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Nicolas Sarkozy : étrange politique étrangère buissonnière ou les gaités du mentir vrai…

Auteur : Guillaume Berlat | Editeur : Walt | Mardi, 15 Nov. 2016 - 18h03

« La critique est aisée mais l’art est difficile » nous rappelle cette maxime qui pousse l’analyste à l’humilité, à la bienveillance. C’est pourquoi, il est toujours malaisé de dresser le bilan d’un quinquennat de politique étrangère (2007-2012) à chaud. Celui de Nicolas Sarkozy n’échappe pas à la règle comme celui de François Hollande dont le tour viendra prochainement. Nonobstant cet obstacle méthodologique, nous nous sommes essayés à l’exercice, dès 2012, en tentant de ne pas céder à la tentation de la critique systématique tout en revendiquant notre droit à la disputatio (1). Nous ne disposions que d’une documentation ouverte (ses déclarations publiques, ses interventions dans différentes internationales, ses rencontres avec les médias ainsi que quelques confidences volées…) à l’exception des archives officielles de la présidence de la République et du ministère des Affaires étrangères couvertes par la règle du secret cinquantenaire ou trentenaire. Ce qui n’est déjà pas si mal pour se faire une idée relativement précise du bon et du moins bon !

Avec le temps qui passe, nous découvrons des mémoires de diplomates concernés par la période mais surtout de certains de ses collaborateurs à l’Élysée (Camille Pascal (2), Marc-Georges Benamou (3), Maxime Tandonnet (4)) qui nous éclairent – même partiellement et subjectivement – sur certains épisodes des actions de Nicolas Sarkozy sur la scène internationale. Elles présentent l’immense intérêt pour le chercheur de parfaire sa compréhension des conditions de prise d’une décision et du caractère du plus haut personnage de l’État qui les prend. Par touches successives, à la manière d’un tableau impressionniste dont on s’éloigne pour mieux l’apprécier, le sujet se dévoile insensiblement mais sûrement. Les réflexions de son conseiller spécial, Patrick Buisson, dans l’ouvrage publié en pleine tourmente de son ancien mentor, viennent s’ajouter à la liste de ces contributions (5). Son exégèse (6) peut aider à décrypter le bilan international de Nicolas Sarkozy tant vanté en son temps par ses plus fidèles soutiens (7). Le décryptage du logiciel de l’ex-président de la République, candidat aux primaires des Républicains, aide à mieux comprendre les ratés de sa politique étrangère.

UNE NÉCESSITÉ IMPÉRIEUSE : LE DÉCRYPTAGE DU LOGICIEL SARKOZY

Additionnée à celles qui sont à notre disposition depuis la fin de son quinquennat, la lecture attentive de « La cause du peuple » confirme plusieurs traits caractéristiques de la personnalité de Nicolas Sarkozy, marque de fabrique de son logiciel.

La double inconstance. La constance est le gage de la cohérence et de l’efficacité de toute politique étrangère. Qu’en est-il de celle de Nicolas Sarkozy ? À en croire les révélations de son « gourou » (confirmées par d’autres sources aussi crédibles), « son appétence nourrissait son inconstance » (p. 26). Nous sommes loin de la constance : « tout le temps où il avait été au pouvoir, Nicolas Sarkozy n’avait jamais eu pour conviction que son intérêt instantané et, son intérêt changeant, il n’avait cessé de changer d’idées, en y mettant toute l’énergie de ses insincérités successives ». (pp. 15-16). Pour reprendre le mot de Philippe de Villiers, nous avons affaire à un « lapin Duracell » qui n’a pas compris ou feint de ne pas comprendre que la conservation d’un cap clair et prévisible constitue le meilleur gage de crédibilité de l’action extérieure de la France. La versatilité en est son pire ennemi. Il enchaînait « presqu’automatiquement l’annonce d’une proposition un peu forte et l’ajout d’un codicille qui suggérait le contraire comme s’il était effrayé par sa propre audace » (p. 55).

