Bill Gates, sponsor numéro 1 de l’OMS et de la pandémie, a arrosé le journal Le Monde
C’est tout le drame de la presse mainstream à l’agonie : vaut-il mieux accepter l’argent des oligarques pour se renflouer les caisses tout en passant pour des putes, ou refuser cet argent diabolique, serrer les dents et conserver son indépendance inviolée ?
Autant vous dire que les directeurs en charge des grands journaux n’hésitent ou n’ont pas hésité un seul instant : ils ont pris le grisbi et envoyé balader l’indépendance, la déontologie, toutes ces merdes pour étudiants en infocom ou journalisme 1re année. Entre la peste de la dépendance et le choléra de l’indépendance, notre presse choisit la peste, et ça tombe bien, puisque Bill Gates lui demande de faire la promo de la « peste » Covid-19, du nom de l’ingénierie qui dévaste la planète depuis deux mois.
Un mélange de com’ et de désinformation qui transforme une grippe saisonnière sortie d’un labo sino-sioniste en un ouragan économiquement dévastateur et bancairement salvateur. Deux mois après les explosions sanitaires atomiques, les économies sont à genoux, les banques jubilent, la dette augmente, les peuples pètent de trouille, les gouvernements reprennent le manche et les médias mainstream retrouvent des lecteurs. Mais à quel prix !
Une majorité de citoyens déteste maintenant très cordialement ses dirigeants, et un Raoult qui part faire l’interview du BFM WC est fêté comme un prince...
« ...c’est Macron qu’est applaudi comme ça ..?!
— Eva ??????? - ?????????????? (@spetsnagirl) April 30, 2020
Ah non ..! pic.twitter.com/iBHXFD9z3f
De l’autre côté de la barrière, le petit prince qui occupe l’Élysée n’est lui pas vraiment à la fête. Il était même prêt, en décembre 2018, à s’extraire de son palais relooké par sa femme en hélico. La France, c’est un spectacle permanent, c’est le FC Hollywood, comme on dit du Bayern de Munich : il s’y passe toujours quelque chose, d’insolite, de rigolo ou d’aberrant.
Après cette longue introduction qui a le mérite de replacer les choses dans leur case, parce que la version du puzzle par le pouvoir dysfonctionne lourdement ou n’a pas laissé l’impression d’une cohérence extrême (oui les masques/non les masques, oui le confo/non le confo, oui les écoles/non les écoles, oui la chloro/non la chloro), venons-en au fait du jour : le gros chèque de Bill Gates au journal Le Monde, un quotidien possédé par la « triple » alliance entre l’homme d’affaires Niel, le banquier Pigasse, le milliardaire douteux Kretinsky et le veuf – ou la veuve, au choix – de Pierre Bergé Madison Cox, l’homme qui a relooké l’île aux enfants du bon docteur Epstein, le grand copain de Bill Gates... Comme quoi, tout se touche dans l’hyperclasse !
La Fondation Bill & Melinda Gates a accordé 4 061 258 dollars au quotidien entre 2014 et 2019, 680 000 dollars en 2017 et 2 126 790 dollars pour 2019. Une année cruciale puisque c’est celle de la préparation de la grande pandémie mondialiste (voir plus bas l’interview sur Fox News).
Est-ce de l’argent sans contrepartie ? Sinon, quelle est la contrepartie ?
Comme un fait exprès, Le Monde, à travers ses Décodeurs, s’insurge devant la défiance massive des internautes vis-à-vis du milliardaire qui dicte sa loi à l’OMS. Forcément, ne pas croire Bill, c’est être complotiste :
Sauf que le complot en question ne porte pas sur la réduction de la population mondiale, qui ne cesse d’ailleurs de croître, mais bien sur les intentions malignes du philanthrope mondialiste qui teste ses vaccins douteux dans des pays africains qui n’ont pas les moyens de dire non. Et comme toujours avec ces Décodeurs inféodés aux intérêts du pouvoir profond, on retombe toujours sur les vilains de théâtre :
« La plupart des sites et blogs qui relaient ces théories complotistes sont déjà connus pour propager des rumeurs et fausses informations. Certains sont aussi des antivax, c’est-à-dire des activistes opposés à la vaccination. Trois infox sont particulièrement relayées et agitent le spectre d’un complot organisé par les milliardaires, Bill Gates en tête, pour réduire la population mondiale ».
« Déjà connus »... On dirait un article du Parisien dans les faits divers qui traite d’une énième agression par un individu « défavorablement connu des services de police » ! D’ailleurs, les Décodeurs sont un service de police, mais politique. Une officine de délation bien dans la ligne socialo-sioniste, ce qui semble très compatible avec la ligne politico-sanitaire mondialiste de Bill Gates. Les Décodeurs militant objectivement pour la vaccination massive, on peut se demander si l’argent de Bill (ou de ses actionnaires, car si l’on y regarde bien, Bill est très généreux avec l’argent de ses contributeurs, généralement des multinationales intéressées par le secteur de la « santé » mondiale) n’y est pas pour quelque chose. Rien que ce doute doit bénéficier aux accusés, c’est-à-dire nous, ou les internautes qui ne croient pas ou plus aux versions officielles pour débiles.
