Le dossier Covid
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Le dossier Covid est une compilation des preuves que nous avons accumulées au cours des trois dernières années pour étayer l'affirmation suivante : le Covid n'était pas un événement de santé publique, même s'il a été présenté comme tel à la population mondiale. Il s'agissait d'une opération mondiale, coordonnée par des alliances militaires et de renseignement public-privé et invoquant des lois conçues pour les attaques aux armes CBRN (chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires).
Le dossier contient des informations sur la coordination militaire/renseignement de la réponse de biodéfense au Covid aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, au Canada, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Italie. Pour certains pays, nous disposons d'informations largement documentées. Pour d'autres, nous disposons de quelques documents sur l'implication militaire/renseignement, mais pas de tous les détails.
Pour autant de pays que possible, nous dressons la liste des agences militaires/de renseignement en charge de la réponse au Covid dans leur pays ; les dates auxquelles les déclarations d'urgence ont été faites dans chaque pays ; les agences et organismes militaires/de renseignement en charge de la censure/propagande ; et les hauts responsables occupant des postes dans l'armée/le renseignement qui étaient connus ou signalés comme occupant des postes de direction dans la réponse. Nous énumérons également les liens avec les organismes directeurs mondiaux, notamment l'UE et l'ONU/OMS, par l'intermédiaire desquels la réponse a été coordonnée. Dans la dernière section, nous fournissons une liste d'alliances et d'accords militaires/de renseignement/de biodéfense qui fournissent des cadres multinationaux pour répondre à une attaque bioterroriste/aux armes biologiques.
En réunissant toutes ces informations en un seul endroit, nous espérons dissiper l'idée selon laquelle le Covid était un événement de santé publique, géré indépendamment par les agences de santé publique de chaque pays, avec une participation militaire limitée et axée sur la logistique. Nous espérons également faire comprendre que non seulement les agences militaires et de renseignement étaient en charge du Covid dans tous ces pays, mais que la réponse à ce qui était présenté comme une crise de santé publique était coordonnée par des alliances militaires, dont l'OTAN.
Cela devrait faire la une des journaux partout dans le monde.
Nous appelons les enquêteurs, les lanceurs d’alerte et toute personne disposant d’informations liées à ce sujet à nous contacter et/ou à publier les informations afin que nous puissions continuer à construire une image complète de ce qui est arrivé au monde à partir du début de 2020 et jusqu’à aujourd’hui.
Comment tout a commencé : il y a cinq ans aujourd'hui
Il y a exactement cinq ans, le 4 février 2020, deux événements se sont produits, dont presque personne ne sait rien, mais qui ont joué un rôle important dans le cours de l’histoire mondiale récente :
- Deux déclarations d'urgence CBRN (armes de destruction massive) - EUA et PREP Act - faites par le secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, ont été enregistrées à cette date. [ ref ] [ ref ]
EUA signifie Emergency Use Authorization (autorisation d'utilisation d'urgence). Légalement, les pouvoirs EUA sont destinés aux situations d'urgence grave et immédiate impliquant des armes de destruction massive. Ils permettent l'utilisation de contre-mesures contre les agents CBRN sans la surveillance réglementaire destinée à garantir la sécurité et l'efficacité, car la menace immédiate d'une attaque CBRN est considérée comme bien plus grande que les risques potentiels causés par les contre-mesures. [ ref ] Le PREP Act est l'indemnité légale accordée à toute personne impliquée dans l'utilisation d'une contre-mesure EUA car si une arme de destruction massive est impliquée, le risque de l'attaque CBRN est si grand que personne ne devrait faire face à des conséquences juridiques pour les dommages collatéraux potentiels causés par l'utilisation de contre-mesures non réglementées.
Afin d’activer l’EUA, la loi exige « une détermination par le secrétaire du HHS qu’il existe une urgence de santé publique… qui implique un ou plusieurs agents CBRN, ou une maladie ou un état qui peut être attribuable à ces agents. [ ref ] Ainsi, lorsque l’EUA a été officiellement activée le 4 février 2020, il s’agissait en substance d’une déclaration d’état d’urgence impliquant une arme de destruction massive.
