«Epstine» et «Weinstine» mais pourquoi pas «Einstine» ?
On assiste depuis plusieurs semaines, si ce n’est plusieurs mois, à une épidémie d’altération dans la prononciation de la finale stein dans les noms d’origines germaniques cités par les médiateux notamment télévisuels…
Cette altération phonétique des finales se caractérise par la mutation de la prononciation « stein » classique – telle que connue dans Lichtenstein par exemple – en « stine ».
Cette version nouvelle de la prononciation de cette finale n’atteint que des noms propres et de façon tout à fait sélective.
En suivant l’historique de la propagation médiatique de cette épidémie, on peut constater qu’elle a pris naissance dans les médias français et plus spécifiquement ceux de la mouvance pro-sioniste.
Vous me direz qu’ils sont tellement nombreux que cela ne nous avancera pas beaucoup dans notre enquête…
Pourtant i-24 News ou BFM-Tv nous permettent de bien comprendre l’origine du foyer épidémique : la notoriété juive mise à mal par la conduite de quelques individus très peu recommandables, générateurs de scandales aujourd’hui planétaires, et dont le nom est effectivement – selon le terme improprement employé par BHL – considéré « à consonance juive ».
Lorsque BHL avait sorti cette énormité pour attaquer Marine Lepen coupable à ses yeux dans ses meetings de « faire huer des noms à consonance juive » (sic !), j’avais immédiatement réagi alors sur le blog du gourou botuliste « La règle du jeu » dans un commentaire bien senti à la suite de l’article qu’il avait pondu :
https://laregledujeu.org/2012/06/05/10092/marine-le-pen-google-lantisionisme-et-a-larrivee-villeurbanne/
Commentaire, ce qui n’étonnera personne, que l’intéressé n’a évidemment pas eu le courage de laisser, mais que vous trouverez reproduit ci-dessus en capture d’écran (précaution que j’avais prise en le postant).
Donc, la doxa botuliste (ou botulienne ?) nous informe qu’il existerait dans le monde ashkénaze des « noms juifs », comme il en existe plus spécifiquement, cela semble avéré, chez les sépharades ibériques.
C’est ce qui a conduit le Sionistan à contraindre récemment l’Espagne, et le Portugal, au titre de « réparation » pour l’expulsion de 1492 / 1509, à octroyer la nationalité hispanique, ou lusitanienne, systématiquement aux Israéliens qui en feraient la demande, porteurs de noms figurant sur une liste agréée de patronymes considérés comme juifs et sensés donc toujours appartenir à des gens potentiellement juifs…
Ces gens-là furent expulsés après la Reconquista – on ne le répètera jamais assez – non pas pour leur judaïté, potentielle comme les intéressés se plaisent toujours à le souligner, mais pour leur collaboration étroite avérée avec l’occupant maure, ce que ne pouvait accepter l’Espagne enfin libérée par les Rois Catholiques…
https://infos-israel.news/lespagne-a-publie-la-premiere-liste-de-noms-qui-sera-utilisee-pour-donner-la-citoyennete-aux-juifs-sefarades/
Historiquement, on se souviendra qu’en dehors d’une fraction qui s’installa dans le futur monde protestant (notamment aux Provinces Unies), la grande majorité de ces juifs, sans perdre de temps, s’empressa de rejoindre … la Sublime Porte ! Le sultanat ottoman de Constantinople avait juste cinquante ans !
Ils n’ont pas perdu de temps : le judaïsme a toujours prospéré à l’ombre de l’Islam…
Aujourd’hui (re)devenus ibériques, même de très fraiche date, ces séfarades seront de facto accueillis par la péninsule si d’aventure la Palestine les expulsait, étant parvenue en position de reprendre en main sa destinée : c’est la combine imparable qui empêchera les pays concernés de fermer leurs frontières à des populations juives en exil, même et surtout considérées comme indésirables par leurs propres ressortissants.
(Les leçons des années 1945/ 1946 ont porté leur fruits : plus question donc pour les autochtones de prétendre pouvoir refuser d’accueillir ces israéliens, car ils pourront légalement l’exiger en vertu de leur double nationalité…)
L’ennui, lorsqu’un individu a « un nom à consonance juive », c’est qu’il peut se trouver être assimilé à des gens – portant aussi des noms aux mêmes consonances – internationalement poursuivis pour des motifs aussi divers que peu glorieux (escroqueries en tout genre, trafics d’influence) et plus graves (viols, atteintes sexuelles, proxénétisme, pédophilie, trafics de stupéfiants, trafics d’êtres humains et/ou d’organes, voire meurtres… Liste non limitative).
L’existence même de cette « consonance juive» revendiquée va traduire son origine ethnique…
Autrement dit, pour le « peuple élu » (qui désormais n’est plus que « choisi »), c’est une très mauvaise image illustrant la « criminalité judaïque » qui se trouve véhiculée et qu’il importe à tout prix de gommer : vous l’aurez compris, le spectre de l’antisémitisme supposé, que supporterait ladite communauté, est bien plus important que toutes les horreurs commises par ceux de ses membres qui s’en trouvent incriminés…
C’est pourquoi on se lance aujourd’hui dans un véritable « herem médiatique » contre eux : faire surtout oublier qu’ils sont juifs en altérant la prononciation de leur nom pour éviter la fameuse « consonance juive ».
