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Lundi, 10 Févr. 2025

C’est pas l’année des trans

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Vendredi, 07 Févr. 2025 - 15h25

Jusqu’à début novembre 2024, les trans avaient le vent en poupe. Ils étaient partout, au-dessus de tout et de tous, intouchables, rois du monde riant de leur super-différence face à la foule des beaufs, sur laquelle ils crachaient du haut de leurs faux cils. L’acmé fut leur banquet antichrétien en mondovision du 26 juillet 2024, soir de l’inauguration des JO LGBT de Paris. Le début de la chute.

Six mois plus tard, on ne sait pas trop ce qu’il s’est passé, juste après le 5 novembre – ça devait être une lune noire ou un mauvais alignement des planètes transphobes –, toute la transmania s’est effondrée. Ces surhommes, qui avaient tous les droits, celui notamment d’accuser les non-trans de transphobie à la moindre critique ou vanne, les ont perdus les uns après les autres.

Aujourd’hui, il ne leur reste que leurs faux nibards pour pleurer. Ils sont redevenus des nobodys, des beaufs, des gens-qui-ne-sont-rien. Pire, leur reine, qui squatte un château au cœur de Paris, est en train de tomber pour une vulgaire histoire d’âge ou de mari incompétent.

On parlait de JO et de trans, chacun sait qu’ils avaient infiltré le sport féminin pour voler des médailles. Aujourd’hui, c’est terminé. Un sale type, fasciste et blanc, donc transphobe, a décrété aux États-Unis que les transsexuels ne pourraient plus tricher. Le journal L’Équipe, en retard d’une guerre sur l’opinion, s’indigne.

En réalité, 99 % des Français trouvent que la pénétration trans chez les femmes est au mieux une absurdité, au pire un danger. Les filles elles-mêmes ne sont pas d’accord pour rétrograder dans les compétitions.

Pour l’instant, la tornade antitrans qui ravage les USA n’a pas traversé l’Atlantique. Ceux qui s’intéressent au BrigitteGate en France sont toujours victimes de persécutions ou d’intimidations. Il ne s’agit pourtant pas de transphobie, puisque la première Dame est bien une femme, selon l’Élysée. Deux exemples exemplaires ici :

On peut donc se moquer de Marie-Antoinette mais pas de Macron-Antoinette. On ne voit pas comment arrêter la déferlante sur les RS, c’est comme si on voulait stopper un tsunami avec des seaux de plage.


- Source : E&R

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