Le gouvernement français à montré une nouvelle fois que la France n’est pas une démocratie! Trahison!
Ce gouvernement à une nouvelle fois montré que la France n’est pas une démocratie, et surtout qu’il ne travaille ni pour les français, ni pour la France elle-même, mais pour la finance et la loi des marchés. La mise en place du traité transatlantique est leur seule priorité, s’il fallait une preuve de plus, la voilà! Et cette foutue démocrature dans laquelle les politiques ne respectent même plus la constitution en place ne mérite qu’une seule chose: un soulèvement populaire!
Valls a ressorti le 49.3 pour la troisième fois pour faire passer la loi contestée, pas même le courage de la soumettre aux votes, à croire que « les maîtres » n’ont plus la patience. Au menu, une libéralisation complète de toutes les règles dans le pays pour que le TAFTA puisse voir le jour, une libéralisation au profit de multinationales surtout américaines (bien évidement…), avec quelques surprises de dernière minute comme par exemple un amendement autorisant l’enfouissement des déchets nucléaires, déchets qui vont s’ajouter aux nombreux déjà enterré dans le plus grand silence dans le passé, et qui s’ajoute également aux déchets nucléaires autorisés dans les matériaux de construction.
Comme le parlement européen qui a renoncé à s’opposer à l’arbitrage dans le TTIP, la France fonce tête baissée dans le TAFTA et nous en serons tous les victimes!
Et au fait, où étaient les syndicats censés défendre les français pour le coup? (Les Moutons Enragés)
Rendez-vous était pris ce jeudi à 15 heures pour présenter de nouveau aux députés le projet de loi Macron pour une adoption définitive. Le Premier ministre Manuel Valls a engagé une nouvelle fois sa responsabilité sur ce texte, comme lors des deux précédentes lectures, en février et en juin. Au titre de l’article 49.3 de la Constitution, un texte sur lequel le gouvernement a engagé sa responsabilité est considéré comme adopté, sauf si une motion de censure, déposée dans les 24 heures, est votée – au moins deux jours après son dépôt – par l’Assemblée. Article complet+vidéo sur Lepoint.fr
Quand à savoir ce que cela va changer, comme d’habitude, les médias restent assez évasif, surtout ne pas informer complètement les français. Cette loi contient plus de 1000 amendements, et concerne les métiers réglementés comme les notaires, et cela a déjà commencé à faire des ravages au niveau emplois, les fêtes religieuses, les règles prud’homales, les lignes de bus, et 996 autres arnaques mises en place pour obéir à la finance. Un « petit » aperçu est néanmoins proposés sur le site d’Europe1:
PRATIQUE – Ce vaste paquet de réformes devrait être définitivement adopté jeudi. Europe1.fr fait le tri dans ce mille-feuille pour vous résumer l’essentiel.
C’est la fin d’un long marathon : jeudi après-midi, le projet de loi Macron a été de nouveau présenté aux députés pour une adoption définitive vendredi. Un examen qui promet d’être sommaire puisque le gouvernement a annoncé son intention de recourir à nouveau au 49-3 pour ne pas éterniser les débats. Mais que va changer cette loi « pour l’activité, la croissance et l’égalité des chances économiques » dans la vie quotidienne des Français ?
DU POINT DE VUE DU CONSOMMATEUR
Le premier changement, probablement le plus visible, concerne le transport en autocar. Ce dernier, qui était très réglementé et limité aux trajets au sein d’une région, va être libéralisé : dès cet automne, il sera possible de prendre le bus pour des trajets de plus de 100 kilomètres. Avant la fin de l’année, la libéralisation s’étendra aux trajets inférieurs à 100 kilomètres. Cette réforme, qui devrait permettre de réduire sensiblement les coûts de transports, va aller très vite : plusieurs opérateurs ont déjà mis au point un réseau et une grille tarifaire. Pour rester dans le chapitre transport, sachez qu’un VTC pourra vous attendre en gare ou dans un aéroport si vous l’avez réservé à l’avance.
L’autre principal changement à attendre concerne l’ouverture dominicale des commerces. Dès cet automne, les commerces situés dans les gares les plus fréquentées pourront ouvrir tous les dimanches, ainsi que ceux localisés dans certaines zones touristiques ou commerciales. Les zones de tourisme international (les grands boulevards parisiens, Deauville, Cannes et Nice) pourront, elles, ouvrir tous les dimanches mais aussi en soirée jusqu’à minuit. Dans le reste de la France, les commerces pourront ouvrir jusqu’à douze dimanches par an, le maire ayant le dernier mot sur le nombre de dimanches ouvrés.
En outre, la loi Macron réforme le passage du permis de conduire, qui peut prendre des mois. Objectif de la loi : diviser par deux le délai entre un premier et un deuxième passage, qui ne devra pas excéder 45 jours. Pour y arriver, les examinateurs vont être déchargés de l’examen du permis poids lourds, confié à des organismes de formation professionnelle, et en cas d’engorgement, la préfecture pourra recourir à des examinateurs supplémentaires (des agents publics ou contractuels).
La loi Macron promet par ailleurs de réduire la facture lors d’un recours à une profession juridique (huissier, notaire, greffier, etc.). D’abord en instaurant une grille tarifaire pour les actes les plus courants et les plus simples, ensuite en instaurant une semi-liberté d’installation pour doper la concurrence. Sauf que les règles encadrant l’installation d’un nouveau cabinet ne sont pas attendues avant 2016 et que la grille tarifaire sera établie ultérieurement.
DU POINT DE VUE DU TRAVAILLEUR
Du côté des salariés, les principaux changements à attendre concernent la justice prudhommale et le travail dominical, avec des réformes qui ne vont pas vraiment jouer en leur faveur.
En ce qui concerne la justice prud’homale, la loi Macron va plafonner les indemnités en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse, variable selon la taille de l’entreprise et l’ancienneté du salarié concerné. Objectif affiché : raccourcir les délais. En cas de redressement ou liquidation judiciaire, l’administration pourra également homologuer un plan social en prenant en compte les moyens de l’entreprise, et non ceux du groupe auquel elle appartient, dont les moyens sont souvent bien plus importants. Article complet sur Europe1
- Source : Benji