceux des « héros de la première ligne » qui ont eu la mauvaise idée de laisser douter de leur « foi en la Science » (sic), en refusant de correctement tendre le bras à cet Ordre Nouveau.