La déclaration d’urgence de santé publique du Covid PREP Act a été renouvelée à plusieurs reprises et est actuellement en vigueur jusqu’au 31 décembre 2029. - Un dirigeant d’une société pharmaceutique a été filmé en train de déclarer que le ministère américain de la Défense l’appelait pour l’informer « que le virus Sars-2 récemment découvert constituait une menace pour la sécurité nationale ». [ ref ]
Il est important de noter que le 4 février 2020, il y avait moins d’une douzaine de cas confirmés de la nouvelle maladie à coronavirus (plus tard appelée Covid-19) aux États-Unis, et aucun décès. Dans le monde, le nombre de décès était inférieur à 500. Rien dans le virus, du moins tel qu’il était présenté publiquement, ne pouvait faire croire à quiconque qu’il constituait une menace pour la sécurité nationale.
Ces deux événements sont remarquables pour plusieurs raisons :
tout d’abord, ils indiquent que les débuts de la Covid étaient enracinés dans des machinations de sécurité nationale, et non dans des considérations de santé publique.
Ensuite, ils suggèrent fortement que le déploiement des « contre-mesures médicales » de l’EUA dans le cadre de la déclaration d’urgence de santé publique a été officiellement lancé à un moment où une urgence, et encore moins une urgence nationale ou mondiale, ne pouvait pas être déterminée. Aucun paramètre de santé publique justifiant qu’un nouveau virus constitue une « menace pour la sécurité nationale » n’existait au moment des déclarations de l’EUA et du PREP Act.
Ainsi, il y a cinq ans jour pour jour, une campagne de déploiement de contre-mesures militaires CBRN était officiellement lancée contre une maladie mal définie qui aurait tué quelques centaines de personnes dans le monde.
Dans les six semaines suivant cette date, afin d’assurer un marché pour les contre-mesures (entre autres objectifs), la réponse de confinement jusqu’à la vaccination – qui est un plan militaire/antiterroriste et n’a rien à voir avec la santé publique [ ref ] – est entrée en vigueur partout dans le monde.
Pourquoi ces informations sont cruciales
La réponse à la Covid-19 a été coordonnée à l’échelle mondiale, sur la base de cadres juridiques destinés aux situations de biodéfense/guerre biologique. L’attaque qui a déclenché la réponse mondiale à la Covid-19 aurait pu être réelle, perçue ou inventée – quel que soit le déclencheur, le paradigme du confinement jusqu’à la vaccination trouve son origine dans le manuel de biodéfense militaire/des services de renseignement, et non dans un plan de santé publique fondé scientifiquement ou établi épidémiologiquement. [ ref ]
Cela signifie que rien dans la réponse – port du masque, distanciation, confinement, vaccination – ne faisait partie d’un plan de santé publique visant à répondre à une épidémie. Au contraire, chaque aspect de la réponse visait à provoquer une panique publique afin d’obtenir le respect des opérations de biodéfense, qui ont abouti à l’injection de produits d’ARNm non réglementés, qui ont été légalement traités comme des contre-mesures militaires de biodéfense (MCM), à des milliards d’êtres humains.
Qui a ordonné et dirigé ces opérations ? Qui en a bénéficié ? Qui les a dissimulées et qui les dissimule encore ? Nous enquêtons sur ces questions depuis plusieurs années.
