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Mercredi, 15 Oct. 2025

Contrairement aux dires de l’agence du médicament, le Gardasil est inutile et parfois dangereux

Auteur : Dr Gérard Delépine | Editeur : Walt | Mercredi, 24 Sept. 2025 - 13h29

L’Agence nationale de sécurité du médicament continue de prétendre que la vaccination Gardasil est sûre alors qu’elle peut tuer !

Pour satisfaire le président Macron qui s’efforce d’imposer une vaccination inutile à l’école, l’ANSM dans sa synthèse périodique des cas de pharmacovigilance déclarés entre le 1er juillet et le 31 décembre 2024 (1) affirme une fois de plus que «le Gardasil est sûr et efficace» exactement comme elle le répétait pour les pseudo vaccins covid dont chacun a pu vérifier l’inefficacité et les nombreuses complications.

Oublié le drame de ce malheureux collégien de Nantes mort après l’injection du vaccin Gardasil et l’expérience des pays étrangers qui démontre l’inefficacité et les risques de ce vaccin largement controversé.

Et la ligue contre le cancer en rajoute une couche avec un titre en anglais :

Pour éviter que de nouveaux collégiens soient victimes de cette vaccination qui n’a toujours pas fait la preuve de son utilité, il faut, une nouvelle fois, rappeler les faits établis qu’ignorent apparemment les organismes financés par l’État.

La vaccination par Gardasil peut tuer

Le vendredi 27 octobre 2023, au collège Saint-Dominique à Saint-Herblain, près de Nantes., un élève de 5ème est mort après avoir reçu le vaccin Gardasil lors de la grande campagne de vaccination contre le HPV dans les collèges de France voulue par le président Macron (2). L’Agence régionale de santé s’était empressée d’affirmer que le vaccin n’était pas responsable et avait rejeté tout dysfonctionnement dans l’organisation de la campagne de vaccination.

Pourtant personne ne peut nier que cet enfant, en parfaite bonne santé avant l’injection, est mort de la vaccination scolaire. Mais, comme d’habitude, la justice n’a pas mis en cause la responsabilité de l’état dans l’indication de la vaccination de surcroit en milieu scolaire, et c’est le lampiste (médecin) qui se retrouve mis en examen pour homicide involontaire.

Ce décès après injection de Gardasil n’est malheureusement pas exceptionnel. Aux USA selon le National Vaccine Information Center, plus de 400 morts ont été rapportées après la vaccination Gardasil. (3,4)

Ces décès survenus après vaccination Gardasil rappellent que, lors des essais cliniques qui ont précédé l’autorisation de mise sur le marché, la mortalité des vaccinées s’élevait à 8.5/10,000, soit près du double du taux des femmes des femmes de15-24 ans de la population de cet âge (5). Mais cela a été considéré comme une «coïncidence» par les laboratoires et l’agence américaine FDA.

La revue critique de la littérature réalisée par la fondation Cochrane (6) a confirmé la mortalité plus importante des vaccinées de plus de 25 ans dont la mortalité était 2.36 fois plus élevée que dans le groupe placebo. «Lorsque l’on regroupe tous les décès survenus chez les femmes d’âge moyen participant aux trois essais, on observe un taux de mortalité plus élevé chez celles qui ont reçu le vaccin contre le VPH que chez celles qui ont reçu le placebo».

Mais l’Agence nationale de sécurité du médicament prétend que la mortalité du Gardasil épargne les Français (comme l’agence chargée de la protection nucléaire avait affirmé que le nuage de Tchernobyl avait épargné la France)

La vaccination par Gardasil expose à de nombreuses autres complications

Selon le National Vaccine Information Center, plusieurs dizaines de milliers de complications ont été rapportées après la vaccination Gardasil. La liste des accidents possibles est d’ailleurs détaillée dans les publications officielles du CDC (7) et les publications du The National Network for Immunization. (8)

Certaines complications très fréquentes sont bénignes et transitoires comme les douleurs lors de l’injection, un œdème, un gonflement, une fièvre, une toux, un malaise, l’urticaire, une lymphadénopathie, des douleurs épigastriques, une naso pharyngite, des maux de tête ou des nausées parfois accompagnées de diarrhée ou de vomissements.

