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Vendredi, 11 Oct. 2024

Le Pr. Raoult expose les données incontestables sur l’hydroxychloroquine et condamne la loi Darmanin anti-complotiste

Auteur : Yoann | Editeur : Walt | Mercredi, 31 Janv. 2024 - 11h07

Didier Raoult nous explique que l'hydroxychloroquine à des doses qu'il préconise a été utilisée avec succès dans le traitement du COVID-19. Il mentionne l'étude portant sur 30 000 patients traités au CHU de Marseille, vérifiées par un huissier et autorisées par le directeur de l'APHM.

Message du Pr Didier Raoult sur le réseau social X qui révèle les vérités cachées sur l’hydroxychloroquine, dénonce le harcèlement scientifique et pointe du doigt la loi Darmanin anti-complotiste.

C’est simple à voir et à vérifier hors des plateaux télé et des ministères.

Tous les livres de médecine et de maladies infectieuses (y compris l’ouvrage de référence des infectiologues français, le PILLY) recommandaient depuis des années l’hydroxychloroquine à 600 mg/j pendant plus d’un an pour 2 maladies bactérienne (la fièvre Q et la maladie de Whipple) que j’avais mis au point. La même prescription était recommandée pour les maladies rhumatismales fréquentes (lupus et polyarthrite rhumatoïde).

J’ai traité et publié les dosages et les résultats des milliers de patients traités dans ces conditions, je les ai examinés et traités moi-même, j’ai fait réaliser les dosages dans mon laboratoire, je n’ai jamais eu de complications autres que des intolérances digestives et musculaires. Ceci est connu et disponible. Personne ne met en cause l’activité inhibitrice de l’hydroxychloroquine sur les premiers variants du Covid, ceci a été publié dans tous les journaux (dont Nature) qui ont rapporté son évaluation.

Nous avons, en utilisant les doses connues, (et de nombreuses autres équipes utilisant des doses identiques (voir analyse de plus de 2000 traitements dans http://C19early.org) ont des résultats comparables (baisse de la mortalité de 70% dans les traitement avant hospitalisation et de 40% chez les patients hospitalisés).

Cette étude porte sur 30000 patients traités au CHU de Marseille, enregistrés dans ce CHU où les tests par PCR ont été réalisés et qui a fourni aux patients l’hydroxychloroquine prescrite par les praticiens du CHU. C’est bien le CHU et c’est lui qui est entièrement juridiquement responsable (l’ IHU n’a pas de lits propres). Ces données ont été vérifiées par un huissier et comparées à la mortalité rapportée par l’INSEE. Nous avons demandé à Mr Crémieux, directeur de l’APHM (du CHU) l’autorisation de publier ces données rétrospectives, ce qui a été accordé et signé. Ces données, rendues anonymes, ont été déposées dans des banques de données neutres. Nous les avons depuis analysées et ceci justifie un harcèlement des 4 signataires d’une publication qui ne fait qu’analyser des donnés du CHU de Marseille avec son autorisation.

Aucune des conclusions de l’enquête à charge de l’IGAS et de l’ANSM (9 personnes en 7 mois en 2022) n’a relevé de problèmes dans ses recommandations. Ainsi, le travail qui irrite tant par sa vérité est de la responsabilité du CHU mais on nous reproche de divulguer ces données !

Pour donner du grain à moudre aux théoriciens de la pharmacologie qui ne connaissent rien de la réalité de l’ hydroxychloroquine, nous venons de publier les taux sanguins d’hydroxychloroquine des patients traités pour Covid19 en 2020 avec des doses normales. En tout, nous aurons dans notre expérience (enregistrée au CHU de Marseille et officielle) fait plus de 10000 dosages d’hydroxychloroquine et publié il y a quelques années la mise au point de techniques nouvelles de dosages.

Nous avons reçu des demandes de dosages de nombreux CHU français et d’hôpitaux étrangers car nous étions la référence mondiale de ces dosages. Nous sommes dans une réalité vérifiée (par huissier), toujours vérifiables nos données sont publiques, nous sommes les sachants !

Pour les risques cardiaques, tous nos malades traités au début ont été vus et validés par le professeur de cardiologie spécialiste en trouble du rythme de Marseille (Pr Deharo) qui a confirmé l’absence de danger de notre traitement et l’a publié. Les études de référence utilisées par l’OMS (Recovery en Angleterre, solidarity pour l’OMS, discovery en France) n’ont pas utilisé les doses recommandées depuis 30 ans mais soit des doses toxiques (pour les anglais, 4 fois la dose), soit des doses insuffisantes (les français 400mg/j), sans avoir dans certains cas (10% pour les anglais) de PCR disponible pour confirmer le diagnostic, ici on appelle cela « les médecins des poules ».

Puis les modélisateurs et les prévisionnistes, souvent pétris de conflits d’intérêts, (rapports financiers avec l’industrie) s’en mêlent. Et, pour empêcher l’accès à une réalité vérifiable (j’ai demandé au gouvernement depuis un an et demi de vérifier ces données du CHU), on promeut des études virtuelles et fausses et on nous harcèle, nous insulte, les menaces et les sanctions se multiplient sur ceux qui ne cèdent pas mais toujours pas de vrai procès contradictoire.
Nous espérons qu’enfin le droit soit dit et public.

Peut-être demain grâce à la loi Darmanin anti complotiste, pourra-t-on nous punir d’avoir (comme nous le faisons depuis le début) de vraies données scientifiques qui contredisent les affirmations approximatives des ministres de passage qui croient avoir la science infuse, n’ayant aucune connaissance du domaine ?

La loi punira-t-elle aussi ceux qui ont reconnu s’être trompés (comme le Pr Delfraissy) et véhiculaient les certitudes des politiques, quand nous avions déjà raison en doutant de leur validité ?

J’aurai tout vu dans cette crise du pire et du meilleur, mais nous, les gentils, sommes les plus nombreux.

Bon courage !

Le Professeur Didier Raoult depuis son compte X (Twitter).

L’article 4 du projet de loi anti-complotiste :

« Est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende la provocation à abandonner ou à s’abstenir de suivre un traitement médical thérapeutique ou prophylactique, lorsque cet abandon ou cette abstention est présenté comme bénéfique pour la santé des personnes visées alors qu’il est, en l’état des connaissances médicales, manifestement susceptible d’entraîner pour elles, compte tenu de la pathologie dont elles sont atteintes, des conséquences graves pour leur santé physique ou psychique ».


- Source : Le Média en 4-4-2

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