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Instrumentalisation et reconfinement

Auteur : Geopolintel | Editeur : Walt | Jeudi, 29 Oct. 2020 - 07h52

Le blasphème, à la mode républicaine, ne heurte pas seulement l’épiderme chatouilleux – à juste titre – de musulmans ulcérés de se voir insolemment insultés en la personne de leur Prophète… Ce que des individus sains d’esprit, nantis du plus élémentaire bon sens et démunis d’un trop plein de malveillance, se garderaient bien de faire parce qu’il s’agit? : primo, du respect élémentaire des croyances d’autrui et de la paix civile, cela en s’abstenant de toute agression et de provocation gratuites à l’égard de gens – Chances pour la France - que l’État social-libéral a providentiellement installés chez nous? ! Sans notre consentement il va sans dire, sans nous avoir jamais consultés (mais la vaseline démocratique aidant la chose est passée – presque – comme un lettre à la poste)? ; deusio, le savoir-vivre venant se combiner à la prudence élémentaire, ils nous engagent à ne pas piétiner la queue du dragon qui sommeille parce qu’en ces temps de déshérence il ne faut compter sur personne pour assurer nos arrières… ni sur la police démunie et moralement désarmée, et encore moins sur la Justice en grande partie passée de l’autre bord avec armes et bagages perdue qu’elle est dans une errance idéologique sans fin. Aucun ne viendra à notre secours en cas de gros pépin. Les événements cruels - récurrents depuis l’attentat du RER B à la station de métropolitain Saint Michel (huit morts 117 blessés) le 25 juillet 1995 revendiqué par le Groupe islamique armé (GIA) algérien - nous ont rendus circonspects? : l’État est impuissant et il entend le rester, c’est l’empire de la jactance… Aujourd’hui les Céfrans ont mis à leur tête un super Cahuzac, un expert bonimenteur qui ment sans broncher les yeux dans les yeux de la Nation, nous récoltons ainsi ce que nous avons semé. Mais que faire quand l’on croise le chemin d’un halluciné le couteau à la main? ?

Sur le front de la panique covidesque

Mais revenons à l’actualité immédiate et à cette deuxième vague qui semble inventée de toutes pièces pour les besoins de la cause…?À savoir une conjoncture économique et géopolitique extrêmement volatile? : élections présidentielles américaines pouvant déboucher sur des troubles tant le pays est divisé. Certes le parti Démocrate n’est pas le parti de Lénine en 1917, néanmoins l’État profond est aux États-Unis autrement puissant et ramifié… comme en témoignent les successives tentatives de destitution et les divers coups bas porté au président Trump depuis quatre ans. À présent, jouant son va-tout, le Deep state n’hésitera certainement pas à attiser jusqu’à la confrontation les antagonismes raciaux qui se sont manifestés – à notre grande stupéfaction - lors de l’affaire George Floyd. L’hypothèse d’une guerre civile n’est désormais plus à exclure en cas de réélection de Donald Trump. Ce n’est pas nous qui le disons mais les meilleurs connaisseurs en la matière. Pour ce qui est de la conjoncture économique, l’Union européenne – exception faite des heureux suédois pas plus malades que nous autres surconfinés – est placée en vigilance orangée/écarlate histoire de domestiquer un peu plus les populations rebelles non encore pleinement converties aux joies transhumanistes de la 5G et des vaccins génétiquement modifiés. Car le Progrès est une religion, Religion dominante, contraignante, tyrannique au sens fort à laquelle il est déjà formellement (juridiquement et pénalement) interdit de ne pas adhérer… Essayez un peu, pour voir, de contester les dogmes du genre ou la version officielle de l’épidémie de SARS-CoV-2 et vous constaterez à vos dépends que le blasphème n’est pas loin… d’ailleurs les têtes ne tarderont pas à tomber, les financements du CHU de Marseille pourraient bien en faire les frais.

Blasphème contre la géniale politique de sécurité sanitaire

Commençons donc par nous intéresser à cette autre sorte de blasphème qui n’occasionne aucune décapitation spectaculaire mais qui n’est cependant pas sans conséquence. Et parce que, s’il se manifeste à moindre de bruit, il n’en concerne pas moins la vie et la mort d’hommes. Nous parlons du blasphème consistant à s’opposer à l’empire médical et pharmaceutique et toutes critiques négatives de la géniale politique de sécurité sanitaire adoptée par le gouvernement avec l’assentiment forcé et passif des populations. La courageuse députée (ex La République en Marche) Martine Wonner s’est à ce sujet faite vertement reprendre (recadrer) par le doux ministre Véran lors des débats sur la prorogation et le renforcement de l’état d’urgence sanitaire ce 24 octobre 2020. Pour ce député isolé sur les bancs de l’hémicycle, l’état d’urgence sanitaire supposé ne nécessite pas la mise en place de mesures d’exception bafouant les droits fondamentaux des français, le Parlement devant pouvoir à tout moment contrôler l’exécutif et ne pas lui donner carte blanche pour les six mois à venir… À ce titre confinement, reconfinement sont maintenant, en effet, inscrits l’ordre du jour jusqu’au printemps prochain.