Certaines sont plus sévères comme les arthralgies, les arthrites, les anémies hémolytiques immunes, la pancréatite, l’hypothyroïdie, les syncopes, les contractures, une infection respiratoire, une gastro entérite, une appendicite, une infection urinaire, un syndrome postural orthostatique, un purpura thrombocytopénique, le lupus érythémateux, la myalgie, l’insuffisance ovarienne précoce, l’infertilité…

Les complications les plus graves, heureusement très rares, comme le syndrome de Guillain Barre, la myélite transverse, l’encéphalite progressive, l’embolie pulmonaire, les bronchospasmes ou un accident anaphylactique peuvent mettre en jeu le pronostic vital ce qui est intolérable pour un traitement possiblement préventif d’une maladie qui bénéficie déjà d’une prévention très efficace et parfaitement sans risque (le dépistage cytologique).

Selon les chiffres de la notice US d’emballage du Gardasil, les femmes nord-américaines sont 100 fois plus susceptibles de souffrir d’un événement grave après la vaccination avec Gardasil que de développer un cancer du col de l’utérus. En particulier le risque de contracter une maladie auto-immune liée au Gardasil, même si le vaccin était efficace, est 1000 fois supérieur à celui d’éviter un décès par cancer du col de l’utérus.

Les membres de l’Agence Nationale de sécurité du médicament ignorent-ils l’anglais de la notice américaine du Gardasil ou oublient-ils seulement les informations du CDC qui les gênent pour affirmer que le «Gardasil est sûr» ?

Le médecin qui vaccine par Gardasil s’expose à des poursuites

La mise en examen du médecin français qui a injecté le Gardasil mortel à l’enfant de Nantes risque de se reproduire au prochain accident vaccinal car la cour de justice européenne a récemment considéré que «les médecins sont les seuls responsables des conséquences des injections car ils sont libres de les pratiquer, de les déconseiller ou de refuser de les faire». (9)

La Cour a même précisé que «l’autorisation de mise sur le maché délivrée par l’Agence Européenne des médicaments n’entraîne aucune obligation pour les médecins de prescrire et d’administrer les dits vaccins à leurs patients». (10)

Les médecins et autres praticiens susceptibles d’injecter le Gardasil doivent donc être particulièrement vigilants quant à la qualité et l’exhaustivité des informations transmises aux patients concernant les risques des vaccins et les démarches à suivre en cas d’effets indésirables suspectés. Même lors d’une campagne officielle organisée à l’école, leur responsabilité peut être engagée s’ils manquent à cette obligation d’information tout particulièrement avant d’injecter du Gardasil à un garçon qui ne peut en espérer aucun bénéfice.

Il n’existe aucune preuve que le Gardasil soit capable de prévenir le cancer

Le Gardasil a été mis sur le marché en 2006. Il a depuis démontré son efficacité contre les infections à papillomavirus des souches contenues dans les vaccins (actuellement 9 sur 150 souches à tropisme humain) et contre les verrues génitales. Mais malgré un recul de près de 20 ans, il n’existe actuellement aucune preuve réelle que ce vaccin ait évité un seul cas de cancer. Les articles proclamant partout la prochaine éradication du cancer du col de l’utérus ne sont pas basés sur les chiffres de cancers invasifs mais sur les conclusions de simulations optimistes basées sur la réelle efficacité contre les souches de HPV des vaccins et l’hypothèse très discutable que le cancer ne peut survenir sans cette infection.

Le cancer du col de l’utérus est rarissime avant 20 ans et très rare entre 20 et 25 ans. Pour évaluer l’efficacité anti-cancer du Gardasil il faut donc analyser l’évolution d’incidence de ce cancer chez les vaccinées de plus de 25 ans, soit actuellement, avec 19 ans de recul, le groupe des femmes 25 à 34 ans. Dans ce groupe l’examen des registres des cancers des pays n’objective actuellement aucune baisse significative et même parfois une augmentation depuis la vaccination.

En Australie, premier pays à instaurer une vaccination scolaire et en rattrapage jusqu’à 26 ans, l’incidence du cancer invasif n’a pas diminué, ni sur l’ensemble de la population, ni dans le groupe témoin des vaccinées arrivées à l’âge du cancer :

Dans le groupe des vaccinées en rattrapage (des 30-39 ans en 2024 qui avaient entre 13 et 22 ans lors de la vaccination Gardasil) l’injection a été suivie d’une augmentation d’incidence de 50%

Durant cette période de vaccination les femmes plus âgées, non concernées par les vaccinations, ont vu leur risque de cancer diminuer fortement grâce aux campagnes de dépistage : -30% (5,6 à 4) pour les 60-64 ans, -20% (6,5 à 5,1) pour les 65-69 ans et -28% (5,3 à 3,8) pour les 70-74 ans ce qui rend d’autant plus inquiétant l’augmentation d’incidence constatée chez les vaccinées.

