www.zejournal.mobi
Mardi, 02 Sept. 2025

Surréaliste : le PS, parti social-traître croupion, se dit prêt à gouverner

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Mardi, 02 Sept. 2025 - 14h22

Si la situation n’était aussi tragique pour dix millions de nos concitoyens pris à la gorge financièrement, on aurait écrit que la France de Macron est une vaste blague, rapport à un pays dirigé par un enfant, par définition immature.

Mais les Français souffrent, et les six murs – dette parentale, boulot mal payé, soins abandonnés, école en perdition, sécurité aux oubliettes, et invasion de migrants – se rapprochent : quatre de côté, plus le plafond et le plancher. La pression est intense, le broyage des vulnérables est en cours.

Le politique a trahi, le journaliste a trahi, le magistrat a trahi, le policier a trahi, le syndiqué a trahi, il ne reste plus que les gens pour aider les gens, d’où une nouvelle solidarité horizontale, les corps intermédiaires ayant totalement failli.

Dans ce contexte, tout devient surréalisme, cette branche du faux. Le PS, qui n’existe électoralement plus, même s’il détient une bonne part des institutions, une incongruité en matière de démocratie représentative, se déclare prêt à gouverner, alors que le RN, recentré de force par le CRIF, tutoie les sommets dans les sondages. Toutes les règles sont pulvérisées, on est bien dans la tyrannie de la minorité.

Un Premier ministre est capable d’accuser les Français, c’est-à-dire les contribuables qui enrichissent le pays et l’État, de dépenser l’argent de l’État, et vous savez quoi, en « retraites » ! Chercherait-il à se faire plus détester que Macron ? Est-ce la charge réelle que le Président lui a confiée ?

Ce ne sont pas les grandes entreprises qui aspirent 200 milliards par an, mais les Français, ces salopards, qui plombent le budget de l’État et qui obligent ce pauvre Premier ministre à leur soutirer encore 43 milliards cette année sur le dos des services publics. Ce n’est plus une crise de régime, c’est tout un Système qui montre son inanité, et, à la fin, sa dangerosité. Car il faudra bien, entre ce Système et le peuple, qu’une des deux forces cède. La chute du régime Macron ne suffira pas. Derrière, on nous propose déjà un clone, le petit Attal... Qui porte un « projet » comme d’autres mères porteuses un bébé à vendre.

Exemple de la radicalisation, Chouard, qui tenait des propos plutôt mesurés, est passé du côté des durs. Il emprunte même le titre d’un livre fraîchement sorti...

Dans ce contexte incendiaire, le 10 Septembre peut apparaître comme une date clé, un départ. Mais on apprend (dans Le Figaro) que c’est la gauche radicale qui chauffe les feux. La presse, bonne fille, relaie les ingénieries du Château.

« On va tout péter » : des réseaux à la rue, ces militants d’extrême gauche qui se préparent au 10 septembre

Le slogan du rassemblement a l’avantage d’être concis : « Y en a marre ! » En ce crépuscule de la fin août au parc de la Villette à Paris, il est tonné, sangloté, applaudi – ou plutôt encouragé de claquements de doigts, qui remplacent les battements de mains dans les cercles militants – par quelque trois cents participants composés majoritairement d’étudiants. Marre de quoi ? Des « fascistes » d’abord, mais aussi de « la guerre, lutte entre puissants », et puis des « mères solitaires, qui galèrent seules », de « l’écologie jamais prise en compte », sans oublier « Bruno Retailleau ».

C’est faire peu de cas des Gilets jaunes historiques, dont le feu anti-Macron couve encore. Gauchiser ce mouvement en herbe, c’est le polariser pour le dénationaliser, au sens où il concerne toute une base de la nation, celle des Français qui bossent dur et n’en peuvent plus, et qui sont pris dans tous les feux oligarchiques cités en intro.


- Source : E&R

Cela peut vous intéresser

Commentaires

Envoyer votre commentaire avec :



Fermé

Recherche
Vous aimez notre site ?
(230 K)
Derniers Articles
Articles les plus lus
Loading...
Loading...
Loading...
 
 

Contribuer au journalisme de ZeJournal

Faites un don pour nous aider à poursuivre notre mission d’information

Faire un don

( En savoir plus )