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Vendredi, 15 Nov. 2024

À quoi bon se faire vacciner ? (Vidéo)

Auteur : Charles André | Editeur : Walt | Lundi, 12 Avr. 2021 - 04h57

Alors que Nice se targue d’avoir « battu le record » journalier de vaccinations (lire « Vaccination contre la Covid-19 : le record de France a été battu à Nice avec plus de 5 300 personnes au rendez-vous »), qu’il nous soit permis de nous questionner : POURQUOI toutes ces personnes se font-elles ainsi vacciner ?

1) Les personnes vaccinées ne sont pas dégagées des restrictions de libertés imposées par le vrai-faux confinement. Le Conseil d’État, dans son ordonnance du vendredi 2 avril dernier, a indiqué que « les personnes vaccinées peuvent demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». Et que, dès lors, « l’atteinte à la liberté individuelle […] ne peut […] être regardée comme disproportionnée en tant qu’elle s’applique aux personnes vaccinées ».

2) Les vaccins précipitamment concoctés qu’on nous administre n’ont pas encore passé la phase expérimentale.

3) Ils peuvent être dangereux au point que certains « vaccins » sont retirés en catastrophe des vaccinodromes.

4) Ils ne nous protègent pas forcément : « C’est une question incroyablement importante, à laquelle nous n’avons tout simplement pas la réponse », disait il y a quelques semaines le virologue Timothy Henrich, qui étudie les effets à long terme de la maladie.

5) S’ils protègent, c’est sur du court terme : environ 3 mois comme l’explique l’étude sur le vaccin Moderna bien que les chercheurs espèrent davantage.

L’espoir fait vivre.

Par ailleurs, avoir contracté la Covid-19 ne protège pas davantage : une personne de mon entourage, infectée en décembre, a déjà perdu, après trois mois, la quasi totalité des anticorps protecteurs contre la maladie (révélé par test sanguin de contrôle) ! Elle veut donc se faire vacciner… Pour quel bénéfice ? Trois mois de plus ? Et après ?

Dans ces conditions, à quoi bon se faire vacciner ?

En 1957 et 1969, les épidémies de grippe – non médiatisées : il n’y avait pas le croque-mort de 20h, chaque soir, dans la petite lucarne – auraient fait respectivement 20 000 et 30 000 morts en France. Personne ne s’en souciait plus que ça, aucun vaccin n’a été bricolé dans l’urgence, et l’immunité collective a fait le reste. Aujourd’hui, dans notre société de l’émotion, du sensationnel, du « buzz » mais aussi de plus en plus hygiéniste, réfutant le risque et les responsabilités, cette grippe saisonnière a pris des proportions dramatiques faisant basculer le monde dans la psychose et l’irrationnel.

Partant, si vous croyez voir rouvrir les théâtres et les cinémas au 15 mai (et les restaurants dans la foulée), comme l’a annoncé Macron, si vous pensez être libérés des restrictions en tous genres avant l’été, vous vous bercez d’illusions. Surtout qu’après les variants anglais, australien, sud-africain, brésilien, voici venu le variant breton ! Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 dont on nous dit qu’il pourrait échapper aux tests de dépistage classiques. Donc, il va se répandre. Et d’autres après lui. Car le propre des virus, c’est de muter !

« L’important n’est pas de convaincre mais de donner à réfléchir ».


- Source : Nice Provence Info

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