L’obsession du FEM pour l’IA et les puces cérébrales. « Nous » pouvons créer un système d’IA « là où nous n’avons même pas besoin d’élections démocratiques » Klaus Schwab
Souvenez-vous de l’interview de Klaus Schwab de 2016 avec un animateur de la télévision suisse romande, dans laquelle Schwab disait quelque chose comme : « Imaginez que d’ici 2025, nous pourrions tous avoir une puce implantée quelque part dans notre corps ou notre cerveau, et nous pourrons peut-être communiquer les uns avec les autres, sans téléphone, même sans utiliser notre voix… » ? Klaus Schwab appelle cela une fusion entre le monde physique, numérique et biologique.
Il parle également d’avoir des « majordomes » personnalisés sous forme de robots, qui ne sont pas seulement des esclaves, mais plutôt des assistants, car ils fonctionnent avec l’intelligence artificielle (IA) et apprendront de nous….
L’obsession de Schwab pour la quatrième révolution industrielle – la numérisation complète de tout – semble sans limites . Regardez cette interview complète de 2016 (vidéo 28 min.), avec les humains pucés, à partir de 00:02:30.
Tout cela évolue vers la mondialisation et un gouvernement mondial unique, pour lequel une population mondiale considérablement réduite est à l’ordre du jour. Cela reste l’objectif numéro UN du Forum économique mondial, conformément à la Grande Réinitialisation et à l’Agenda 2030 des Nations Unies. Le rêve de Klaus Schwab de la quatrième révolution industrielle, l’IA et la numérisation d’absolument tout ne sont que des instruments pour y parvenir plus rapidement.
Un autre outil était la Covid et les « vaccins » comme armes biologiques, et peut-être que le FEM Davos24 a propagé un nouveau virus « X » – qui n’existe pas encore, mais qui rôde quelque part (Gates, Tedros, OMS) et, ce qui est tout à fait ridicule, des « vaccins » sont déjà en cours de développement – et l’un des principaux instruments de ce génocide mondialiste est l’énorme canular climatique .
Le mensonge climatique est en préparation, au moins depuis le rapport dévastateur du Club de Rome sur les « Limites de la croissance », qui constitue encore le modèle d’une grande partie de ce qui se passe aujourd’hui, y compris la réduction de la population. Avec le changement climatique, tous les rêves eugénistes peuvent se réaliser. Si nous, les citoyens [le peuple], les laissons faire.
Le Club de Rome, une invention de Rockefeller, a également son siège en Suisse (Winterthour), tout comme le FEM-WEF, l’OMS, GAVI (l’alliance vaccination-pharma [industrie pharmaceutique]) et – la Banque des règlements internationaux (BRI), également appelée Banque centrale de toutes les banques centrales. Le tout avec une immunité diplomatique totale et hors taxes. Une coïncidence?
L’interview de Klaus Schwab à la télévision suisse a eu lieu le 10 janvier 2016, juste avant le FEM-WEF Davos16, le 46 e FEM, organisé sous le thème «Maîtriser la quatrième révolution industrielle».
Huit ans plus tard, le 54 ème FEM Davos24, qui vient de se terminer le 19 janvier dernier, portait le titre « Rebuilding Trust », « Rétablir la confiance ». Au début, on pourrait penser que le FEM se rend compte qu’il s’enfonce dans un désarroi de plus en plus profond auprès des populations du monde entier, y compris des grandes entreprises et des fiers adhérents du FEM, et qu’il a effectivement besoin de rétablir la confiance.
Rien n’est plus faux. Les thèmes abordés lors des plénières du FEM, « le changement climatique », l’arrivée d’une nouvelle maladie « X » encore inconnue et « déjà quelque part là-bas », et l’admiration culte d’une IA toujours plus perfectionnée – n’ont pas vraiment contribué à « Rétablir la confiance ».
Surtout si l’on considère certaines sessions isolées, avec un public limité, où l’obsession de Klaus Schwab pour les implants de micropuces, l’IA – et lire dans les pensées [mindreading]-, est au centre de l’attention.
Ce sont certainement quelques-uns des moments les plus terrifiants du FEM Davos24. Par exemple, lorsqu’il s’entretient avec Sergey Brin, co-fondateur de Google et ancien président d’Alphabet, la société mère de Google. Une valeur nette de 118 milliards de dollars américains (2024) fait de M. Brin la 9e personne la plus riche du monde (Forbes).
Klaus Schwab prétend rêver :
« Imaginez que nous soyons assis ici dans dix ans et que nous ayons un implant dans notre cerveau, et je peux immédiatement sentir, parce que nous avons tous des implants, que je peux mesurer vos ondes cérébrales, et je peux immédiatement vous dire comment les gens réagissent à votre réponse… est-ce c’est imaginable ?
Sergey Brin a l’air plutôt abasourdi par la question, visiblement mal à l’aise, ne sait que dire, puis lève les yeux au ciel, puis un peu gêné, jette les bras en l’air et dit avec hésitation… « Je pense que c’est imaginable… » ??C’est un spectacle. pour le cirque.
Et cela nous rappelle l’interview de Klaus Schwab accordée à la télévision suisse romande en 2016.
*
Le fondateur et président du FEM-WEF va ensuite plus loin dans son obsession en suggérant :
« Nous pouvons créer un système dans lequel nous n’avons même pas besoin d’élections démocratiques, car nous pouvons prédire comment vous allez penser et ressentir… »
Peu importe que les élections démocratiques appartiennent à un passé révolu. Au cours des vingt dernières années, il n’y a pratiquement pas eu d’élections dans le monde qui n’aient pas été manipulées d’une manière ou d’une autre par les Maîtres de l’Univers… même dans la patrie des Maîtres et des empereurs autoproclamés.
