Le ministre de la Santé de Floride exige le retrait des vaccins Covid
Le Dr Ladapo estime que «ces vaccins ne sont pas appropriés pour une utilisation chez les êtres humains».
Alors que, dès le début des campagnes de vaccination, ont vu le jour des soupçons sur le risque de voir l’ARN des vaccins transcodés en ADN puis intégrés dans le génome humain de manière permanente, il a fallu attendre une étude suédoise parue en 2022 pour quantifier ce risque.
Un cap a ensuite été franchi en 2023 avec la découverte inattendue de milliards de fragments d’ADN par dose dans les vaccins Covid-19 à base d’ARNm de Pfizer et Moderna, ce qui fait craindre que certains vaccinés produiront de la protéine spike toxique pour le restant de leur vie, réduisant ainsi leur espérance de vie.
Tollé en Allemagne
Cette nouvelle a créé un tollé en Allemagne en décembre dernier, des organisations de médecins dénonçant le laxisme des autorités en charge de la pharmacovigilance.
Le 6 décembre 2023, le Dr Joseph Ladapo, ministre de la Santé de Floride, a envoyé une lettre à la Food and Drug Administration (FDA) – l’autorité de surveillance des médicaments aux États-Unis – au sujet des risques liés à cette découverte.
Citant les directives publiées par la FDA en 2007, le Dr Ladapo a exprimé ses inquiétudes relatives au dépassement des limites réglementaires de l’ADN dans les vaccins, sachant que :
- L’intégration de l’ADN pourrait théoriquement avoir un impact sur les oncogènes d’un être humain – les gènes qui peuvent transformer une cellule saine en cellule cancéreuse.
- L’intégration de l’ADN peut entraîner une instabilité chromosomique.
- Les lignes directrices à l’intention de l’industrie traitent de la biodistribution de l’ADN contenu dans les vaccins et de la manière dont leur intégration dans les cellules humaines des vaccinés pourrait affecter de manière incontrôlée certaines parties du corps, notamment le sang, le cœur, le cerveau, le foie, les reins, la moelle osseuse, les ovaires/les testicules, les poumons, les ganglions lymphatiques de drainage, la rate, le point d’injection et la couche sous-cutanée au point d’injection.
Le 14 décembre 2023, la FDA a répondu au ministre par une lettre qui ne faisait aucune mention d’éventuelles démarches pour évaluer la possibilité d’une intégration de l’ADN chez les vaccinés.
Risque unique et élevé pour la santé
Dans une déclaration officielle publiée le 3 janvier 2023, le Dr Joseph Ladapo a donc demandé l’arrêt de toutes les injections d’ARNm Covid-19 :
«La réponse de la FDA ne fournit pas de données ou de preuves que les évaluations de l’intégration de l’ADN qu’elle a elle-même recommandées ont été effectuées. Au lieu de cela, elle a fait référence à des études de génotoxicité, qui sont des évaluations inadéquates du risque d’intégration de l’ADN. En outre, elle a occulté la différence entre le promoteur SV40 et les protéines du SV40, deux éléments pourtant bien distincts.
L’intégration de l’ADN présente un risque unique et élevé pour la santé humaine et pour l’intégrité du génome humain, y compris le risque que l’ADN intégré dans les gamètes des spermatozoïdes ou des ovules soit transmis à la progéniture des personnes ayant reçu le vaccin Covid-19 à ARNm. Si les risques d’intégration de l’ADN n’ont pas été évalués pour les vaccins Covid-19 à ARNm, ces vaccins ne peuvent pas être utilisés chez l’homme.
Les prestataires de soins préoccupés par les risques pour la santé des patients associés au Covid-19 devraient donner la priorité à l’accès des patients aux vaccins et traitements à base de Covid-19 sans ARNm. J’espère qu’en ce qui concerne le Covid-19, la FDA prendra un jour sérieusement en considération sa responsabilité réglementaire de protéger la santé humaine, y compris la préservation du génome humain.
Dans un esprit de transparence et d’intégrité scientifique, le Dr Joseph A. Ladapo, médecin-chef de l’État, continuera à évaluer les recherches sur ces risques et à informer les habitants de la Floride».
- Source : Covid Hub (Suisse)