Dossier Covid : États-Unis
Les agences militaires et de renseignement en charge de la réponse à la pandémie
Conseil de sécurité nationale (NSC) [ réf ]
FEMA/Département de la sécurité intérieure (DHS) [ réf ]
Département de la Défense (DOD) [ réf ]
Dates auxquelles ces agences étaient connues pour être en charge
Mi-janvier 2020 : le NSC a classé les réunions Covid comme « à partir de la mi-janvier » [ réf ]
13 mars 2020 : Le NSC est officiellement responsable de la politique pandémique dans le Plan d'action de crise pandémique-Adapté – le plan de réponse du gouvernement américain au Covid [ ref ]
18 mars 2020 : La FEMA/DHS prend le relais en tant qu'agence fédérale principale, remplaçant le HHS [ réf ]
Dates, types et noms des déclarations d'urgence sans précédent
Déclaration EUA du 4 février 2020 [ réf ]
4 février 2020 [rétroactif au 17 mars 2020] Déclaration de la Loi PREP [ réf]
13 mars 2020 Loi Stafford dans tous les États simultanément (1ère fois dans l'histoire) [ ref ]
Agences militaires/de renseignement impliquées dans les communications publiques/la propagande/la censure
Le groupe de travail gouvernemental, coordonné par le NSC , contrôle tous les messages relatifs à la pandémie à compter du 27 février 2020 [ ref ] [ ref ]
Département de la sécurité intérieure (DHS) [ réf ]
Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) [ réf ]
Cyber Threat Intelligence League (CTIL) (croisement États-Unis/Royaume-Uni) [ ref ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 sont liés à l'armée, à la CI, à l'ONU/à l'OMS
Déborah Birx [ réf ] [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Michael Callahan [ réf ] [Voir aussi PsyWar par Robert Malone MD MS, version Kindle p. 237]
Richard Danzig [ réf ] [ réf ]
Richard Hatchett [ réf ] [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Matt Hepburn [ réf ] [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Robert Kadlec [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Carter Mecher [ réf ]
Matt Pottinger [ réf ]
Dossier Covid : Royaume-Uni
Les agences militaires et de renseignement en charge de la réponse à la pandémie
Ministère de la Défense (MOD) « Opération Rescript » [ réf ]
Force de soutien Covid (Rapport MOD – réf .)
Centre conjoint de biosécurité (CCB) [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Dates auxquelles ces agences étaient publiquement connues pour être en charge
18 mars 2020 : Force de soutien Covid (20 000 militaires) [ réf ]
Mai 2020 : (au plus tard) JBC [ ref ] [ Wikipédia : « Son existence a été annoncée »]
Dates, types et noms des déclarations d'urgence sans précédent
Confinement national du 23 mars 2020 [ref ]
Loi sur le coronavirus du 25 mars 2020 [ réf ]
Groupes militaires/affiliés à la CI impliqués dans la messagerie/propagande/censure
Équipe du ministère de la Défense [ réf ]
iSAGE [ réf ]
77e Brigade [ réf ]
Nudge Unit [ réf. du 11 mars 2020 ] / Behavioral Insights Team – désormais « entièrement détenue par Nesta » (National Endowment for Science, Technology and the Arts) [ réf. ]
Analystes de la RAF [ réf ]
Cyber Threat Intelligence League (CTIL) (croisement États-Unis/Royaume-Uni) [ ref ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 sont liés à l'armée, à la CI, à l'ONU/à l'OMS
Roy Anderson [ réf .]
Dominic Cummings [ réf ] [ réf ]
Jeremy Farrar [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Clare Gardiner [ réf .]
Richard Hatchett (crossover US/UK) [ ref ] [ ref ] [ ref ] [ ref ]
Thomas Waite [ réf .]
Simon Manley (Directeur général Covid-19 du Royaume-Uni) [ réf ]
Dossier Covid : Australie
Agences militaires/de renseignement et comités spéciaux impliqués dans la réponse
Le Cabinet national « exempté des lois sur la liberté d’information » [ réf ]
Comité de sécurité nationale du Cabinet [ réf ]
Groupe de travail COVID-19 des forces de défense australiennes [ réf ]
Conseil consultatif de la Commission nationale COVID-19 (NCC) [ réf ]
Dates auxquelles ces agences/comités étaient publiquement connus pour être en charge
9 mars 2020 : Groupe de travail COVID-19 des forces de défense australiennes [ réf ]
13 mars 2020 : Constitution du Cabinet national [ réf ]
25 mars : NCC [ réf ]
Dates, types et noms des déclarations d'urgence sans précédent
5 mars 2020 Mécanisme national de coordination activé [ réf ]
13 mars 2020 Partenariat national sur la réponse à la COVID-19 [ réf ]
18 mars 2020 Déclaration d'urgence en matière de biosécurité humaine (une première dans l'histoire) [ réf ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 sont liés à l'armée, à la CI, à l'ONU/à l'OMS
Lieutenant-général John Frewen [ réf ] [ réf ]
Jane Halton [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Edward Holmes [ réf .]
