www.zejournal.mobi
Mardi, 26 Nov. 2024

Une ancienne employée de Merck l’avoue: « l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique »

Auteur : Larry Cook | Editeur : Walt | Jeudi, 21 Mai 2020 - 11h29

Une ancienne visiteuse médicale de MERCK explique que l’obligation vaccinale est pour le profit, pas pour la santé publique

Brandy Vaugham est une ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co. Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments. Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire.

Mon premier engagement dans l’industrie pharmaceutique comme représentante pour la firme Merck date de l’époque où le Vioxx était sur le marché. J’étais, en fait, représentante pour le Vioxx de Merck. Quand il est apparu que Merck avait falsifié ses données de sécurité, et que le Vioxx provoquait deux fois plus de crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux chez les personnes qui prenaient le médicament, j’ai commencé à réaliser qu’il y avait beaucoup de corruption dans les coulisses et que ce n’était pas parce qu’un médicament était sur le marché qu’il pouvait être considéré comme sûr.

Après avoir travaillé pour Merck, je fus assez désabusée par l’ensemble du scandale. J’ai vécu à New-York pendant huit ans, et c’est là que j’ai eu mon fils. A six mois, je l’ai ramené avec moi à San Francisco sans qu’il soit vacciné. Quand je me suis rendue à la visite médicale, ils ont essayé de nous fourguer les vaccins. A cette époque, je n’avais pas encore fait énormément de recherches, mais j’en savais déjà assez pour ne pas faire aveuglément confiance aux médicaments. Au cours de la visite médicale, j’ai demandé à voir la notice du vaccin. Le médecin a éclaté en colère, prétendant que je ne lui faisais pas confiance. Il sortit en claquant la porte et une infirmière me fit savoir que je ne serais désormais plus jamais la bienvenue dans cette clinique. Sachant tout ce que j’avais déjà appris en tant que représentante, ce fut pour moi un fameux et énorme signal. Je poursuivis donc mes recherches sur les vaccins, les ingrédients et les données inexactes de sécurité.

Je découvris beaucoup de choses. L’une d’elles était que l’aluminium était le principal adjuvant des vaccins pour enfants. J’avais déjà fait certaines recherches sur l’aluminium et avais donc déjà une certaine expérience. Ma grand-mère avait eu un cancer du sein. La biopsie avait montré des taux élevés d’aluminium dans ses tissus.  Le médecin nous expliqua que ma grand-mère devait abandonner les déodorants traditionnels parce que l’aluminium qui s’y trouvait était susceptible de provoquer le cancer. C’était un produit cancérogène. Ce fut encore un fameux signal d’avertissement pour moi quand je réalisai que ces produits se trouvaient dans les vaccins pour les enfants. Je parvenais à peine à y croire !

J’ai continué à faire de plus en plus de recherches et je finis par réaliser qu’aux Etats-Unis on administrait deux fois plus de vaccins que dans la plupart des autres pays développés, et que la véritable crise de santé était le fait que nos enfants étaient plus malades que dans n’importe quel autre pays développé, en dépit du fait que plus d’argent était, par habitant, dépensé pour les soins de santé. Aux Etats-Unis, nous avons les taux les plus élevés de mort subite du nourrisson, d’asthme, d’allergies alimentaires, de TDAH, de leucémie infantile, et du type 1 de diabète. Pour moi, c’était cela la véritable crise de santé.

Au plus j’approfondissais le sujet, au plus je réalisais que les vaccins ne concernaient guère la santé publique. Il s’agit surtout des profits de l’industrie pharmaceutique. Ce qui est intéressant avec les vaccins, c’est que les mêmes études rigoureuses de sécurité qui sont réalisées pour la plupart des médicaments ne se font généralement pas pour les vaccins parce que tout simplement les vaccins sont considérés être une mesure de santé publique contrairement aux différents médicaments. Les études des vaccins durent en général peu de temps. Ce se sont pas des études en double aveugle avec véritable placebo comme c’est pourtant la norme d’or pour les médicaments. Pour les vaccins,  on n’exige pas les mêmes études rigoureuses que pour les médicaments. Il est aussi très facile de manipuler les données et de les présenter comme étant sans danger. Si on analyse les études en étant particulièrement attentifs à la toxicité des adjuvants et des additifs, on s’aperçoit que les études dites de sécurité ne prouvent pas du tout la sécurité des vaccins. En fait,  il existe pas mal d’études qui montrent que quantités d’additifs des vaccins sont très toxiques, tout spécialement pour les enfants dont le système immunitaire est encore particulièrement immature.

Au plus j’approfondissais les études de sécurité et me rendais compte à quel point elles étaient défectueuses, au plus j’étais en quelque sorte mise en garde. Mon fils a maintenant 4 ans ½, et n’est toujours pas vacciné. Je me suis sentie d’autant plus motivée dans cette lutte que j’ai appris que des projets de loi rendant les vaccinations obligatoires commençaient à émerger un peu partout dans le pays, dans plus de 138 états. Il est clair pour moi maintenant qu’il s’agit d’une question de profit avant d’être une question de santé publique. Je sais que de nombreuses compagnies pharmaceutiques ont perdu leurs médicaments vedettes. Au cours de ces dernières années, elles ont perdu leurs brevets. C’est la raison pour laquelle ces compagnies cherchent à augmenter leurs profits.

