Plutôt que d’aider nos SDF, la mairie de Paris créera des structures d’accueil pour clandestins
Il est bien connu que notre pays ou plutôt ceux qui le dirigent préfèrent un clandestin à un sans-domicile fixe français. Comme si l’étranger avait plus de valeur qu’un national. On sait tous que pour ces périodes hivernales, nos SDF ne peuvent recourir à un 115 bondé. Ceux-ci sont d’ailleurs en priorité squattés par nos clandestins que l’on bichonne. Résultat des français meurent dans les rues en 2015. Bien sûr cela n’intéresse pas grand monde, les médias n’en parlent pas. Peut-être n’étaient-ils pas assez Charlie, qui sait.
Je peux à la rigueur comprendre que nos collectivités étouffées par la crise budgétaire qu’elles traversent ne peuvent faute de moyen construire de nouvelles places. Mais non visiblement l’argent existe, puisqu’il est utilisé pour créer des structures d’accueil pour des clandestins isolés.
« Lorsqu’un jeune étranger arrive à Paris, il passe d’abord par la Permanence d’accueil et d’orientation des mineurs isolés étrangers (Paomi). En France, les services de l’aide sociale à l’enfance, gérés par les départements, ont l’obligation de prendre en charge les mineurs, avec ou sans papier. »
A la Paomi, l’enfant raconte son parcours et ses papiers d’identité sont vérifiés. A l’issue de cet entretien, une première évaluation est livrée : il est plutôt mineur ou plutôt majeur. Le dossier est ensuite transmis à la justice, qui tranche.
Un appel à projet a donc été lancé mi-décembre. Il devrait être présenté en mars. L’idée serait de créer un accueil de jour pour environ 150 jeunes qui offrirait des repas, la possibilité de faire une lessive ou de se laver ; des services suffisants pour ne plus avoir à verser de l’argent aux migrants et surtout leur permettre de rompre leur isolement.
L’appel à projet comporte également la création d’une structure de nuit d’environ 25 places pour les plus vulnérables. « On veut qu’il y ait un adulte pour les encadrer et ne pas les laisser seuls. L’objectif, c’est de mettre ces jeunes à l’abri », a détaillé l’élue. » Toute cette bonté aux frais du contribuable français.
A l’heure de la robotisation de notre industrie, de la « sur spécialisation » des métiers du XXIème, du chômage de masse m’étant sur le carreau les français sans diplôme et malgré le parcours des uns et autres ou les histoires que ces migrants racontent pour faire pleurer chez les assistantes sociales, nous ne pouvons garder tous ces gens qui n’apportent rien à notre pays. En restant ils garniront le contingent de gens vivant d'aides sociales. Est-ce cette société que nous voulons ? Visiblement oui.
- Source : Mike Borowski