L’hypermédiatisation. A l’heure de la gouvernance médiatique, Nicolas Sarkozy privilégie la perception des faits à leur réalité. « Enfant de la télévision, il entendait se différencier du commun non par des valeurs de principe et culture mais de comportement et de pratique : la performance, la vitalité et l’énergie, l’absence de préjugés et la transparence » (p. 76). Comment met-il ceci en pratique ? « Il inaugurait un règne inconnu, celui de la téléprésidence instantanée… Le nouveau style élyséen faisait système à l’époque du tout à l’ego… Entre la médiacratie et la médiocratie. Il ne s’en désolait pas, mais s’en targuait » (p. 77). Jamais avant lui, le mélange entre vie privée et publique n’aura été si présente : « on ne saurait compter les décisions, de plus ou moins grande importance, qui ont été peu ou prou inspirées, par les tribulations de sa vie sentimentale, peu ou prou envahies par les métastases publiques de son intimité » (p. 92). On pense aussitôt à l’implication de Cécilia Sarkozy dans la séquence de la libération des infirmières bulgares. « Communiquer, c’est chercher à plaire, gouverner c’est le plus souvent contraindre » (p. 137).

La haine des diplomates. Adepte du management à la hussarde et du langage idoine (ses ministres étant soit « nuls », soit « cons »), Nicolas Sarkozy n’apprécie guère les hauts fonctionnaires (« Qu’est-ce que c’est que ces couilles molles… ? », p. 121). Dans ce hit-parade du mépris de l’autre, les diplomates tiennent une place de choix : il les déteste cordialement. Il passe le plus clair de son temps à les invectiver, à les humilier de préférence en public : « la séance débuta par la traditionnelle exorde où il était fait litière des ‘technocrates imbéciles’ et de leurs ‘dossiers nuls’, ainsi que des ‘diplomates qui ne comprennent rien à la politique’ (p. 101). Son placide conseiller diplomatique et sherpa, Jean-David Levitte, ambassadeur de France dignitaire, qu’il surnomme « Diplomator », avale régulièrement les couleuvres sans coup férir. Le courage n’est pas la vertu que ses collègues lui reconnaissent spontanément.

C’est une tradition chez Nicolas Sarkozy, accuser les ambassadeurs de tous les maux de la terre. Afin de s’exonérer de la responsabilité de l’échec de sa visite à Rome (août 2008), il fait porter le chapeau au nouvel ambassadeur au Saint-Siège, Stanislas de Laboulaye, c’est tellement plus commode. « Il faut me dégager Laboulaye. Il a tout fait pour saboter mon voyage. Comment se fait-il qu’on ait pu nommer un pareil zozo ? C’est vous (il s’adresse à Jean-David Levitte) qui me l’avez casé ? » (p. 335). Il est vrai que l’ambassadeur, énarque de la promotion Voltaire est proche de Dominique de Villepin. Ce qui constitue en soi un crime de lèse-Sarkozy !

La généralisation de l’esprit de cour. Patrick Buisson, doit-on lui reconnaître, décrit à la perfection les ressorts du fonctionnement de Nicolas Sarkozy envers les journalistes (ce qui vaut également pour tous ceux qui le côtoient : « peu lui importait, au fond, d’asseoir un magistère idéologique, pourvu que les hommes et les femmes de l’instance médiatique lui fassent allégeance à la manière dont les vassaux, au temps de la féodalité, se plaçaient sous la mainbour du suzerain ou d’un grand feudataire par la cérémonie de l’hommage. Le système informel qu’il chercha à instaurer n’était pas sans rappeler ces contrats synallagmatiques engageant les deux parties par des obligations réciproques » (p. 193). Le système non écrit est binaire : qui n’est pas avec lui est contre lui. Il contribue à la servitude volontaire et à l’esprit de cour si courant de nos jours, consistant à tomber dans l’éloge grossière de celui qui vous a fait roi.