Il est intéressant de noter que Schwab fait toujours référence à Nous , car dans NOUS vous contrôlons, vos pensées, vos sentiments, nous vous mettons dans un mode « prédictif ».
Ce que M. Schwab ne dit jamais, cependant, et c’est fortement implicite, c’est que le « Nous » qui contrôle les ondes cérébrales électroniques influencera votre pensée comme nous le souhaitons.
Voir ci-dessous un clip vidéo de 5 minutes pour les moments terrifiants de la folle « planification prédictive ». Parce qu’il s’agit d’un rituel de culte, Klaus Schwab – et d’autres de son acabit de l’âge sombre, prédisant, disant et avertissant les gens de ce qu’ils envisagent de faire de nous, Nous, le Peuple, est une Obligation [Must], pour qu’ils réussissent.
Lors d’une autre session du FEM Davos24, quelqu’un a demandé : « Que pouvons-nous faire pour éviter que le mauvais président soit élu ? »
Aucun nom n’a été cité, mais il était évident que le commentateur faisait référence à Donald Trump, un altermondialiste, qui remporterait les États-Unis haut la main, si des élections équitables étaient organisées aujourd’hui.
Nous vivons actuellement dans le monde occidental sous une dictature sectaire, et la plupart d’entre nous ne l’ont même pas encore remarqué. Imprégnées d’une pensée sectaire vieille de plusieurs milliers d’années, les actions obscures ne réussiront que si elles sont communiquées d’une manière ou d’une autre aux personnes qui seront affectées.
Souvent, cela se fait sous forme de camouflage, de fantasmes ou de films (Hollywood fait partie de la culture sectaire), de sorte que les gens prennent la chose au sérieux et ne se révoltent pas. Lorsqu’ils sont touchés, il est déjà trop tard.
L’obsession des puces implantées et de l’IA qui régissent notre quotidien, des robots remplaçant les humains sur le marché du travail, existe depuis longtemps. L’endoctrinement ou l’ingénierie sociale, l’une des principales agences de manipulation mentale, comme l’appelle l’Institut Tavistock, basé au Royaume-Uni, a été réalisé à la perfection. Tavistock travaille probablement en collaboration avec Hollywood, pour prendre le pouls d’événements tels que le FEM-Davos, l’Assemblée générale des Nations Unies et de nombreux événements internationaux, ainsi que régionaux, pour connaître les réactions et impulsions des gens.
C’est pourquoi il est si difficile aujourd’hui de voir la supercherie [canular], par exemple la supercherie climatique, et même de reconnaître qu’on a été trompé. Admettre à soi-même et aux autres être tombé dans le piège du mensonge ou de la manipulation mentale est l’obstacle le plus difficile à surmonter – et à se réveiller. Les ingénieurs sociaux le savent.
Nous vivons dans une situation de dissonance cognitive dans un environnement dystopique, où tout semble et devient « normal ». Nous sommes bien au-delà du 1984 de George Orwell – où la guerre est la paix et la haine est l’amour.
Lors du FEM de Davos24, quelqu’un aurait déclaré : « Nous devons bombarder notre chemin vers la paix ». Désolé, la référence n’est plus disponible. La référence a été victime de « fact-checkers » éliminant les « fausses informations ».
Nous DEVONS être conscients et attentifs à ce qui se passe autour de nous. A Bruxelles, on nous fait peur avec la mise en œuvre prochaine de l’identification numérique qui serait liée à tout ce qui est personnel, aux dossiers médicaux, aux dossiers de vaccination, aux dossiers bancaires et, en fin de compte, à la monnaie numérique programmable de la Banque centrale (CBDC) qui exerce un contrôle total. Lorsque cela arrivera, et que nous permettrons cela par négligence, nous serons condamnés.
L’identification numérique, un terme mal choisi, car il ne s’agit pas simplement d’une pièce d’identité, mais d’une forme de déguisement, qui se développe à l’envers [ is being built up in reverse]. En Suisse et ailleurs en Europe, les gens sont contraints d’adopter le code QR sur votre téléphone intelligent [e-banking] qui est la première étape pour contrôler l’argent, ce que vous achetez et où vous achetez ou faites n’importe quelle transaction monétaire, parce que vous êtes suivi à la trace par le téléphone intelligent. Le code QR collecte toutes les données.
La tyrannie bancaire est déjà là. Si vous souhaitez continuer à utiliser votre compte bancaire, vous devez respecter les règles du système financier. Cela n’a rien à voir avec les lois – c’est l’ ordre fondé sur des règles .
Le code QR peut contenir une quantité presque illimitée de données personnelles, ainsi que des données relatives à l’endroit et à la raison pour laquelle vous dépensez votre argent – ??vous en savez finalement plus sur vous que vous-même.
Soyons vigilants, conscients et prêts à construire un système monétaire et bancaire alternatif, géré par les citoyens [le peuple] et pour les citoyens [le peuple]. Il n’est plus question de Gauche ou de Droite. Nous DEVONS combattre le mondialisme.
Traduit par Maya pour Mondialisation.ca
L’image en vedette provient du Libertarian Institute
L'auteur, Peter Koenig, est un analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l’Institut Chongyang de l’Université Renmin de Pékin.
- Source : GlobalResearch(Canada)