En 2024 l’agence nationale Australienne a estimé à 1030 le nombre de nouveaux cancers du col (11) soit une augmentation de près de 33% du chiffre d’avant la vaccination. Comment peut-on croire à son éradication prochaine promise par les avocats du Gardasil dans tous les médias ?

La Grande-Bretagne a instauré la vaccination scolaire au Gardasil pour les filles dès 2007, mais 15 ans plus tard l’incidence du cancer du col n’a pas diminué dans le groupe témoin des vaccinées (25-34 ans) alors qu’il continue à baisser chez les femmes de plus de 40 ans (non vaccinées)

L’inefficacité du Gardasil contre le cancer est aussi constatée en Finlande.

Dans le groupe le plus vacciné arrivé à l’âge du cancer (les 25-34 ans), l’incidence du cancer du col a augmenté de plus de 70%. (de 4,5 à 8)

Au Danemark la vaccination de plus de 85% des jeunes filles a été suivie par une augmentation de 8% de l’incidence des cancers du col de l’utérus alors qu’elle a diminué de 8% chez les femmes de plus de 40 ans (non vaccinées).

L’inefficacité du Gardasil à prévenir le cancer invasif du col de l’utérus a aussi été observée en Norvège.

Au Canada le Gardasil est suivi par l’augmentation d’incidence le cancer du col.

Aux USA même échec contre le cancer.

Cette stabilisation ou augmentation d’incidence des cancers invasifs dans les pays qui ont instauré une large vaccination par Gardasil s’oppose à la baisse régulière de l’incidence des cancers du col en France, alors que les responsables pleurent en permanence sur notre faible taux de vaccination.

Dans notre pays peu vacciné, le cancer du col est devenu une maladie rare selon la définition de l’OMS contrairement aux pays très vaccinés que nos dirigeants citent en exemple ! Mais il est vrai que pour les actionnaires de big pharma et leurs affidés la seule chose qui importe, c’est de vacciner tout le monde quel qu’en soit le résultat.

Le Gardasil n’a aucun intérêt pour les garçons

Le Gardasil a été conseillé chez les garçons pour soi-disant prévenir les cancers du canal anal et de la gorge. Mais en France, le cancer du canal anal est très rare et ne constitue pas un problème de santé publique pour les hommes. En 2018, moins de 500 cas ont été recensés chez l’homme (12) à comparer aux fardeaux du cancer de la prostate (59 885 nouveaux cas en 2023) du poumon (33 438 hommes en 2023). (13)

De plus, le cancer anal s’observe quasi uniquement chez les homosexuels passifs ou les immunodéprimés. Les malades porteurs de greffe d’organe prenant des traitements immunodépresseurs souffrent d’une incidence du cancer anal 5 fois plus élevée que la population globale (14), taux proche de celui des hétérosexuels infectés par le virus du sida (15,16). Mais la pratique du sexe anal passif constitue le facteur causal le plus important (17,18,19,20) et explique en partie le surrisque constant des femmes par rapport aux hommes hétérosexuels (risque multiplié par 3 à 4), et le risque 60 à 90 fois plus élevé des homosexuels masculins passifs avec une incidence du cancer anal de 95/100000 culminant même à 130/100000 chez ceux qui sont en plus porteurs du virus HIV) (21). Pour un hétérosexuel male non immunodéprimé, le risque de cancer anal est quasiment nul.

De plus il n’est pas prouvé que le Gardasil soit capable de prévenir ce cancer. Les relevés des registres nationaux des cancers montrent, depuis la vaccination scolaire, une augmentation de l’incidence des cancers anaux plus importante chez les filles pourtant vaccinées que chez les garçons.

