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Samedi, 27 Avr. 2024

Voici qu’ils nous préparent le terrorisme alimentaire

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Vendredi, 25 Mars 2022 - 14h33

Si le capitalisme financier a moyen de se faire un petit billet (de plusieurs dizaines de milliards) à l’occasion de la crise ukrainienne, il le fera, et sans vergogne. C’est pourquoi, de partout, on voit les prix monter, le prix à payer des « cadeaux » de 2020-2021, quand l’État distribuait à tous vents après avoir empêché les Français de travailler, sous prétexte d’une pandémie montée en mayonnaise à partir d’une grippe augmentée en laboratoire. 

Nos gouvernants ont créé de la dette, sciemment, ce qui explique l’inflation actuelle, et nous allons rembourser beaucoup plus que les 200 milliards d’aides et de prêts. L’État néolib (oxymore) s’est lourdement endetté, sans qu’on le lui demande, et il nous le fera payer très cher. Déjà, l’augmentation de 50 % en deux ans des carburants va rapporter en taxes des dizaines de milliards à l’État :

Tarifs Carburants 2022 / 2021 Infogram

Comment lancer la pénurie alimentaire ? Facile, il suffit de l’annoncer pour que les étals se vident !

Mais dernièrement, ce n’est plus que l’essence qui inquiète : face à la flambée du cours des matières premières, on craint également des pénuries alimentaires, qui seraient des répercussions directes, elles aussi, de la guerre en Ukraine. Car l’Ukraine et la Russie sont de grands producteurs de blé, de maïs, de tournesol et d’engrais à l’échelle mondiale. (planet.fr)

Cette ponction lombaire douloureuse pour les Français de la classe moyenne dite inférieure (on ne parle même plus des pauvres, complètement hors champ médiatique) sera suivie d’une hausse générale des prix et d’une bonne petite pénurie, dont la fameuse pénurie alimentaire, que Le Monde avait souhaitée, pardon, lancée, en 2020 dans un article aussi dangereux que prémonitoire, très dans la ligne de la psychose de l’époque. Cette fois-ci, le covid ne faisant plus d’effet, c’est au tour de la guerre ukrainienne d’expliquer ce nouveau coup du sort, le capitalisme financier sachant se planquer derrière tout ce qui nous arrive, généralement en mal.

Tout est fait, depuis le terrorisme islamiste (sous faux drapeau de Daech) et le terrorisme covidiste (sous faux virus archimortel), pour que les Français se sentent en guerre permanente. D’ailleurs, notre Petit Dictateur l’a dit : nous sommes en guerre. S’il est en guerre contre nous, avec son équipe qui contrôle l’État, alors la majorité des Français est en guerre contre lui. Les coups commencent à pleuvoir, des deux côtés.
Prochain coup du pouvoir : le blé, donc le pain, les pâtes, la base de la nourriture des 12 millions de Français fourrés dans la catégorie « pauvres ».

Si le prix du pain est bloqué pour des raisons politiques, celui des pâtes ne l’est pas.

 

D’accord, c’est en Belgique, mais ça sent le laboratoire pour toute l’Union. Avec Lagarde et Leyen, le duo de sorcières mondialistes, il faut s’attendre au pire. Au fait, qui disait que les femmes en politique allaient adoucir la vie des gens, être moins connes que les hommes ?

Ceux qui aiment bien flipper peuvent aller lire l’article de planet.fr, et se précipiter dans le premier supermarché pour dévaliser ce qui reste.

Face au conflit russo-ukrainien, la demande de certains produits grimpe en flèche depuis plusieurs jours. Pour éviter des pénuries, certains supermarchés chez nos voisins européens ont décidé de mettre en place un système de rationnement pour plusieurs produits. La France pourrait à son tour appliquer ces restrictions. La liste des aliments concernés.

Les autres se souviendront de la panique de 2020, quand plus rien ne restait dans les rayons, et que tout est revenu trois jours plus tard. On a une pensée pour ceux qui ont rempli la chambre du petit avec 150 rouleaux de PQ... Ce n’est évidemment pas la production céréalière russo-ukrainienne qui va mettre en péril l’alimentation des Français, mais ça servira de prétexte à une nouvelle forme de terrorisme, disons l’alimenterrorisme.

Les complotistes survivalistes vont hurler à la famine organisée, et se réfugieront derrière les murs de leur petite maison, en paille, bois ou brique, avec trois mois de vivres. Mais après ? Cela ne changera rien à l’affaire pour la collectivité, qui découvre sans la comprendre d’emblée la malignité de la dominance.