Bref tout ce qui a trait aux faux positifs et pseudo-malades, aux couvre-feu que certains voudraient voir établi à la 19e heure avec une claustration obligée les fins de semaine, en un mot toutes paroles s’échappant, de l’orifice buccal des Professeurs Raoult, Perronne, Delépine, Toussaint, Toubiana et de l’immense cohorte de leurs semblables. À défaut de les raccourcir, « ?On? » s’efforce par tous les moyens de les réduire au silence…?On sent que d’énormes pressions s’exercent sur le Pr. Raoult qui a perdu de son mordant et qui, visiblement gêné, désormais détourne les yeux de la caméra. Ou l’ancien ministre de la Santé Douste-Blazy qui essaie de faire entendre raison à la péronnelle semi-harpie qui le presse (tout en se retranchant derrière sa propre incompétence scientifique) sur le plateau de “Public sénat” de soutenir les insoutenables positions officielles. Rappelons que les autorités sanitaires nous entourloupent gravement en créant volontairement la confusion entre le nombre de cas positifs dépistés et le nombre de malades réels. Il est vrai que le système hospitaliers qui subit de plein fouet une crise des vocations chez les personnels paramédicaux (infirmières et aides-soignants), ne dispose à l’heure actuelle que de cinq mille lits de réanimations là où, pour une populations équivalente, l’Allemagne en compte 15.000? !

Si en vingt ans la moitié des maternités a disparu, notamment dans les zones rurales (l’immigration, quatre cents mille l’an, vient – n’est-ce pas? ? - combler largement un déficit chronique de naissance accru en outre par l’avortement? : 230.000 en 2019), de la même façon en quinze ans, au bas mot, ce sont 69.000 lits qui ont été supprimés dans les hôpitaux publics en accompagnement d’une politique volontariste de privatisation du secteur de la santé destinée à devenir essentiellement à but lucratif. Nous ne nous étendrons pas sur le filon que constituent les cliniques privées dans le contexte d’un très généreux système d’assurance santé… M. Macron a inauguré son quinquennat en faisant passer à la trappe quelque 4.172 lits entre le 31?décembre 2017 et le 31?décembre 2018, tandis que, il est vrai, le nombre de lits en ambulatoire augmentait sensiblement.

En matraquant les Français de gestes barrières, de masques-muselières, de gel hydroalcoolique (la seule mesure vraiment sérieuse sachant que le virus se transmet par contact et non en aérosols comme des MM. Purgon et Diafoirus continuent de le clamer avec force trémolos), de limitation à 6 à table, 6 en réunion, 6 partout, On s’efforce a priori de masquer la dure réalité de l’imprévoyance gouvernementale, mais pas seulement? ! Puisqu’en effet cette seconde vague – tant annoncée et aussi tant attendue - commencerait à déferler sur l’hémisphère Nord (mais apparemment pas, ou si peu, sur le continent africain, comme c’est étrange? !). Et puis pour ceux qui aiment à rire de nos malheurs (sans vulgarité ce qui est devenu, rarissime) rappelons avec l’humoriste Franjo que “l’espérance de vie étant de 82 ans et que la moyenne d’âge des morts du Covid étant de 84, ce virus nous a donc permis de gagner deux ans” d’existence supplémentaires.

Conspiration contre l’Europe réelle

En raccourci, pour ceux qui n’auraient pas encore compris – hélas ils sont légions, au demeurant la peur subjectiviste, l’émotion ont infiniment plus de pouvoir que la seule raison, une fonction cérébrale terriblement atrophiée de nos jours – nous subissons une conspiration, en vraie et pas ce que les journaleux et autres menteurs professionnels et grassement stipendiés nomment une théorie du complot. Car conspiration il y a, et bien là. Une conspiration contre les peuples, cela fait de moins en moins de doute. Nous pouvons de ce point de vue, sans trop d’efforts, distinguer plusieurs strates d’intérêts à prolonger indéfiniment la crise sanitaire.

