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Jeudi, 26 Déc. 2024

YouTube et Facebook bloquent toute critique de la propagande meurtrière de l’OMS

Auteur : E&R | Editeur : Walt | Samedi, 25 Avr. 2020 - 09h16

Aucune surprise du côté de YouTube, la chaîne de contenus vidéo qui en 15 ans est devenu un ramassis de conneries bien-pensantes et de propagande oligarchique. La semaine où le canon à merde mondial pour ados pré-morts fête ses 15 ans et sa première vidéo, des éléphants dans un zoo, sa directrice à gueule de psychopathe annonce qu’elle éradiquera tout contenu n’allant pas dans le sens de l’OMS, c’est-à-dire de Bill Epstein Gates. Allons-y gaiement, les amalgames sont autorisés par la propagande, qui ne s’en prive pas.

Du côté de Facebook, aucune surprise non plus, tant la multinationale d’Écoute & de Surveillance de la NSA veut formater les esprits dans le sens d’un gouvernement mondial à la 1984.

Désormais, il n’y a qu’une seule parole, celle des officiels élus démocratiquement par une majorité d’andouilles crédules manipulées, une seule médecine, celle de Bill OMS Gates et des médecins qui ont vendu leur cul au Big Pharma, et un seul gouvernement, qui siégera bientôt à Jérusalem. Pourvu que Jacquadit – qui va sur ses 77 ans – soit encore vivant pour voir ça, le Grand Soir des dingos mondialo-eugénistes !

Ce faisant, YouTube et Facebook, le flingue du lobby sioniste mondialiste sur la tempe, sont en train de creuser leur tombe. Ça prendra du temps, mais leur défaite morale est actée ; l’autre défaite, l’économique, suivra. L’Évolution nous enseigne que les dinosaures finissent tous écrasés sous leur propre poids, celui de leurs mensonges pour ce qui concerne Facebook et YouTube.

La conséquence tragi-comique de cette affaire, somme toute prévisible, est que ce sont les humains qui obéissent aux diktats des grandes multinationales de la santé et des médias qui vont souffrir, car ils sont les premières victimes de leur ignorance et de leur naïveté. Ceux qui aujourd’hui vivent dans la peur pour tenter d’être en sécurité ont tout faux : on n’est en sécurité qu’en affrontant le danger, pas en se cachant sous les pierres.

Ceux qui vendent de la sécurité aujourd’hui sont aussi ceux qui produisent de l’insécurité, on le voit avec notre gouvernement de merde qui cherche à réduire toute contestation en France par les trois terrorismes dont il dispose : le terrorisme islamiste sous faux drapeau, le terrorisme policier et le terrorisme virologique. On n’oublie pas le terrorisme médiatique, le rôle des médias mainstream aujourd’hui se réduisant à instiller et maintenir un haut niveau de terreur dans la population.

On assiste actuellement à une auto-sélection des humains en deux groupes, les in conscients et les conscients, entre ceux qui croient et ceux qui ne croient pas l’énorme pipeau globaliste. C’est peut-être pour ça que ces mêmes forces ont tout fait pour effacer Dieu dans la tête de leurs futures victimes, car sans la foi, on n’est plus rien. Notre-Dame n’a pas brûlé par hasard il y a un an. (La Rédaction d’E&R)

Susan Wojcicki, DG de YouTube, a suggéré que la plateforme vidéo pourrait supprimer les contenus qui contredisent les conseils de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le Covid-19.

Dimanche sur CNN, elle a déclaré que YouTube « supprimerait les informations qui posent problème », y compris « tout ce qui est médicalement non fondé ». Par exemple, le contenu qui prétend que la vitamine C ou le curcuma guérit les personnes atteintes de Covid-19 serait « une violation de la politique de YouTube » et serait supprimé.

« Tout ce qui va à l’encontre des recommandations de l’OMS serait une violation de notre politique et donc retiré », a-t-elle poursuivi. Elle n’est pas allée plus loin dans les détails, et on ignore à quel point YouTube contrôle les vidéos qui entrent dans le débat sur les recommandations de l’OMS.

[...]

En mars, YouTube a déclaré qu’il démonétiserait les vidéos sur le coronavirus. Mais est revenue sur cette décision une semaine plus tard, après une réaction brutale de YouTubers mécontents.

Lire l’article entier sur businessinsider.fr

Facebook se dote d’un système d’alerte rétroactif sur les « fake news »

Manger de l’ail protège contre le coronavirus. Le Covid-19 a été créé de toutes pièces par la Chine. L’épidémie est une conséquence du déploiement de la 5G. A partir de ce jeudi, les utilisateurs de Facebook ?qui ont « liké », réagi ou commenté depuis mars les innombrables « fake news » liées au coronavirus recevront sur leur « fil d’actualités » un message d’alerte renvoyant vers le site de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

C’est la première fois qu’un réseau social – de surcroît le premier de la planète, avec plus de 2 milliards d’utilisateurs – se dote d’un tel mécanisme rétroactif et décliné dans toutes les langues. Selon l’ONG internationale Avaaz, qui militait pour que Facebook aille dans ce sens, il s’agirait même de « l’une des mesures contre la mésinformation les plus importantes » jamais prises par Facebook.

Un « vaccin » contre l’« infodémie »

Avec cet outil, « Facebook dispose d’un vaccin contre l’“infodémie” », se réjouit Fadi Quran, directeur de campagne chez Avaaz. Selon des études universitaires américaines commandées par l’organisation, le mécanisme permettrait en effet de réduire entre 50 % et 61 % la croyance dans les « fake news ».

Les utilisateurs de Facebook ne sauront pas précisément à quelle fausse information ils ont été exposés, ni quand. L’interaction devra avoir eu lieu au cours des deux dernières semaines. Autre bémol, les alertes ne concernent que les « fake news » supprimées par Facebook en raison des risques pour la santé des personnes. La plateforme ne dit pas combien de messages seront envoyés dans les prochains jours, mais rien qu’en mars, des « centaines de milliers de contenus » liés au Covid-19 ont été supprimés par le réseau social. L’opération pourrait donc être de grande ampleur.

Pour les « fake news » dont la visibilité a été réduite mais qui n’ont pas été supprimées, le réseau social continuera comme d’habitude à les labelliser, après vérification par ses 60 « fact-checkers », dont l’AFP. 40 millions de posts Facebook ont été signalés de cette façon en mars, selon les chiffres publiés ce jeudi. « Dans 95 % des cas, après avoir vu ces labels, les gens ne cliquent pas sur le contenu », assure Mark Zuckerberg.

Lire l’article entier sur lesechos.fr


- Source : E&R

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