Dans un autre registre, un peu moins violent déontologiquement, on a trouvé une petite perle dans Le Monde diplomatique, une publication du groupe Le Monde mais qui a son indépendance et sa propre déontologie. Disons-le plus brutalement : si Le Monde est devenu un torchon mondialiste inféodé aux Marchés et aux réseaux occultes, Le Monde diplo s’en sort plutôt bien avec son information universitaire antilibérale. Mais parfois, il peut y avoir un petit dérapage...
Comme en juillet 2019 où le lecteur abonné a pu tomber sur un « supplément » – en réalité un publi-rédactionnel, soit une pub institutionnelle mais maquillée en article suivant la charte graphique du canard – sur... la santé en Afrique et la lutte globale contre les maladies. C’est floqué « Fonds mondial » et il y a de la signature discrète « OMS » dedans avec toute la clique mondialiste anti-SIDA, celle du bon vieux Bill. Le tout est évidemment configuré comme une série d’articles maison. L’ingérence d’une ONG comme celle de Bill Gates dans une Afrique souffrante ne pose apparemment aucun problème politique aux journalistes de gauche. On les a connus plus critiques avec l’ingérence à la Kouchner... Pour eux, « l’aide internationale ne doit pas faiblir » :
Et dans le dernier numéro du Monde diplo, daté de mai 2020 et en partie consacré à la crise du Covid-19, les journalistes ne remettent pas une seconde en question la réalité de la pandémie.
Au contraire, ils prennent ça très au sérieux et proposent un changement de paradigme, un futur moins libéral et surtout la prise en compte du choc climatique, airs connus. Mais rien sur la réalité de la pandémie, alors que les chiffres des années précédentes montrent des grippes saisonnières aussi (peu) meurtrières. Rien non plus sur la stratégie étrange de l’OMS (qui va dans le sens de la psychose et de l’imposition d’un vaccin inutile pour les humains mais très utile au Big Pharma) et encore moins sur Bill Gates, acteur pourtant incontournable de l’ingénierie mondialiste en cours. Les journalistes associent même la crise actuelle avec celle du réchauffement, la dernière ingénierie mondialiste qui a fait flop. Comme si une ingénierie plus efficace devait remplacer une ingénierie pas vraiment au point, pas assez crédible...
En France, pour nous informer, ou pour informer le grand public, il y a BFM TV et Le Monde. Le premier pour le public crédule, le second pour la soi-disant élite. Mais les deux titres se recoupent sur la désinformation à propos de la grippe saisonnière appelée Covid-19 pour nous dire, en substance : c’est très grave et si vous n’obéissez pas vous allez mourir.
La chaîne de droite américaine Fox (pro-Trump) dénonce le chantage de Bill Gates, et interviewe à ce propos l’éditrice du Washington Times qui délivre une sacrée information :
« Bill Gates, à de nombreuses reprises, voulait que l’OMS déclare le coronavirus en tant que pandémie et l’OMS ne voulait pas le faire. Alors, un jour après que Bill Gates, par l’entremise de sa fondation, a annoncé qu’il a injecté 50 millions de dollars dans quelque chose appelé “l’accélérateur thérapeutique”, pour aider à combattre le coronavirus et à trouver un vaccin, beaucoup de cet argent est allé à l’OMS. Un jour après cette annonce, le secrétaire général de l’OMS est venu déclarer que le coronavirus était une pandémie ».
On comprend mieux maintenant pourquoi Le Monde s’accroche à la version officielle. Il suffit de payer ! L’information va au plus offrant ! C’est pour cela que l’information officielle n’est pas celle des peuples mais des élites. CQFD.
Bonus : le 12 avril 2020, Bill se payait une tribune dans Le Monde
La Rédaction a commenté cette contribution hallucinante à tous points de vue, même pas la peine d’être complotiste pour être choqué par les propos du Mengele transnational ultralibéral. Accrochez vos ceintures, monsieur Psychose est au micro :
« De nombreux pays à faible et moyen revenus n’ont pas encore été durement touchés par le Covid-19. Et nous ne savons pas encore exactement pourquoi. Ce que nous savons, c’est que la maladie finira par se propager largement dans ces pays et que, sans une aide supplémentaire, le nombre de cas et de décès sera probablement supérieur à tout ce que nous avons vu jusqu’à présent. Considérez ceci : le Covid-19 a submergé des villes comme New York, mais les chiffres suggèrent qu’un hôpital de Manhattan, à lui seul, dispose de plus de lits en soins intensifs que n’en ont la plupart des pays africains. Des millions de personnes pourraient mourir.
