Le traité de l'OMS sur la pandémie garantit 500 milliards de revenus de base inconditionnels à l'industrie pharmaceutique
Le projet de traité de l'OMS sur les pandémies oblige chaque Etat membre à investir beaucoup d'argent dans la "prévention des pandémies" et à faire des réserves de vaccins, alors qu'il n'est pas du tout certain que ceux-ci seront un jour nécessaires. La juriste et politicienne allemande Beatrix von Storch résume de manière concise le fait que l’industrie pharmaceutique et affiliés sortiront unilatéralement gagnants du contrat de pandémie si nous ne l'empêchons pas.
Pendant ce temps, les hôpitaux et les cabinets médicaux font déjà faillite à tour de bras.
La folie pandémique de l'OMS passe maintenant à la vitesse supérieure. Le projet actuel de traité sur les pandémies de l'OMS est disponible, et bien sûr vous n'en avez pas encore entendu parler, parce qu'il a vraiment de l'importance.
Il y a beaucoup d'argent en jeu. En substance, les pays de l'OMS, les États membres, doivent s'engager à consacrer 5% de leurs dépenses de santé à la prévention des pandémies !
La plupart des gens ne se rendent pas compte de l'ampleur de la tâche. En moyenne, chaque État dans le monde consacre 10% de son PIB à la santé. Le PIB global de tous les États est de 100 billions de dollars. 10% de cette somme représentent donc dix billions. Et 5% de cette somme doivent désormais être consacrés à la prévention des pandémies.
Cela représente 500 milliards par an. Pour l'Allemagne, cela représente 20 milliards par an.
En Allemagne, nous avons des dépenses de santé de 400 milliards. 5% de cette somme, c'est 20 milliards.
C'est dix fois plus que ce que le budget fédéral verse déjà comme subvention aux caisses d'assurance maladie publiques déficitaires, parce qu'elles ne peuvent déjà pas s'en sortir avec le produit des cotisations.
Et lorsque le traité de l'OMS sera ratifié, nous nous engagerons à consacrer chaque année 20 milliards à la prévention. Et ce, bien que 50 % de nos hôpitaux soient déjà au bord de la faillite ou que 7.000 cabinets médicaux aient fermé ces dernières années.
Nous n'avons pas d'argent pour la santé actuelle, mais on nous demande maintenant de faire de la prévention et par exemple d'acheter et de stocker des vaccins. Et comme leur durée de vie est limitée, nous devons en racheter sans cesse.
En pratique, c'est un revenu de base inconditionnel de plusieurs milliards pour les groupes pharmaceutiques.
Et pourtant, nous ne savons même pas si nous avons besoin de ces vaccins ou non. L'argent dont nous avons eu besoin ces dernières années n'est plus là. L'argent va quand même dans les caisses de Pfizer et de BioNTech.
Ils n'arrivent plus à s'endormir à force de rire. Et puis, tous les deux ans, on nous demande de faire une simulation de pandémie. C'est-à-dire que tous les deux ans, l'ensemble du système de santé et nous, les citoyens, devrions faire comme s'il y avait une pandémie, même s'il n'y en a pas pour le moment. Alors, on joue le jeu. Cela aussi coûte des milliards.
Toute la vie publique est bouleversée, et ainsi de suite. Les crises que nous connaissons actuellement ne leur suffisent pas. Crise économique, crise énergétique, crise des retraites, crise migratoire.
De plus, nous devons simuler une crise pandémique dans le système de santé. La société doit être plongée dans une panique pandémique permanente afin d'enrichir encore plus volontiers les groupes pharmaceutiques mondiaux.
Ce traité de l'OMS sur les pandémies ne doit jamais être ratifié.
Pour les germanophones, voir la vidéo:
- Source : Kla TV (Allemagne)