Pour les vaccins, les études de sécurité sont moins rigoureuses et donc moins coûteuses, il y a moins d’obstacles pour en obtenir la mise sur le marché. En outre les sociétés pharmaceutiques sont dégagées de toute responsabilité, de toute poursuite possible. En fait, les vaccins sont le seul produit aux Etats-Unis pour lequel vous ne pouvez engager de poursuites judiciaires normales s’il y a dommage ou décès. Si vous réunissez tous ces éléments vous avez alors un produit avec la marge bénéficiaire la plus élevée possible. En rendant les vaccins obligatoires et en n’arrêtant pas d’élargir le calendrier vaccinal, ce sont nos enfants qui sont utilisés dans des buts de profit. C’est là exactement ce qui se cache derrière les projets de loi visant à rendre la vaccination obligatoire.

Une des choses que l’on me demande souvent c’est pourquoi on n’entend pas plus souvent parler de la chose si elle était vraie. Au cours de ma recherche, j’ai découvert que les Etats-Unis étaient l’un des deux seuls pays au monde qui autorisaient les entreprises pharmaceutiques à faire directement de la publicité aux consommateurs. Nous avons tous vu des publicités pour médicaments dans les médias. Cela permet aux compagnies pharmaceutiques de dicter essentiellement ce qui est présenté dans les médias. Si vous leur accordez 30 à 40% de leur publicité, vous contrôlez pratiquement tout ce qu’ils annoncent. Combien de journalistes et d’articles n’ont-ils pas été censurés, y compris le lanceur d’alertes du CDC, fin de 2014 qui a révélé que le CDC avait camouflé des données qui montraient que le vaccin ROR provoquait des dommages neurologiques (autisme). Récemment, il y a eu beaucoup d’histoires de différents pays qui poursuivaient les fabricants de vaccins pour des dommages et des décès. Certains vaccins n’ont plus été conseillés comme le Gardasil au Japon, le Prevenar en Chine, le Rotavirus en France. L’Espagne aurait fait un procès à Merck pour le Gardasil.

Au travers des médias traditionnels, les compagnies pharmaceutiques dépensent chaque année 18 milliards de dollars en frais de marketing. Pour les médecins, les compagnies dépensent six fois ces sommes en plans d’assurance santé, conférences éducatives, études publiées dans des revues médicales, etc., etc. Tout cela revient à dire que nous avons des vaccins exemptés de toute responsabilité pour le fabricant, très peu de données montrant que ces vaccins sont sûrs et efficaces, avec d’énormes dépenses de marketing. Aux Etats-Unis notre système vaccinal est délabré. Il n’est pas possible de rendre un produit obligatoire quand tant de questions restent sans réponse et quand tant de choses se passent dans les coulisses dont le public n’est pas conscient, comme par exemple les ingrédients des vaccins. Rappelez-vous qu’un pédiatre n’a pas voulu me montrer la notice du vaccin ! Il y avait évidemment de bonnes raisons pour cela : la présence d’aluminium, de formaldéhyde, de cellules de fœtus avortés, de cellules animales. Ces vaccins comprennent quantités d’autres éléments que d’autres pays refusent pour la consommation et pour l’incorporation dans les vaccins. Il y a aussi des éléments dont on ne connait pas les conséquences, et pour lesquels on ne possède pas suffisamment de données. N’est-ce pas jouer à la roulette russe avec la santé de nos enfants ?

Les compagnies pharmaceutiques disent que tout cela concerne l’aide apportée au public, concerne la sécurité publique. Je me demande alors pourquoi nous ne disposons pas de plus de données sur les effets que vont avoir tous ces éléments, pourquoi nous n’avons pas d’études long-terme, des études sur les effets qu’ont ces produits dans le corps même de nos enfants. Aujourd’hui, nous avons les enfants les plus malades du monde. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond. Il ne s’agit peut-être pas uniquement des vaccins. C’est aussi le cocktail de pesticides et de polluants dans l’eau, dans l’air. Mais les vaccins représentent souvent un déclencheur parce que génétiquement le corps a besoin d’un  déclencheur pour exprimer ce genre de maladies et de problèmes que nous connaissons aujourd’hui. Les vaccins sont souvent en cause parce que ces produits chimiques sont injectés dans le flux sanguin, de sorte qu’ils peuvent ne pas nécessairement passer par une grande partie des processus de détoxification. Il arrive que ces produits pénètrent directement dans le cerveau au travers de la barrière hémato-encéphalique. Ce sont ces questions difficiles qu’il nous faut poser. Avant cela, avant que nous ne disposions de plus d’information, il n’est absolument pas possible de rendre les vaccins obligatoires. Il doit y avoir le choix. Là où il y a risque le choix s’impose.

En 1983, un jeune Américain recevait entre 0 et 18 ans 24 doses de vaccins en 7 injections. En 2016, un jeune Américain de 18 ans aura déjà reçu 70 doses de vaccins répartis en 50 injections… Est-ce tellement mieux en Europe?

Article paru dans la Lettre Médecine du Sens n° 131


Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...