La balance avantage/risque du Gardasil est actuellement négative

Le Dr Harper professeur et vice-président de la recherche à la faculté de médecine de l’Université du Missouri-Kansas City, a surveillé la réalisation des essais de ce vaccin et a exprimé ses inquiétudes concernant les vaccins contre le VPH dans divers médias. (22,23,24)

«Manque de preuves sur la sécurité et l’efficacité à long terme du vaccin, en particulier chez les jeunes filles… des doutes subsistent quant à l’efficacité du vaccin chez les groupes d’âge plus jeunes, notamment les préadolescentes et les filles de moins de 16 ans… Le marketing agressif du vaccin et le lobbying en faveur de la vaccination obligatoire pourraient conduire à une expérience de santé publique dont les effets à long terme sont inconnus… Inquiétudes concernant les effets secondaires potentiels du vaccin et le manque de surveillance post-commercialisation pour garantir sa sécurité, en particulier pour les jeunes filles… Doutes subsistant quant à la protection à long terme du vaccin et à son bénéfice réel pour la santé publique, notamment en l’absence de données démontrant une réduction des cancers du col de l’utérus. Le bénéfice pour la santé publique pourrait être nul sans aucune réduction des cancers du col de l’utérus, qui seraient simplement reportés… Suffisamment d’effets secondaires graves ont été signalés après l’utilisation du Gardasil pour que le vaccin puisse s’avérer plus risqué que le cancer du col de l’utérus qu’il est censé prévenir».

La vaccination par Gardasil coûte un pognon de dingue (25)

En France, le vaccin antigrippal coûte 6 à 11 €, l’anti-covid Sanofi 7,56 €, et le vaccin Infanrix Tetra® contre la diphtérie, tétanos, coqueluche, poliomyélite 14,63 €. Une dose de Gardasil est commercialisée au prix de 116,83 € (26). Record absolu des prix pour un vaccin. Selon l’âge du vacciné, 2 ou 3 doses seraient indiquées. En tenant compte des consultations médicales nécessaires, la vaccination anti-VPH d’un adulte revient à 500 € et celle d’un adolescent à environ 350 €.

Le coût de fabrication d’une dose de Gardasil est estimé à moins de 1 dollar dans l’étude très documentée de Chaevia Clendinen (27), qui précise que «les coûts de fabrication du Gardasil vendu à la Gavi et aux pays en développement se situent entre 0,48 et 0,59 $ par dose.

Entre 2006 et 2015, Merck a engrangé près de 14 milliards de dollars pour ses ventes de Gardasil, puis celles-ci se sont stabilisées à 5-6 milliards annuels, pour atteindre près de 40 milliards de dollars depuis sa mise sur le marché. Selon certaines estimations, la taille du marché du Gardasil pourrait atteindre 10,1 milliards d’USD d’ici 2033. Cette manne financière colossale motive fortement les actionnaires de Merck et donne à cette société des moyens considérables pour convaincre les dirigeants politiques et leurs conseillers de promouvoir le Gardasil.

Aux USA, avec 76 millions d’enfants vaccinés pour un coût moyen de 420 dollars pour la série de trois doses, sauver une vie américaine du cancer du col de l’utérus coûterait environ 18,3 millions de dollars. En comparaison, la valeur d’une vie humaine, selon le Programme national d’indemnisation des victimes de vaccins du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS), est de 250 000 dollars, montant maximal que le programme gouvernemental accorde en cas de décès lié à un vaccin.

En France, la vaccination d’une classe d’âge reviendrait à près de 300 millions d’euros, soit, dans l’hypothèse invraisemblable d’une efficacité absolue, pour prévenir chaque année 1000 morts, un coût unitaire de vie sauvée de 300 000 euros démentant totalement le plaidoyer publicitaire publié par Santé Publique France en 2019 (28). En cette période d’état catastrophique de nos hôpitaux et de nos finances, envisager de consacrer une telle somme au Gardasil à la balance avantage risque très discutable est totalement scandaleux.

Consacrer cette somme à nos hôpitaux et leurs soignants serait beaucoup plus efficace.

Protégez les enfants et adolescents en informant autour de vous !

