La fin de la vaccination Pfizer est-elle proche ?
La Pologne prend une décision majeure et s’oppose à la Commission européenne. La fin de Pfizer et la remise en question de l’UE ?
« Varsovie refuse d’accepter et de payer de nouvelles livraisons de vaccins » (Le Figaro)
La Pologne refuse de recevoir et de payer de nouvelles livraisons de vaccins anti-Covid, a déclaré mardi le ministre de la Santé, indiquant que son pays disposait toujours de 25 millions de doses non utilisées.
« À la fin de la semaine dernière, nous avons eu recours à la clause de force majeure et informé à la fois la Commission européenne et le principal fabricant de vaccins (Pfizer, ndlr) que nous refusions de recevoir ces vaccins et que nous refusions également d’effectuer les paiements », a déclaré Adam Niedzielski à la télévision d’informations en continu TVN24.
« Cette situation entraînera un conflit juridique. En fait il a déjà lieu », a-t-il ajouté en indiquant que le contrat portant sur les vaccins avait été signé « entre la Commission et les producteurs » et que son pays ne fait pas directement partie de ce contrat.
Selon lui, la Pologne, pays de 38 millions d’habitants, dispose toujours de 25 millions de doses de vaccins, alors que 67 à 70 millions d’autres ont été commandées. Actuellement, environ 51 % des Polonais ont été entièrement vaccinés, 59 % ont reçu une seule dose [Au moins une dose, NDLR], et le taux de vaccination a fortement baissé, selon les données du ministère de la Santé.
Un peu de transparence montre les dangers des injections Pfizer
Cette information survient en même temps des groupes d’avocats ont obtenu par jugements que Pfizer ouvre les dossiers qu’il comptait garder secrets 75 ans. Ces dossiers sont explosifs : par exemple Pfizer savait dès le début de la pandémie que l’immunité naturelle était meilleure que celle obtenue par l’injection.
Des effets secondaires graves et des décès avaient été cachés sur le premier essai.
La quantité de vax selon les lots varient de 1 à 100 expliquant les différences majeures d’effets secondaires. Un essai mondial caché à la population cobaye.
Informations relayées sur twitter : (Tara F [56]) le 17 avril 2022 et theepochtimes, suite à la publication le 1er avril 2022 d’un autre lot de 11 000 documents Pfizer par la Food and Drug Administration des États-Unis.
Aucune différence d’évolution n’a été observée entre ceux qui avaient déjà été infectés par le covid et ceux qui avaient reçu le vaccin. Aucun des deux groupes n’a connu d’infection grave.
La 2e révélation est que les effets secondaires des injections étaient plus graves chez les jeunes, âgés de 18 à 55 ans, que chez ceux âgés de 55 ans et plus. Fait intéressant, la documentation de Pfizer comprend également des informations médicales que les médias grand public et les vérificateurs de faits ont qualifiées de désinformation.
Pfizer savait que, dans la première semaine suivant l’injection, les personnes de tous âges souffraient d’une immunosuppression transitoire ou, en d’autres termes, d’un affaiblissement temporaire du système immunitaire, après la 1re dose.
Cela peut avoir faussé les taux d’infection, car les personnes n’étaient considérées comme partiellement vaccinées que 14 jours après leur premier vaccin et officiellement complètement vaccinées 2 semaines après la deuxième dose.
Or, si les personnes sont sensibles à l’infection au cours de cette première semaine, mais sont considérées comme non vaccinées pendant cette période, cela donne l’impression que les personnes non vaccinées sont plus sujettes à l’infection alors que ce n’est tout simplement pas vrai.
L’essai Pfizer avait d’emblée montré que l’infection était plus fréquente dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo et de manière significative : 409 contre 287 – au cours des 7 premiers jours suivant le vaccin.
Pfizer et la Food and Drug Administration des USA conscients dès le premier essai que le vaccin provoquait une immunosuppression.
Les dernières données du gouvernement britannique montrent que, par rapport aux non-vaccinés, ceux qui ont reçu deux doses sont :
- Jusqu’à 3 fois plus susceptibles d’être diagnostiqués positifs au Covid-19
- 2 fois plus susceptibles d’être hospitalisés avec Covid-19
- 3 fois plus susceptibles de mourir du Covid-19
La comparaison des taux de mortalité suggère que toute personne de plus de 40 ans qui a été doublement piquée est désormais plus susceptible de mourir du covid qu’une personne non vaccinée du même âge.
Complications des pseudo vaccins aux USA
Au 25 mars 2022, il y avait aux USA 145 781 hospitalisations et 26 396 décès répertoriés liés à la « vaccination ».
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- Source : Nouveau Monde (Canada)