Que vous viviez dans un pays en développement ou non, vous pouvez être affecté. Même si les pays riches parviennent à endiguer la maladie au cours des prochains mois, le Covid-19 pourrait revenir si la pandémie continue de sévir ailleurs. À un moment ou à un autre, une partie du monde réinfectera l’autre.
C’est pourquoi nous avons besoin d’une approche globale pour lutter contre cette maladie. Elle devra certainement être adaptée à mesure que la pandémie évolue ».
La solution de Bill Epstein Gates, qui dicte son programme au G20, comme s’il avait été élu par trois milliards de Terriens, c’est le vaccin universel, mais ça va nous coûter cher, très cher. Il faut bien que les multinationales qui sont derrière Bill aient leur retour sur investissement. L’honnêteté journalistique nous oblige à diffuser plusieurs paragraphes de la version payante du Monde, car sinon on va nous accuser de zapper le contexte :
« Ceci m’amène à mon deuxième conseil à l’attention des dirigeants : il est impératif d’allouer des fonds suffisants à la recherche et développement pour développer un vaccin.
Nous n’avons que peu d’occasions de nous réjouir en ce moment, mais la science nous offre une rare lueur d’espoir. Il y a trois ans, notre fondation [la fondation Bill et Melinda Gates, par ailleurs partenaire du « Monde Afrique »], le Wellcome Trust et divers gouvernements ont lancé la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies – la CEPI. L’objectif était d’accélérer le processus de test des vaccins et de financer en premier lieu de nouvelles méthodes plus rapides d’immunisation. Si un nouveau virus devait commencer à se propager dans le monde entier, nous voulions être prêts.
La CEPI développe déjà au moins huit vaccins potentiels pour le Covid-19, et les chercheurs sont confiants dans le fait qu’ils en auront au moins un de prêt d’ici à dix-huit mois. Il s’agira alors du délai le plus court de l’histoire entre l’apparition d’un nouveau pathogène et le développement d’un vaccin pour s’en protéger.
Toutefois, ce calendrier dépend des financements. De nombreux pays ont contribué à la CEPI au cours des deux dernières semaines, mais la coalition a besoin d’au moins 2 milliards de dollars [environ 1,8 milliard d’euros] pour financer ses travaux. Il s’agit là d’une estimation : l’innovation est pleine d’imprévus, mais les pays du G20 devraient s’engager résolument dès aujourd’hui.
Ils devraient également établir clairement que ce financement est octroyé pour le développement du vaccin uniquement, et non pour sa fabrication ou sa distribution. Cela nécessitera encore davantage de fonds et de planification et constitue la troisième mesure sur laquelle le G20 devrait commencer à réfléchir.
Tout d’abord, nous ne savons pas encore quel vaccin sera le plus efficace, et chacun d’entre eux requiert une technologie particulière pour être fabriqué. Cela signifie que les pays doivent investir dans de nombreuses infrastructures de fabrication différentes aujourd’hui, tout en sachant que certaines ne seront au final jamais utilisées. Par ailleurs, une fois que les laboratoires auront développé le bon vaccin, nous perdrons encore des mois à attendre que le bon fabricant étende ses capacités de production.
Le coût est également un facteur important à prendre en compte. Si le secteur privé est prêt à intensifier ses efforts et à fabriquer ce vaccin, par exemple, il ne devrait pas avoir à perdre de l’argent pour le faire. En parallèle, tout vaccin contre le Covid-19 devra être considéré comme un « bien public mondial » – et rester abordable et accessible à tous. Heureusement, des organisations comme Gavi (l’Alliance du vaccin) aident depuis longtemps les nations à faible et moyen revenus à accéder à ces campagnes de vaccination essentielles.
Au cours des deux dernières décennies, en grande partie grâce au soutien de pays comme le Royaume-Uni et la France, Gavi a collaboré avec l’OMS et l’Unicef pour introduire 13 nouveaux vaccins, dont le vaccin contre le virus Ebola, dans les 73 pays les plus pauvres du monde. Ces organisations sont prêtes et capables d’en faire de même pour un vaccin contre le Covid-19, mais elles ont aussi besoin de davantage de financement. Plus précisément, Gavi aura besoin de 7,4 milliards de dollars [environ 6,8 milliards d’euros] au cours des cinq prochaines années pour maintenir les efforts d’immunisation actuels. Distribuer un vaccin contre le Covid-19 coûtera encore plus cher ».
L’addition va se chiffrer en dizaines de milliards, au bas mot. Le marché du siècle.
« Ces demandes de financement de plusieurs milliards de dollars peuvent sembler exorbitantes, en particulier à l’heure où des économies entières tournent au ralenti. Mais ce coût n’est rien en comparaison de celui que nous aurons à payer si nous bâclons nos efforts de vaccination et si l’épidémie se prolonge ».
Ben oui, Bill, la santé n’a pas de prix. La santé financière de tes sponsors et de tes diffuseurs, s’entend...
- Source : E&R