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Mercredi, 25 Déc. 2024

Agnès Buzyn, l’innocence incarnée

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Mercredi, 13 Déc. 2023 - 11h58

Agnès Buzyn était le ministre de la Santé au début du covidisme, pendant l’hiver 2019-2020. Elle a notamment fait retirer au début 2020 l’hydroxychloroquine du Pr Raoult de la liste des médicaments en vente libre – une substance « vénéneuse » –, soi-disant sur les ordres de l’ANSES (l’agence de sécurité sanitaire), ou, euh, de l’ANSM (l’agence de sécurité du médicament), elle ne sait plus trop, devant la commission d’enquête du Sénat.

Les Français s’en souviennent très bien. Pour elle, cette mémoire est de l’antisémitisme.

Les attaques contre sa personne sont en réalité des attaques contre ses décisions, contre sa politique, attaques qu’elle transforme allègrement en attaques antisémites. C’est pour ça qu’elle a été installée à ce poste, au vu de ce qui se tramait contre les Français ?

Aujourd’hui, se présentant comme une victime – ce culot ! –, elle pleurniche chez Haziza. L’accusation d’antisémitisme est devenue un bouclier contre la justice.

« Les Gilets jaunes ont été dévoyés très rapidement par des leaders très antisémites ». 

Sur le Net, le retour de Buzyn, comme si de rien n’était, fait grincer des dents. Sans parler du covid, bien des parents n’ont pas avalé son chantage aux 11 vaccins obligatoires sur leurs enfants, prélude du chantage à l’injection prétendument anti-covid. Pressentant la catastrophe et le retour de bâton, Buzyn a sauté du train en marche, laissant la patate chaude à Véran, Braun et compagnie.

Revoici les mots qu’elle a utilisés lorsqu’elle a fait inscrire l’HCQ sur la liste des substance vénéneuses, offrant un boulevard au Big Pharma, qui avait préparé, des années plus tôt, son pseudo-vaccin à ARN-messager.

Le plan s’est déroulé comme prévu, pour l’oligarchie, ce combo serré entre la puissante industrie pharmaceutique multinationale et les gouvernements occidentaux corrompus, McKinsey faisant le joint entre tous. L’expérience H1N1 de 2009 avait servi de brouillon, les mêmes erreurs ne seraient pas commises.

 

Les milliers de Français sacrifiés en 2020 dans les Ehpad doivent se retourner dans leur tombe, en entendant Buzyn pleurer sur son sort et accuser d’antisémitisme ceux qui ont compris la covid-arnaque. Pour mettre tout le monde d’accord, nous dirons qu’antisémitisme est l’autre mot pour lucidité.

 

La politique française est tombée à un niveau moral qui n’est pas sans conséquences sur la relation entre les dirigeants et les citoyens. Aujourd’hui, après l’immense mensonge du covid, il n’y a plus de consensus, plus de confiance, plus d’obéissance. La preuve, les campagnes de vaccination se sont effondrées. Il va falloir trouver un autre mode de gouvernance.

Autopsie d’un désastre


- Source : E&R

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