Dossier Covid : Canada
Agences militaires/de renseignement et comités spéciaux impliqués dans la réponse
Force d'intervention de 24 000 personnes des Forces armées canadiennes (FAC) dans le cadre de l'opération LASER [ réf ]
Opération VECTOR des FAC (planification et distribution de vaccins) [ réf ]
Comité du Cabinet sur le COVID-19 [ réf ]
Dates auxquelles ces agences/comités étaient publiquement connus pour être en charge
23 janvier 2020 : première réunion de planification de l'Opération LASER [ réf ]
2 mars 2020 : Lancement officiel de l'opération LASER
4 mars 2020 : Annonce officielle du Comité du Cabinet [ref ]
Dates, types et noms des déclarations d'urgence sans précédent
Au Canada, les déclarations d’urgence ont été faites par les provinces, comme suit [ ref ] :
13 mars 2020 État d'urgence sanitaire au Québec
16 mars 2020 Urgence de santé publique à l'Île-du-Prince-Édouard
17 mars 2020 Urgence de santé publique en Colombie-Britannique (CB)
17 mars 2020 État d'urgence de santé publique en Alberta
17 mars 2020 État d'urgence provincial en Ontario
18 mars 2020 État d'urgence en Colombie-Britannique en vertu de la Loi sur les programmes d'urgence
18 mars 2020 État d'urgence provincial en Saskatchewan
18 mars 2020 Urgence de santé publique au Yukon
19 mars 2020 Urgence de santé publique dans les Territoires du Nord-Ouest
19 mars 2020 Urgence de santé publique au Nunavut
20 mars 2020 État d'urgence au Manitoba
22 mars 2020 État d'urgence provincial en Nouvelle-Écosse
Groupes militaires/affiliés à la CI impliqués dans la messagerie/propagande/censure
La CAF a commencé à recueillir des renseignements sur la désinformation liée à la pandémie en janvier 2020 [ réf ]
Commandement des opérations interarmées du Canada (COIC) [ réf ]
Unité de renseignement militaire canadienne – Équipe d’information de précision (PiT) [ ref ] [ ref ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 sont liés à l'armée, à la CI, à l'ONU/à l'OMS
Bill Blair [ réf .]
Crystia Freeland [ réf ] [ réf ]
Brian Santarpia [ réf .]