Notes:

  1. https://www.ouest-france.fr/selon-lagence-du-medicament-le-vaccin-contre-le-papillomavirus-est-sur
  2. https://actu.fr/collegien-mort-apres-un-malaise-en-reaction-a-un-vaccin-un-medecin-mis-en-examen-pour-homicide-involontaire
  3. https://fox40.com/merck-facing-two-new-wrongful-death-suits-from-mothers-of-10-and-12-year-old-girls-who-died-after-receiving-gardasil
  4. https://nypost.com/2008/07/20/my-girl-died-as-guinea-pig-for-gardasil
  5. https://www.wisnerbaum.com/prescription-drugs/gardasil-lawsuit/gardasil-deaths
  6. https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6494566/pdf/CD009069.pdf
  7. Human Papillomavirus (HPV) Vaccine Safety, 06 mars 2025
    https://www.cdc.gov/vaccine-safety/vaccines/hpv
  8. https://immunizationinfo.com/gardasil-vaccine
  9. https://ordreavocats-cussetvichy.fr/vaccins-et-justice-europeenne-entre-responsabilite-et-droits-des-patients
  10. https://pgibertie.com/2025/02/25/la-cour-de-justice-europeenne-considere-que-les-medecins-seront-les-seuls-responsables-des-consequences-des-injections-covid-car-ils-etaient-libre-de-refuser-dinjecter
  11. https://www.canceraustralia.gov.au/cervical-cancer-australia-statistics
  12. Pourcentage de cancer anal selon le sexe
  13. https://www.fondation-arc.org/sinformer-sur-le-cancer/qu-est-ce-qu-un-cancer/les-chiffres-du-cancer
  14. Grulich AE, van Leeuwen MT, Falster MO, et al. «Incidence of cancers in people with HIV/AIDS compared with immunosuppressed transplant recipients : a meta-analysis». Lancet 2007 ; 370(9581):59-67.
  15. A. Nyitray MS, «Anal cancer and human papillomaviruses in heterosexual men current oncology – volume 15, number 53 updates and developments in oncology», 2008 Multimed.
  16. Grabar S, Le Moing V, Goujard C, et al. «Clinical outcome of patients with HIV-1 infection according to immunologic and virologic response after 6 months of highly active antiretroviral therapy». Ann Intern Med 2000 ;133 :401-10.
  17. Daling JR,Weiss NS, Hislop TG, Maden C, Coates RJ, Sherman KJ, et al. «Sexual practices, sexually transmitted diseases, and the incidence of anal cancer». N Engl J Med 1987 ; 317(16) : 973–7.doi :10.1056/NEJM198710153171601.
  18. Holly EA, Whittemore AS, Aston DA, Ahn DK, Nickoloff BJ, Kristiansen JJ. «Anal cancer incidence : genital warts, anal fissure or fistula, hemorrhoids, and smoking». J Natl Cancer Inst 1989 ; 81(22) : 1726–31. doi :10.1093/jnci/81.22.1726.
  19. Frisch M, Glimelius B, van den Brule AJ, Wohlfahrt J, Meijer CJ, Walboomers JM, et al. «Sexually transmitted infection as a cause of anal cancer». N Engl J Med 1997 ; 337(19) : 1350–8. doi :10.1056/ NEJM199711063371904.
  20. Tseng HF, Morgenstern H, Mack TM, Peters RK. «Risk factors for anal cancer : results of a population-based case-control study». Cancer Causes Control 2003 ; 14(9) : 837–46. doi :10.1023/B : CACO. 0000003837.10664.7.
  21. Silverberg MJ, Lau B, Justice AC, Engels E, Gill MJ, Goedert JJ, et al. «Risk of anal cancer in HIV-infected and HIV-uninfected individuals in North America». Clin Infect Dis 2012 ; 54(7) : 1026–34. doi :10.1093 cid/cir1012.
  22. https://www.youtube.com/watch?v=aofqKnvn0h4
  23. https://qvive.in/a-vaccine-developer-reveals-hpv-vaccine-doesnt-work-and-poses-major-risks
  24. https://iconicwoman.com/gardasil/gardasil-researcher-dr-diane-harper-speaks-out
  25. Selon l’expression prononcée par le président Emmanuel Macron au palais de l’Élysée le 12 juin 2018.
  26. https://selectra.info/emboursement/vaccin-dtp-diphterie-tetanos-poliomyelite
  27. Haevia Clendinen, Yapei Zhang, Rebecca N.. Warburton, Donald W. Light, «Coûts de fabrication des vaccins contre le VPH pour les pays en développement», Vaccin, volume 34, n°48 , 21 novembre 2016, pp. 5984-5989.
  28. Évaluation coût-efficacité de la vaccination contre les papillomavirus humains dans le cadre du dépistage du cancer du col de l’utérus en France.
    https://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2019/22-23/2019

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