Aux États-Unis les injections ARNm covid ne sont plus officiellement recommandées pour tous les Américains y compris de plus de 65 ans

Alors qu’il y’a quelques jours la HAS française lançait sa campagne de vaccination, aux USA, le même vaccin n’est plus conseillé : «Un important comité consultatif américain sur les vaccins a voté pour cesser de recommander à tous les adultes de se faire vacciner contre le Covid-19, qui jusqu’à présent était officiellement approuvé pour la plupart des Américains» – US vaccine panel no longer recommends Covid-19 jab to adults
Cette évolution n’a surpris personne parmi les observateurs experts, qui y voyaient l’aboutissement logique d’enquêtes en cours et d’un corpus scientifique croissant remettant en cause l’équilibre bénéfices-risques des vaccins COVID-19. Aux États-Unis, le sénateur Ron Johnson, président du Permanent Subcommittee on Investigations, mène depuis des mois une enquête approfondie sur la sécurité des vaccins, demandant des documents à Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson, mais sans obtenir les informations complètes promises, menaçant même de recourir à des subpoenas (assignations) contre le HHS, le CDC, les fabricants pour obtenir des données sur les origines du virus et les effets secondaires. Il mène depuis des mois une enquête sur la corruption de la science et des agences de santé américaines.
https://edition.francesoir.fr/etats-unis-l-acip-met-fin-la-recommandation-universelle-du-vaccin
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Japon : Des experts exigent l’arrêt immédiat des vaccins à ARNm face à des risques ignorés
Le Japon, souvent perçu comme un modèle de rigueur sanitaire, est aujourd’hui le théâtre d’une controverse scientifique majeure autour des vaccins à ARN messager. Une voix dissonante, mais puissante, s’élève pour dénoncer ce qu’elle considère comme une expérience médicale à grande échelle. Dirigée par le professeur Masanori Fukushima, oncologue et pharmacoépidémiologiste de renom, une coalition d’experts exige le retrait pur et simple des sérums géniques.
Le Pr Fukushima alerte sur l’utilisation massive de l’ARNm, soulignant sa stabilité anormale et son potentiel d’intégration à l’ADN humain.
Une conférence choc : la science bafouée ?
Le 18 septembre 2025, l’Association japonaise de recherche sur les problèmes liés au vaccin ARNm (JVIRA) a tenu une conférence de presse à Tokyo, qualifiant les injections d’ARNm de « thérapies géniques non maîtrisées ». Le Pr Fukushima, figure historique de la pharmacovigilance au Japon, a fustigé l’utilisation massive de ces technologies, soulignant leur stabilité anormale et leur potentiel d’intégration à l’ADN humain – un risque cancérigène longtemps nié, désormais impossible à ignorer.
« Nous naviguons à vue », a-t-il asséné, dénonçant l’absence criante d’études robustes sur les effets à long terme. Il a condamné ce qu’il nomme « l’embrigadement vaccinal », martelant que ces produits étaient superflus et dangereux. La JVIRA réclame leur retrait immédiat du marché.
Signe troublant : six représentants du ministère de la Santé (MHLW) assistaient à l’événement. Leur présence, inhabituelle, suggère une défiance latente au sein même des institutions. Alors que le Japon enregistre une surmortalité persistante et une hausse des effets indésirables post-vaccinaux, le silence officiel devient assourdissant.
18 septembre 2025, Université de Kyoto, professeur Masanori Fukushima
— GM (@Mcm999Xtine) September 19, 2025
Le gène du vaccin à ARNm s'est intégré à l'ADN humain.
Il était censé disparaître immédiatement après avoir été injecté dans le bras ? Comment allez-vous vous justifier ? pic.twitter.com/QMuIfkGKug
Contexte : des approbations précipitées et opaques
Cette offensive fait suite à la publication, début septembre, d’une tribune dans « Science, Public Health Policy and the Law », exigeant le retrait des autorisations des vaccins à ARNm. Les auteurs y dénoncent un contournement des procédures : ces produits, bien que relevant de la thérapie génique, auraient été exemptés des tests de biodistribution et de génotoxicité pourtant obligatoires.
Parmi les vaccins incriminés, l’ARCT-154 (Kostaive), approuvé en catimini en septembre 2024, cible la souche JN.1 d’Omicron via une technologie auto-amplifiante (saRNA) – encore plus intrusive et peu documentée.
Pendant ce temps, le gouvernement continue de nier toute menace. Les « fact-checks » officiels rejettent prétendument les alertes, tandis que Pfizer, Moderna et Daiichi Sankyo inondent le marché. Moderna a certes annulé en juillet son projet d’usine sur le sol nippon, prétextant un « environnement défavorable » – hasard ou fuite prudente ?
Des études récentes, dont une publiée en août 2025 dans Rinsho Hyoka, établissent pourtant un lien inquiétant entre troisième dose et surmortalité par cancer. Preuves accablantes ou détails qu’on préfère ignorer ?
Réactions : entre déni et pression sociale
Face aux critiques, les défenseurs du vaccin campent sur leurs positions : efficacité, sécurité, et absence de risque de transmission (« shedding »). Le MHLW affirme, sans nuance, qu’« aucun composant vaccinal ne se transmet » – une affirmation péremptoire, contredite par des cliniques qui refusent désormais d’injecter par crainte de représailles.
- Source : Le blog de Patrice Gibertie