Sarkozy et son fond d’investissement Columbia: ce futur président vendu à ceux qui financent le terrorisme…
Ha ben oui, le président que certaines aimeraient voir revenir à la tête de la France aurait bénéficié suivant l’article de soutiens financiers de la part de ceux qui financent également le terrorisme! Rien qu’un exemple, comme ça, au passage, lorsque des méchants islamistes qui devaient être combattus au Mali se sont retrouvé en difficulté, c’est le Qatar qui a envoyé deux avions pour les sauver et en cherchant un peu, vous trouverez très facilement d’autres preuves et exemples, même dans la presse mainstream! Et c’est donc cela qui finance Sarkozy? Triste France…
Nicolas Sarkozy a bénéficié des soutiens financiers du Qatar et de l’Arabie Saoudite pour lancer son fonds d’investissement Columbia, avec Stéphane Courbit et Alain Minc, en 2012.
Nicolas Sarkozy avait envisagé de monter un fonds d’investissement nommé Columbia en 2012 avec deux de ses proches, l’homme d’affaires Stéphane Courbit et le conseiller des grands patrons Alain Minc. Le fonds d’ investissement Columbia devait gérer entre 500 millions et 1 milliard d’euros.
Pour financer son fonds d’investissement, Nicolas Sarkozy a usé de ses relations au Qatar et en Arabie Saoudite. D’après des informations du journal Libération basées sur des documents saisis par la police au siège de la société LGI, « l’ex-président a effectué trois voyages en jet privé à New York, Doha et Abou Dhabi, payés 301 000 euros par Lov Group Industrie (LGI), la société de son ami Stéphane Courbit« .
L’ancien chef de l’Etat a ainsi réussi à convaincre le fonds souverain Qatar Investment Authority (QIA) d’investir 200 millions d’euros dans Columbia en décembre 2012. Le fonds souverain d’Abou Dabi s’était également engagé à financer le fonds d’investissement de Sarkozy le mois suivant, pour un montant inconnu.
Cette information avait déjà été révélée en 2013 par Mediapart mais refait aujourd’hui surface avec l’affaire « Air Cocaïne », un Falcon rempli de cocaïne qui avait été saisi en république dominicaine. Les policiers avaient alors découvert « dix factures payées par LGI, dont trois concernant Nicolas Sarkozy » au siège de l’affréteur de l’avion.
Plombé par l’affaire Bettencourt, qui avait entrainé la mise en examen de Stéphane Courbit pour escroquerie et recel d’abus de faiblesse, le fonds d’investissement Columbia de Nicolas Sarkozy n’aura finalement jamais vu le jour. ( Voir aussi Le Qatar a-t-il financé le divorce de Nicolas Sarkozy ?)
- Source : latribune.fr