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Vendredi, 31 Janv. 2025

L’attaque du Capitole était-elle voulue ?

Auteur : Jon Rappoport | Editeur : Walt | Jeudi, 07 Janv. 2021 - 18h24

J’écris ceci quelques heures avant de le poster, il se peut donc que des événements se produisent qui ajoutent des informations supplémentaires.

La première chose que vous devez vous demander : l’effraction au Capitole, alors que le Congrès était en session et tenait un débat sur la certification des élections, était-elle une tentative d’empêcher un transfert de pouvoir à Biden, ou une tentative d’arrêter le débat lui-même – pendant que les législateurs auraient exposé les preuves de la fraude ? L’agression a permis d’arrêter le débat, qui était retransmis en direct à la télévision. Les législateurs ont été évacués.

Nous savons que, il y a quelques mois, les "Antifa" envoyaient des mémos à leurs membres pour qu’ils se présentent aux rassemblements en se faisant passer pour des partisans du président, portant l’équipement approprié, afin que, lorsque les "Antifa" causaient des troubles et commettaient des actes de violences, leurs actions soient imputées aux partisans de Trump.

Je ne dis pas que toutes les personnes qui ont fait irruption au Capitole aujourd’hui étaient des membres des "Antifa", mais leurs membres auraient pu montrer la voie, attiser la colère et se mettre à la tête des centaines de personnes qui ont fait tomber les barrières et forcé la police à reculer.

Peu avant l’effraction, C-Span diffusait une réfutation du sénateur au discours de Mitch McConnell. 

McConnell a fait une de ces présentations remplies de clichés, affirmant qu’il n’y avait aucune preuve de fraude à une échelle qui aurait pu renverser l’élection.  Son principal argument (non pertinent) était que les tribunaux n’ont trouvé aucune raison de se prononcer contre la victoire de Biden.

La réfutation a été assez vive, accusant essentiellement McConnell d’avoir agi comme un artiste "cérémoniel".

Et ce n’était que le début de l’action aujourd’hui en session du Congrès. Qui sait ce qui aurait surgi de la trémie, au fur et à mesure que la journée avançait et que la nation regardait ?

Le vice-président Pence – qualifié de traître par les soutiens de Trump – a en fait déclaré qu’il présiderait une session conjointe ouverte du Congrès et autoriserait des discours complets sur la fraude électorale, de la part d’États dans lesquels un sénateur et un législateur du Congrès ont déposé des objections à la certification de l’élection par estampillage.

Mais ce processus a été détourné par les personnes qui ont pénétré par effraction dans le bâtiment du Capitole.

Au lieu de cela, nous avons maintenant une couverture médiatique incessante qui dépeint le million de manifestants à Washington et à Trump comme des destructeurs de la nation et "toutes les valeurs que nous défendons en tant qu’Américains…"  

J’ai lu et vu des rapports de membres d’Antifa (de Philadelphie et de Tempe) se trouvant à l’intérieur du bâtiment du Capitole. 

Une photo en gros plan d’un des poignets du manifestant montre un tatouage de faucille et de marteau. 

On prétend que des membres des "Antifa" ont été conduits en bus à Washington un jour avant le rassemblement.

De toute évidence, si l’assaut contre le Capitole était un attentat sous faux drapeau, toutes les accusations portées contre les partisans de Trump ouvrent la voie à des mesures encore plus draconiennes pour le peuple américain, sous la rubrique de la sécurité nationale, qui s’ajoute aux mesures de verrouillage du COVID.

La courte durée d’attention des téléspectateurs s’éloigne de plus en plus des violentes émeutes antifa dans les villes américaines au cours des six derniers mois. Et alors que les médias ont présenté les émeutes antifa comme des "troubles largement pacifiques", nous pouvons nous attendre à des mois de déclarations pompeuses sur les événements de mercredi à Washington.

Biden sera "le président sain d’esprit" qui a rétabli la paix et l’ordre. Les opposants qui refusent de reconnaître l’élection de Biden seront qualifiés, encore et encore, de dangereux fous.

Pendant les 20 prochaines années, les médias vont jouer le mercredi 6 janvier 2021, le jour noir où l’Amérique a failli se disloquer. 

Vous pouvez parier que quelques dizaines de sociétés de production sont déjà en train de monter des séquences pour des documentaires "stupéfiants et primés". Les démocrates ressentent une explosion de confiance dans le fait que la carrière politique de Trump est terminée – puisqu’il sera à jamais lié à "L’Insurrection du 6 janvier".   

À leurs yeux, c’est bien mieux qu’un assassinat physique ! Dans la nuit du 27 février 1933, un incendie a été allumé au Reichstag, le parlement national allemand. 

Il a brûlé une partie importante de la structure.  De nombreux historiens affirment que le peuple d’Hitler a allumé ce feu – qui, à l’époque, a été attribué avec succès à son principal adversaire politique, le Parti communiste.  Cette tactique a permis à Hitler de consolider sa dernière pièce nécessaire du pouvoir national.

Parallèlement à l’approbation et au soutien d’IG Farben, le plus grand cartel pharmaceutique et chimique du monde, l’attentat sous faux drapeau du Reichstag donna à Hitler le contrôle du destin de l’Allemagne. Les attentats sous faux drapeaux fonctionnent !

Lire aussi: La police a laissé sciemment les manifestants pénétrer dans le Capitole


- Source : No more fakenews

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