Accidents vaccinaux, hold-up juridique, « 1986 » : comment Big Pharma a fait la loi
En matière de vaccination, il existe des exceptions juridiques qu’aucune autre industrie ne peut obtenir. Et pourtant, sous couvert de politiques sanitaires d’urgence, les industriels ont, d’abord aux États-Unis, obtenu une exemption juridique qui leur donne une totale impunité en cas d’effets secondaires graves. Récemment, cette même exemption a été octroyée concernant le futur vaccin contre le Sars-cov-2.
Dans le film « 1986 the act », Andy Wakefield démontre, faits à l’appui, comment Big Pharma a littéralement fait la loi dans les années 80 aux États-Unis. Ce document exceptionnel nous plonge au cœur de la collusion entre l’industrie et le gouvernement. (Voir notre vidéo plus bas)
1986 a marqué un tournant dans l’histoire de la vaccination avec la signature de la loi sur les vaccins pédiatriques, le « National Childhood Vaccine Injury Act », par le président Ronald Reagan. Cette loi qui devait mettre en place un système d’indemnisation des victimes de dommages vaccinaux, rapide et efficace, tout en offrant une certaine protection à l’industrie, fut entièrement détournée des objectifs annoncés. Donnant carte blanche aux fabricants, elle créa en réalité, les conditions d’une véritable ruée vers l’or vaccinal.
De Vaxxed à 1986
Loin du film « Vaxxed, de la dissimulation à la catastrophe » toujours du Dr Wakefiled, qui explorait à l’époque les éléments controversés d’une fraude scientifique, « 1986 the act » (voir le site : 1986theact.com) parcourt des décennies d’erreurs inavouées et de malversations dont le déni a fini par engendrer une avalanche de conséquences mettant tout le système de politique de santé en péril. À ne pas confondre avec Vaxxed 2, document réalisé par Polly Tommey, qui reprend les témoignages dramatiques d’accidents vaccinaux, recueillis lors de la tournée du bus Vaxxed à travers les États-Unis, « 1986 » est un film qui fait bien plus appel à la réflexion qu’aux larmes. En suivant les interrogations et l’enquête menée par un couple qui attend un bébé et dont les premiers avis s’opposent, le spectateur découvre une réalité politique particulièrement dérangeante.
Des questions légitimes
Pourquoi a-t-on a caché les risques dans les études cliniques ? Comment, les signaux d’alerte ont-ils systématiquement été étouffés ? Quelles études a-t-on manipulées et pourquoi ? Comment l’industrie est-elle parvenue à obtenir une véritable impunité pour tout ce qui concerne la vaccination ? Pourquoi et comment le système judiciaire et les organismes de régulation et protection de la santé se sont-ils systématiquement rangé du côté de l’industrie ?
Un scénario dramatique
Prédictions de catastrophes épidémiques, promesses du vaccin salvateur, développement à la hâte de produits à peine testés, exonération de responsabilité, obligations vaccinales, accidents vaccinaux, absence de données, refus d’indemnisation, complicité des médias, omerta, censure… Ce qui frappe le plus, c’est l’apparition d’un scénario glaçant. Sans nul doute, les mêmes schémas se répètent à l’identique, depuis des décennies, privilégiant toujours les uns, sanctionnant toujours les autres. Et tandis que l’industrie et ses investisseurs voient leurs chiffres grimper de manière astronomique, des milliers d’enfants et d’adultes payent aujourd’hui le prix fort de ces désastreuses politiques de santé publique. Comme l’a souligné l’avocat Robert Kennedy, Jr. épiloguant sur la crise du coronavirus : « Ce qui est en train de se passer est kafkaïen, orwellien, je n’ai pas assez de mots forts pour le dire. C’est une gigantesque bombe sur l’humanité lancée par l’industrie du vaccin ! »
INTERVIEW DE SENTA DEPUYDT, JOURNALISTE SPÉCIALISTE DES QUESTIONS VACCINALES :
- Source : Nexus