La déresponsabilisation organisée. « Quand on appelle les autres à prendre ses responsabilités, c’est qu’on s’apprête soi-même à fuir les siennes » (8). On peine à comprendre que Nicolas Sarkozy ait confié d’importantes responsabilités à Michèle Alliot-Marie qu’il qualifie d’ « incontrôlable », en particulier la conduite de la diplomatie française où elle a explosé en vol au bout de trois mois au tout début des « révolutions arabes ». Il est vrai qu’il est à l’image de la classe politique « qui à court d’idéaux, fâchés avec les messianismes, incertains dans leurs convictions comme dans leurs absence de convictions, animés par un frénétique besoin de paraître, compensant leur manque de substance par une surabondance d’apparences… » (p. 135). Tout ceci n’est que la réalité d’un quinquennat : « Plus que jamais il restait fidèle à sa méthode : il n’y avait pas de vérité, mais des énoncés, des discours, un récit et pourquoi pas un récital… » (p. 372).

« Jamais la politique ne fut pour lui autre chose qu’un flux où le Kaïros l’emportait sur le chronos, l’opportunisme l’emporte sur le temps long » (p. 138). Ainsi instruits, il ne nous reste plus qu’à passer de la théorie à la pratique. Comme souvent, Nicolas Sarkozy est son meilleur ennemi.

UN CONSTAT OBJECTIF : LES RATÉS DU PRÉSIDENT SARKOZY

« Amputé de sa raison d’être, le pouvoir a cessé d’être intelligible et, cessant d’être intelligible, il a également cessé d’être crédible » (p. 104). Les quelques exemples retenus par Patrick Buisson jettent une lumière crue sur le fonds et la forme de la pratique internationale de Nicolas Sarkozy assez éloignée de celle que l’ex-président veut donner aujourd’hui après une métempsychose rédemptrice. Il est vrai qu’il prétend avoir changé. Mais comme le relevaient les guignols de l’info : « il est pire qu’avant ».

L’apogée de l’atlantisme. Cette caractéristique dominante de sa politique étrangère, est inscrite au plus profond de son ADN. Avant 2007, Nicolas Sarkozy est présenté comme « un néoconservateur américain à passeport français » (Éric Besson, p. 37). Après 2007, il se montre à la hauteur de sa réputation et, parfois, la dépasse au-delà de toute espérance. « Jamais homme politique français n’a été aussi loin dans l’inféodation au modèle américain » (p. 213). C’est « Sarko l’américain » ! Il prend la décision pleinement assumée de faire réintégrer à la France la structure militaire intégrée de l’Alliance atlantique (OTAN) que le général de Gaulle a décidé de quitter en 1966 pour montrer son indépendance par rapport aux États-Unis. Il n’en tire pas le moindre bénéfice diplomatique si ce n’est le manque de considération du couple présidentiel américain lors des cérémonies du 65ème anniversaire du débarquement en Normandie (juin 2009) : « en guise de marque de considération, le couple Sarkozy n’eut le droit qu’à une matinée récréative et à un déjeuner en compagnie de Michelle Obama et de ses deux filles… » alors que le président des États-Unis limite sa visite au strict minimum (p. 154). Ce faisant, il fait perdre à la France son indépendance gaullo-mitterrandienne qui lui valait d’être écoutée dans le monde.

Les loupés de l’entente cordiale. Si elle constitue un succès pour la « First Lady of Fashion » (l’ex-mannequin Carla Bruni) saluée comme une nouvelle Jackie Kennedy, la visite d’État en Grande-Bretagne du chef de l’État (26-27 mars 2008) – notre allié indéfectible durant les deux derniers conflits mondiaux – se transforme en « ego pride parade » de Nicolas Sarkozy. La presse britannique souligne, à juste titre, sa méconnaissance des bonnes manières et son absence d’allure présidentielle. Deux expressions résument à elles seules la tonalité générale peu amène de celui censé représenter une « certaine idée de la France » à l’extérieur de nos frontières : « écolier agité », d’une part et « capitalisme de la frivolité », de l’autre (pp. 86-87). Ce qui aurait dû être un grand moment de retrouvailles historiques entre Paris et Londres se transforme rapidement en vulgaire pantalonnade. En termes peu diplomatiques, c’est ce que l’on qualifie de visite ratée.

