Les experts du Forum économique mondial (WEF) déclarent les potagers des citoyens, responsables du désastre climatique
Les jardiniers amateurs sont-ils devenus les Voldemort du changement climatique, semant le chaos avec leurs radis et leurs salades ? A en croire les prétendus "experts" du Forum économique mondial (WEF), ses derniers semblent le penser sérieusement, affirmant que les potagers personnels sont la véritable menace qui pèse sur notre planète. Rien que ça !
Selon une étude récente du WEF, la simple action de faire pousser sa propre nourriture à la maison est apparemment devenue aussi diabolique que d’utiliser l’avion privé de Bill Gates à prix d’EuroMillions pour parcourir des milliers de kilomètres afin de raconter des conneries entourer de connards.
Les chercheurs, financés par le WEF de l’Université du Michigan, ont découvert que les aliments cultivés localement sont les ennemis publics numéro un de l’environnement, surpassant même la notoriété de Monsanto.
Les fanatiques mondialistes du climat, déjà déçus que les arbres ne participent pas aux forums internationaux, appellent maintenant les gouvernements à interdire aux citoyens de cultiver leur propre nourriture. Apparemment, il est temps de dire adieu à vos modestes plants de basilic sur le balcon et aux trois salades de mamie Simone, car ils sont désormais responsables de la fonte des glaces, des ouragans et des tsunamis.
Selon l’étude, les citoyens bien intentionnés et leurs petits jardins génèrent presque cinq fois plus d’empreinte carbone que les fermes traditionnelles. Oui, vous avez bien entendu, vos fraises maison sont maintenant des agents du réchauffement climatique, c’est comme planter des piles dans votre jardin.
Jake Hawes, le brillant esprit derrière cette découverte — qui a touché un peu de pognon au passage —, a expliqué que les coupables principaux étaient les infrastructures utilisées pour cultiver ces légumes subversifs. Apparemment, les plates-bandes surélevées et les cabanes à outils sont devenues des repaires secrets des émissions de carbone, conspirant silencieusement contre notre planète.
L’étude a également mis en garde contre des composts mal gérés et d’autres intrants synthétiques, comme si nos bacs à compost étaient des laboratoires clandestins de destruction environnementale. Faut-il s’attendre à ce que les forces de l’ordre débarquent chez vous pour vérifier la qualité de votre compost ?
En conclusion, chers jardiniers en herbe, il est temps de renoncer à votre rêve de devenir le prochain fermier éco-responsable. Laissez les experts du WEF et leurs calculs hilarants vous guider vers un avenir où les tomates sont cultivées par des professionnels et où les fraises ne sont que des souvenirs lointains d’une époque où vous pouviez avoir votre propre coin de paradis vert. Ou alors, dites-leur d’aller se faire foutre ! C’est vous qui voyez !
- Source : Le Média en 4-4-2