Dossier Covid : Pays-Bas
Les agences militaires et de renseignement et les alliances impliquées dans la réponse
Coordonnateur national pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV) [ réf ]
OTAN [ réf ]
Union européenne [ réf ]
Dates, types et noms des déclarations d'urgence sans précédent
15 mars 2020 : « nouvelles mesures supplémentaires pour lutter contre l’épidémie de COVID-19 » (fermeture des écoles, restaurants, installations sportives/de remise en forme) [ réf ]
23 mars 2020 : annonce du « confinement intelligent » [ réf ]
Groupes militaires/affiliés à la CI impliqués dans la messagerie/propagande/censure
Centre d'information et de manœuvre terrestre du ministère de la Défense (LIMC) [ ref ] [ ref ] [ ref ] [ ref ]
Coordonnateur national pour la sécurité et la lutte contre le terrorisme (NCTV) [ réf ]
Équipe nationale de communication de crise (NKC) (dirigée par le NCTV) [ réf ]
Groupe de travail interministériel sur la désinformation (comprenant notamment les ministères de la Défense, des Affaires étrangères et de la Justice) [ réf ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 liés à l'armée, à la CI, à l'OTAN et à l'UE
Marion Koopmans [ réf ]
Pieter-Jaap Aalbersberg [ réf ]
Dossier Covid : Allemagne
Agences militaires et de renseignement, comités et groupes impliqués dans la réponse et dates de leur annonce
27/28 février : Équipe de crise Corona (Corona-Krisenstab) [ réf ] dirigée par le ministère de la Santé et le ministère de l'Intérieur (équivalent du DHS + DOJ) [ réf ]
Novembre 2021 : nouvelle cellule de crise pour les vaccins (dirigée par des militaires) [ ref ]
Les principaux acteurs de la réponse au Covid-19 liés à l'OTAN, à l'ONU/OMS, à l'armée et à la CI
Général de division Carsten Breuer [ réf ] [ réf ] [ réf ]
Général Hans-Ulrich Holtherm [ réf ] [ réf ]
Christian Drosten [ réf ] [ réf ]
Heiko Rottman-Grossner [ réf ]
Bernhard Schwartländer [ réf ]
Dossier Covid : Italie
Bien que nous ne disposions pas encore de la liste complète des agences italiennes, des dates, des déclarations d’urgence, etc., nous avons des preuves convaincantes que l’OTAN a été impliquée dans la coordination de la réponse au Covid en Italie :
Le CTS (Commissione Tecnico Scientifica, ou Comité scientifique technique) italien a été créé le 5 février 2020 « avec une compétence de conseil et de soutien pour les activités de coordination visant à surmonter l’urgence épidémiologique due à la propagation du coronavirus ». [ ref ]
Notez la date par rapport aux événements du 4 février 2020 (décrits dans le résumé ci-dessus). Rappelez-vous que le 5 février 2020, personne en Italie n’avait été diagnostiqué ou n’était décédé du coronavirus. Dans le monde entier, quelques centaines de décès avaient été attribués au virus.
Le compte rendu d’une réunion du CTS tenue le 5 mars 2020, obtenu par le biais de la FOIA [ ref ], comprend des déclarations du général Bonfiglio (dont aucune information biographique ou contextuelle n’est disponible sur Internet, pour autant que nous puissions le savoir), identifié comme appartenant au « point UEO OTAN du DPC ». [ ref ]
Ci-dessous, une capture d'écran du procès-verbal en italien, suivie d'une traduction en anglais :
Le général Bonfiglio, Point OTAN UEO du Département de la Protection Civile, est invité et rappelle les engagements concernant le traitement de la documentation confidentielle qui doit être soumise aux règles de communication et de diffusion externe restreinte.
Le général Bonfiglio rappelle la loi 124/2007 qui souligne que la transmission des documents produits au sein du CTS (Comité Scientifique et Technique) se fera désormais par l'intermédiaire du Point OTAN UEO du Département de la Défense Civile et du Ministère de la Santé.
Dossier Covid : plans et alliances militaires/renseignements/biodéfense
Les plans et alliances suivants fournissent des cadres de réponse à une attaque bioterroriste/à l'arme biologique. Les informations fournies dans ce dossier suggèrent qu'ils ont pu être invoqués dans la réponse mondiale au Covid.
Réponse chimique, biologique, radiologique et nucléaire des États-Unis (9/9/2016) Cette publication fournit une doctrine conjointe pour la réponse militaire nationale ou internationale afin de minimiser les effets d'un incident chimique, biologique, radiologique ou nucléaire. [ ref ]
Medical Countermeasures Consortium – un partenariat de quatre pays impliquant les ministères de la Défense et de la Santé de l'Australie, du Canada, du Royaume-Uni et des États-Unis. [ réf ]
Comité quadripartite de renseignement médical (QMIC), l'équivalent sanitaire de l'alliance de partage de renseignements Five Eyes [ réf ]
OTAN – Centre d’excellence conjoint pour la défense chimique, biologique, radiologique et nucléaire [ réf ]
UE – Politique de sécurité et de défense commune (PSDC) [ réf ]
- Source : Brownstone Institute (Etats-Unis)