La dérive du couple franco-allemand. Un seul exemple en dit long sur les limites du couple Merkozy à la fin du quinquennat. Nicolas Sarkozy, dont les manières peu protocolaires, avaient choqué la puritaine chancelière, s’est toujours vanté d’être la locomotive du couple, d’en porter la culotte. Angela Markel remet à l’occasion les pendules à l’heure. En réponse à une interpellation de Nicolas Sarkozy : « Je suis la tête, vous êtes les jambes », Angela Merkel le rappelle à la réalité la plus triviale : « Nein ! Je suis la banque » (p. 404). En fait, le président de la République est contraint de céder à toutes les exigences de la chancelière allemande en fin de mandat tant la situation de la France n’a cessé de se dégrader sur le plan économique ! C’est Xavier Musca, ancien du Trésor, qui négocie directement avec la chancellerie à Berlin pour limiter au maximum les dégâts.

La débâcle de l’intervention libyenne. Patrick Buisson confirme, qu’avec cette opération, « il s’agissait d’utiliser la force armée pour renverser le chef de l’État libyen, le colonel Khadafi… Baroud d’honneur pour ‘représidentialiser’ son image en apparaissant comme un chef de guerre et un chef d’État capable de s’inscrire dans l’histoire » (p. 273). Au passage, nous apprenons – ce qui n’est pas une surprise – que Nicolas Sarkozy ne veut rien entendre de la part de ceux qui mettent en avant le risque de chaos, d’avancée de l’islam radical et l’apparition de flux migratoires incontrôlés. « Pour rien au monde cependant Nicolas Sarkozy n’eût abdiqué le rôle que lui avait concocté Bernard-Henry Lévy… C’était sa guerre, celle qui accouplait calcul personnel et posture médiatique… » (p. 274). Manifestement, le mythe du « printemps arabe » répond à ses secrètes attentes. En un mot, il s’abreuve de quelques idées fausses et angéliques. Curieusement, l’affaire syrienne n’est pas évoquée. Il est vrai qu’il faudra attendre 2014 pour que son conseiller diplomatique, Jean David Lévitte livre son approche qu’il n’aura jamais fait prévaloir du temps de sa splendeur au château. (9)

La relation écornée de la fille aînée de l’église avec le Saint-Siège. La visite qu’il effectue au Vatican durant son quinquennat n’est pas du meilleur effet tant Nicolas Sarkozy « bouscule les codes et les protocoles au détriment même des règles élémentaires de la bienséance » (p. 79). Cette visite du 20 décembre 2007 est marquée par toute une série de couacs : dissimulation d’un membre de la délégation (la mère de Carla Bruni) ; présence remarquée de l’humoriste Jean-Marie Bigard mitraillant les salles de son appareil photo ; manque de déférence à l’égard du Pape ; visite des lieux saints au pas de course ; ode à la France chrétienne surjouée… La relation bilatérale est entachée par l’affaire Jean-Loup Kuhn-Delforges, le diplomate que Nicolas Sakozy (sur proposition de Bernard Kouchner) a désigné pour être son ambassadeur auprès du Saint-Siège. Le Saint-Siège refuse l’agrément de l’intéressé en raison d’un « certain ‘facteur personnel’ qu’on prêtait à l’impétrant qui ne le surqualifiait pas pour la fonction » (p. 326). François Hollande connaîtra le même genre de désagrément avec la candidature à ce poste de son chef du protocole, Laurent Stefanini.

Les excès de l’affaire Florence Cassez. Alors que son engouement pour la cause de Florence Cassez reste au départ confiné dans la sphère compassionnelle, le président de la République prend ouvertement et brusquement fait et cause pour notre ressortissante condamnée à 60 ans de prison par la justice mexicaine. Cette affaire, qui aurait dû être traitée dans la plus grande discrétion par les canaux diplomatiques et consulaires traditionnels, devient rapidement une affaire d’État, une « cause sacrée » (p. 141). Il tempête devant ses collaborateurs (le conseiller en charge est le diplomate Damien Loras) : « avertissez notre ambassadeur au Mexique Convoquez-moi l’ambassadeur mexicain au plus vite… » (p. 142). Elle tourne rapidement au pugilat diplomatique avec le président Felipe Calderon qui entend rester maître chez lui, à l’abri des ingérences dans les questions de justice mexicaines. L’agitation du chef de l’État compliquera le règlement de cette douloureuse affaire qui n’interviendra qu’en janvier 2013 sous la présidence de François Hollande !