En tout cas, il n’y aura jamais pénurie d’arnaques, de mensonges et de manipulations. De ce côté-là, les Français ont à bouffer pour mille ans, moins, on l’espère. Et puis la hausse des prix n’est pas perdue pour tout le monde : nos multinationales vont se gaver ! C’est ça, le ver solitaire national : des grandes entreprises qui grossissent dans un pays qui maigrit.

***

La crise alimentaire est là… et personne n’y échappera

La guerre amène la crise financière mais aussi la crise alimentaire.

Selon Aubedigitale :

« Le monde se dirige vers une crise alimentaire mondiale « catastrophique » en raison de la guerre en Ukraine, qui provoquera « l’enfer sur terre » pour les prix alimentaires », selon les experts.

« La moitié de la population mondiale se nourrit grâce aux engrais… et si on les retire des champs pour certaines cultures, le rendement chutera de 50% », a déclaré à la BBC Svein Tore Holsether, directeur de la société agroalimentaire Yara International ».

 

Cependant en France, nous avons de la chance nous sommes « relativement indépendant » d’un point de vue alimentaire notamment, grâce à toutes nos surfaces agricoles.

En France, en 2019, la superficie agricole utilisée (SAU) représente 45% de la superficie du pays. Et dans la mesure où nous sommes électriquement indépendants grâce aux usines nucléaires, la logistique peut être prise en charge.

Cependant, il reste des problèmes de taille, comme le prix du carburant.

Nos maraîchers n’utilisent pas encore de tracteurs Tesla qui roulent à l’électrique, et ce coût risque de se faire sentir sur le ticket de caisse du supermarché.

« Notant que des pays comme le Liban, le Yémen, la Syrie, la Tunisie dépendent de l’Ukraine pour environ 50% de leurs céréales, M. Beasley a noté le revirement stupéfiant.

« Vous passez donc du statut de grenier à pain à celui, littéralement, de devoir leur distribuer du pain. C’est un incroyable retournement de la réalité », a-t-il déclaré.

Le nombre de personnes menacées de famine dans le monde étant déjà passé de 80 millions à 276 millions avant l’invasion de la Russie, en grande partie grâce aux confinements du COVID, ce chiffre devrait encore augmenter ».

Et cela va impacter la France, à cause d’un autre problème, l’importation d’engrais.

En France nous semblons certes en perdition sur de nombreux points (économique, politique, social, etc.), néanmoins nous avons de nombreux avantages :

  • L’énergie (avec le nucléaire nous ne dépendons pas uniquement du gaz russe).
  • Une eau de source abondante (nous ne sommes pas à Dubaï ou Los Angeles, où il n’y a pas d’arrivée d’eau provenant de la nature).
  • 45% du pays est une surface agricole.

Certes, le prix du ticket de caisse du supermarché risque d’enfler et avec la hausse générale des matières premières : carburant, fioul, gaz ça ne va pas aider nos finances, alors que faire ?

Ne pas se fier au semblant de répit offert par Macron et s’adapter

Depuis le 14 mars, l’Empereur Macron nous offre une petite trêve : nul besoin de passe-vaccinal pour se rendre dans les lieux publics, ni de masques (bien entendu juste avant les élections pour nous donner l’envie d’effectuer notre acte citoyen).

De plus, il nous fait ce cadeau alors qu’il est débordé et au bord du burn-out, le pauvre.

C’est la récréation en somme.

Durant cette période, ne misons pas sur l’espoir, mais agissons dès maintenant, car nous sommes déjà seuls.

Peu importe le sort de ces élections, rien ne sera radicalement et rapidement opposé à ce qu’il se passe, et malheureusement l’hyperinflation va venir, alors soyons stratégiques durant cette période où chaque Français écoute scrupuleusement le discours de son candidat préféré.

« Oui, mais alors que faire pour le carburant ? Je dois continuer à travailler et je n’ai jamais assez pour investir ! »

Installez un kit éthanol sur votre voiture (à moins d’un euro le litre), c’est rentable.

Vous consommerez 15% de carburant en plus, mais c’est deux fois moins cher donc cela représente quand même une économie de taille.

Pour les plus débrouillards, vous avez aussi l’huile de friture, mais nous ne pouvons pas vous le conseiller évidemment, car il semblerait que les lobbys n’apprécient pas cette démarche.

Pour en savoir plus sur l’éthanol :

Après ces économies, ne subissez pas l’inflation en investissant sur les matières premières, qui vont tout simplement exploser.

Exploser sur le prix de production/d’importation, mais aussi le prix de vente.

Source : Géopolitique Profonde


- Source : E&R

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