Pour Sandrine Rousseau, en mangeant de la viande vous allumez des feux de forêt
L’inimitable députée écologiste Sandrine Rousseau a de nouveau suscité la controverse en établissant une analogie entre les incendies qui sévissent dans plusieurs pays et la consommation de viande.
Sandrine Rousseau, connue pour ses prises de position (volontairement ?) controversées, a encore une fois déclenché une vague de réactions sur les réseaux sociaux. Alors que des incendies dévastent actuellement les paysages méditerranéens, ainsi que des régions en Chine et aux États-Unis, la députée écologiste a publié un message sur Twitter, dans lequel elle attribue ces feux aux habitudes alimentaires.
La consommation de viande est une des causes de ce qui se passe en Algérie, Espagne, Grèce, Chine, Arizona et partout.
— Sandrine Rousseau (@sandrousseau) July 25, 2023
Se prendre en photo, tout sourire, avec un morceau de viande, aujourd’hui, c’est cracher à la figure de celles et ceux qui fuient, brûlent, meurent de chaleur.
Certains internautes ont du mal à digérer le lien de corrélation établi par Sandrine Rousseau, lui reprochant de donner « une énième leçon de morale ». D’autres ne manquent pas de ressortir des dossiers comme par exemple une photo d’elle à table avec des membres de la NUPES (dont Jean-Luc Mélenchon) où on voit clairement un joli morceau de cochon dans l’assiette de notre députée soit-disant végétarienne. Par ailleurs, on ne compte plus les photos d’assiettes de viande postées en réponse à ce tweet.
Sinon pour savoir, le cochon, vous le placez dans la catégorie des légumineuses ou des graminées ? pic.twitter.com/IoQuYHjC6y
— On m'appelle 404 (@Red_Pill_Report) July 25, 2023
La députée écologiste plaide en faveur d’une réduction de la consommation de viande, car elle estime que son impact environnemental est trop élevé. L’année dernière, elle avait déclenché la polémique en déclarant que « manger une entrecôte cuite sur un barbecue » était un « symbole de virilité », une sortie qui lui a valu de nombreuses moqueries qui la suivent encore à la trace aujourd’hui.
- Source : Le Média en 4-4-2