« Tout ce qui existe est symbole. Tout ce qui arrive est parabole » (Paul Claudel, diplomate-écrivain). Tel pourrait être le meilleur bilan que l’on puisse dresser de la politique étrangère de Nicolas Sarkozy et que l’on pourrait résumer en deux phrases à l’intention des adeptes de la mémoire courte.

La privatisation de l’intérêt général. « À l’Élysée, de 2007 à 2012, un clan a mis l’État en coupe réglée pour s’octroyer prébendes, avantages et échanges de Services. Nicolas Sarkozy et les siens ont privatisé l’intérêt général au service de leurs intérêts particuliers. Des bandes clandestines d’un conseiller sulfureux qu’indélicat au petit carnet d’un ex-dignitaire du régime libyen de Kadhafi, malencontreusement noyé dans le Danube, c’est tout ce passé qui resurgit un peu » (10). La politique étrangère n’échappe pas ce détournement de pouvoirs au profit d’affairistes peu scrupuleux, d’intermédiaires douteux, de visiteurs du soir, d’humanitaires bobos, de dictateurs généreux, de courtisans serviles… On peine à trouver l’intérêt général tant les intérêts personnels s’imbriquent aux intrigues de Palais. Patrick Buisson découvre « à quel point l’énarchie pouvait être synonyme d’autisme et de conformisme » (p. 301).

La politique étrangère zigzagante. Nicolas Sarkozy pratique dans le domaine international la confusion des genres en expert en communication qu’il est. Et avec un insuccès que rien n’est jamais venu démentir. « Un bon président est celui qui s’inscrit dans les trois dimensions : le passé, le présent et l’avenir » (p. 259). Le chef de l’État revendique sa volonté de s’inscrire dans l’action, le mot réflexion semblant exclu de son vocabulaire. Il préfère privilégier la novlangue diplomatico-médiatique qui n’a aucun contenu stratégique. En cela, il inaugure le règne de la téléprésidence instantanée. « Ondoyant, fluctuant, versatile là où il eut fallut rigueur, constance et cohérence » (p. 300). À défaut de pouvoir la caractériser de buissonnante, le moins que l’on soit autorisé à dire est, tant elle est erratique, que la politique étrangère de Nicolas Sarkozy est buissonnière.

Notes:

1- Guillaume Berlat, Bilan de la politique étrangère de Nicolas Sarkozy (2007-2012). La confusion des genres, Annuaire français de relations internationales, La documentation Française/Université Panthéon-Assas/Centre Thucydide, juin 2012, pp 285-304. 

2- Camille Pascal, Scènes de la vie quotidienne à l’Élysée. Chroniques, Points, 2013.

3- Marc-Georges Benamou, Comédie française, Fayard, 2014.

4- Maxime Tandonnet, Au cœur du volcan. Carnets de l’Élysée (2007-2012), Flammarion, 2014.

5- Patrick Buisson, La cause du peuple. L’histoire interdite de la présidence Sarkozy, Perrin, 2016.

6- Frédéric Pagès, Le pouvoir, c’est dans la poche, Le Canard enchaîné, 5 octobre 2016, p. 5.

7- Jean-David Levitte, De la place de la France dans le monde, Le Monde, 11 mai 2012, p. 16.

8- Raphaël Enthoven, http://www.europe1.fr/emissions/la-morale-de-linfo/quand-on-appelle-les-autres-a-prendre-leurs-responsabilites-cest-quon-sapprete-soi-meme-a-fuir-les-siennes-2860621

9- Jean-David Levitte, Pour sortir du conflit syrien, changeons de méthode. Dépasser l’échec de Genève 2, Le Monde, 8 février 2014, p. 16.

10- Renaud Dély, La démocratie, une affaire privée ?, Marianne, 30 septembre-6 octobre 2016, p. 4.


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