Un intérêt de politique intérieure et européenne? : le fiasco de l’€uro est patent, l’Union se délite, et d’avec le Royaume-Uni a rompu ses amarres, bon vent… dans une telle conjonture un rien pourrait faire vaciller l’ensemble, la crise turque par exemple…?Le président truc, insulte M. Macron dont il met en cause la santé mentale. Aussi venons-nous de rappeler notre représentant (pour consultation) tandis que M. Erdogan multiplie les postures belligènes en Méditerranée orientale, dans le golfe des Syrtes, aux abords de Chypre (déjà amputée en 1974 après les deux vagues d’assaut - en juillet et en août - de l’Opération Attila, autrement appelée « ?Paix pour Chypre? », d’un tiers de son territoire - 38% - avec un bilan humain consternant? : 3090 tués et 909 disparus), dans le Nord la Syrie qu’il occupe avec des troupes issues d’Al-Qaïda, les mêmes qu’il envoie sur le front de guerre chaude du Haut-Karabakh excroissance de l’Arménie en Azerbaïdjan… Mais Ankara est membre de l’Otan? ! Paris accueille en outre stupidement des réfugiés Tchétchènes (15000) indésirables dans la Fédération de Russie. Mais jusqu’à présent l’Élysée n’aime pas M. Poutine et tout était bon pour lui être désagréable… Toutefois devant la dégradation de la situation sécuritaire, M. Darmanin, ministre de l’Intérieur est, ce 26 oct. 2020, à Moscou, la corde au cou, pour y négocier le retour d’une poignée de fichés S… de ceux qui sont top ouvertement imprégnés d’hérésie wahhabite… et présentent corrélativement un goût prononcé pour la délinquance (se reporte au drame de Conflans-Sainte-Honorine). Or le mariage à trois entre fanatisme religieux, violence sui generis et grand banditisme forme un composé particulièrement fulminant… En mai 2018, un jeune Tchétchène, Khamzat Azimov, attaque à Paris des passants, il blesse quatre personnes avec une arme blanche et en tue une. Cet individu était fiché S après avoir envisagé en 2016 son départ vers le front du djihad syrien. Que faisait-il sur le territoire national? ? Qui est responsable d’un tel état de fait? ? Qui doit être appelé à rendre des comptes.

Au plan hexagonal

Au strict plan intérieur hexagonal, il est bien clair que couvre-feu et reconfinement sont instaurés pour maintenir le couvercle sur la marmite sociale, bloquer autant que possible le mécontentement croissant et laisser du temps au temps dans le but de stabiliser une situation autrement dangereuse à l’approche de l’échéance présidentielle. L’état d’urgence sanitaire prorogé ce 25 octobre est en fait un état d’urgence sécuritaire. Ce qui présente également quelques avantages annexes, comme d’envoyer à la casse et en pré-retraite les blancs (les générations d’après-guerre) qui encombrent les petites et moyennes industries et entreprises… permettant l’embauche massive de jeunes issus des minorités nouvellement nationalisées que l’État - discrimination positive aidant - subventionne de 5 à 8000 € suivant le type de contrats. Dispositions qui donnent un sérieux coup de pouce au grand remplacement en cours (cette légende urbaine, ce fantasme, cette illusion d’optique? !).

De facto la colonisation silencieuse du pays se poursuit, imperturbablement, sous couvert de crise sanitaire, avec l’éviction des primo-occupants de pans entiers de l’économie. Un aspect passé inaperçu parce que pris dans l’épaisseur du trait. Au final la peur du Covid et la domestication des foules – dont le pouvoir peut apprécier la docilité – se combine presque harmonieusement avec celle des coupeurs de tête d’importation. D’aucuns auront tiqué à l’exploitation spectaculaire de ce drame par le pouvoir, mais que n’ont-ils réagi avec la même intensité lorsqu’il s’agit de quidam anonyme ou de policiers dans l’exercice de leurs fonctions (ou égorgés à leur domicile) victimes d’une haine confessionnelle voire ethnique sans complexe ni frein… Reste que les catholiques ont donné de très mauvaises habitudes aux islamistes et aux athéistes militants (et même rabiques? : la cancel culture, les appels constants au renforcement de la censure… ou à la destruction de la basilique du Sacré-Cœur, en témoignent) et qui se croient maintenant tout permis au regard de l’apathie générale, de l’indifférence d’un pouvoir qui vogue sur la mer des Sargasses de la révolution numérique, et au final eu égard à une tolérance inouïe envers toutes les transgressions et tous les avilissements culturels et humains. Il est vrai que dans une société où plus rien n’est sacré – sauf les minorités sexuelles, ethniques, confessionnelles qui sont sanctuarisées, intouchables et fétichisées – ni le bon, ni le beau, ni le vrai n’existent plus, tout est égal, interchangeable et l’idée d’une hiérarchie des valeurs, d’un ordre naturel descendant du Bien vers du Mal est devenue aussi odieuse à la multitude que les bérets, binious, baguettes le sont pour M. Lévi, ce grand français sous le soleil de Satan.


- Source : Geopolintel

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