Jésus grimé en singe, crucifié, frappé au marteau à la TV israélienne : une insulte intolérable au christianisme
Le scandale qui entoure l’émission israélienne "Toffee y el Gorila" dépasse l’entendement. Cette série télévisée, créé par Erez Hyman et Shaul Betzer, s’en prend violemment à l’une des figures les plus sacrées pour des milliards de chrétiens : Jésus-Christ. Grimé en singe, crucifié, frappé à coups de marteau sous les rires moqueurs.
Une attaque frontale contre le christianisme
L’épisode incriminé met en scène Toffee, interprétée par Dawn Rosenzweig, accompagnée de Shuki, un gorille. Dans un dialogue glaçant, Toffee qualifie Jésus de « nazi », affirmant qu’il était un « ennemi du peuple juif » ayant voulu convertir les Juifs au christianisme. Les propos tenus sont d’une violence sans précédent, mais ce n’est que le début de cette parodie blasphématoire.
Lorsque le personnage du gorille évoque son souhait d’« assimilation », un terme utilisé ici pour signifier une union avec une personne non-juive, Toffee s’indigne et déclare : « L’assimilation signifie coucher avec une Goya (non-juive). C’est quelque chose que ni toi ni moi ne voulons évidemment. » Sous prétexte d’humour, ces dialogues stigmatisent non seulement le Christ, mais également les chrétiens et toute idée de rapprochement interreligieux.
Une crucifixion grotesque
La scène atteint son paroxysme lorsque le gorille est forcé par Toffee de jouer le rôle de Jésus-Christ. Ce dernier, grimé en singe, est alors soumis à une reconstitution grotesque de la crucifixion. Sous les rires, des insultes fusent : « Tu es un nazi, Jésus, un lâche ! » Pire encore, des coups de marteau sont portés sur son visage et son corps.
Comment une telle dérive peut-elle être tolérée ? En France, un simple dessin caricatural à l’encontre de la communauté juive entraîne des poursuites judiciaires et une condamnation unanime. Pourtant, lorsqu’il s’agit de s’en prendre à Jésus-Christ, figure centrale pour plus de deux milliards de chrétiens, les réactions sont bien moins virulentes. Ce deux poids, deux mesures est inacceptable et alimente un sentiment croissant d’injustice parmi les croyants.
Une atteinte aux valeurs fondamentales
La scène, présentée sous couvert d’humour, va bien au-delà de la satire. Le traitement réservé à Jésus-Christ dans « Toffee y el Gorila » est un véritable crachat au visage des chrétiens du monde entier. Grimé en singe, crucifié et humilié dans une ambiance de moquerie généralisée, ce Christ caricatural est le symbole d’un mépris qui ne doit plus être toléré.
- Source : Le Média en 4-4-2