C’est donc ce subterfuge, quelque peu naïf il faut bien le dire, qui est imposé aux médias aux ordres, comme si la finale « stein » prononcée « stine » allait changer quelque chose à la forme de leur kippa…
Cela rappelle les contorsions de biographies récentes de Wikipédia où on n’évoque plus la judaïté des intéressés, mais où on expose très clairement que la mère de l’intéressé est la fille (ou la femme) d’un rabbin.
Navrant !
Ainsi on « déjudaïse phonétiquement » : exit donc Epstein et Wenstein dans les médias.
On ne parlera plus désormais que d’ « Epstine » et de « Wenstine »
Mais, chutzpah oblige, on ne peut laisser « déjudaïser » de grandes figures dont les noms comportent de ces « consonances ethniques » …. Ce sont justement des causes essentielles de fierté !
Ainsi pas question d’oblitérer l’ethnicité d’Enseinstein, de Rubinstein, ou d’Enstein…
On va donc devoir pratiquer un véritable tri sélectif, pour cette finale « stein »….
Bronstein avait eu le bon goût, comme nombre de ses coreligionnaires d’ailleurs, de changer de nom…
Ce qui fait qu’il a commis la plupart de ses exactions sous le nom de Trotski et (trop) peu de gens cherchent à voir plus loin… La question est donc réglée…
Mais ce n’est pas forcément toujours simple à trancher pour « eux »: voyez le cas Goldstein !
Baruch Goldstein est un impitoyable assassin, un terroriste raciste fanatique qui tua en 1994, faisant irruption au caveau des patriarches à Hébron, 29 Palestiniens musulmans en prière et en blessa environ 125 autres avec un fusil d’assaut, avant d’avoir pu être maîtrisé et neutralisé, abattu à coups d’extincteur.
(Les frères Kouachi à Charlie-hebdo font figure de bien pâles apprentis à côté !)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Baruch_Goldstein
Relativisons : le juif américain, naturalisé israélien, Baruch Goldstein, n’a tué que des goyim, des palestiniens musulmans de surcroît. C’est pourquoi aujourd’hui, malgré les protestations molles et convenues de certains hommes politiques israéliens, et l’opposition très réelle par contre d’une partie de la population scandalisée, il est l’objet d’un véritable culte !
Depuis près de trente ans, on va sur sa tombe en pèlerinage ; on y emmène les enfants des écoles!
Les rabbins l’ont déclaré « martyr » et c’est bien écrit dans l’épitaphe gravée sur sa tombe : « Il fut tué en martyr de Dieu »…
Pas question donc de parler de « Goldstine » : le tueur raciste fanatique Goldstein est un héros emblématique juif israélien!
La question qui va se poser est évidemment de savoir si l’on va étendre la « dé-judéisation phonétique » à tous les délinquants notoires, notamment financiers et sexuels, juifs reconnus sinon revendiqués, fatalement évoqués dans les médias internationaux vu l’ampleur de leurs méfaits…
La question est délicate quand Israël donne politiquement l’exemple de la délinquance au plus haut niveau :
– Moshe Karsav, ancien président d’Israël alors démissionnaire, est reconnu coupable de viol en 2010, et fut emprisonné de 2011 à 2016.
– Ehud Olmert, ancien premier ministre, a passé plus d’un an en prison condamné pour corruption…
(Son successeur aux affaires, actuellement encore en fonction, Benyamin Netanyahu, pourrait bien être aussi son successeur en prison sous peu !!!…)
La tâche est en fait colossale !
Ainsi Malka Leifer, réfugiée en Israël, ancienne directrice de l’école ultra-orthodoxe pour filles Adass Israel, à Melbourne, simule des troubles mentaux pour éviter d’être renvoyée en Australie où elle doit être jugée.
Leifer, qui possède la double nationalité australienne et israélienne, fait face à un procès en Australie pour 47 délits d’actes indécents, 13 délits d’agression sexuelle sur mineur, 11 chefs d’accusations de viol et 3 autres chefs d’accusation. Elle a fui l’Australie pour Israël en 2008 dans des circonstances suspectes à un moment où d’autres accusations de pédophilie se faisaient jour…
Va-t-on déjudaïser phonétiquement son nom, par exemple en « Leifre », pour éviter les amalgames récurrents « juifs orthodoxes = pédophiles » ?
En Israël, elle bénéficie d’ailleurs de l’appui inconditionnel d’un rabbin, l’actuel ministre de la santé Yaakov Litzman, qui a tout fait pour empêcher jusqu’ici son extradition sous prétexte d’irresponsabilité mentale !
Un cas de soutien rabbinique à la pédophilie qui est loin d’être unique!
https://www.medias-presse.info/israel-premier-refuge-des-juifs-pedophiles/104672/
C’est tout à fait prévisible quand on connaît les formulations pour le moins équivoques, contenues dans le talmud, codifiant les relations sexuelles entre adultes et enfants : les relations sexuelles sont considérées comme sans importance, sinon explicitement permises, avec des gamines de moins de 3 ans ou des gamins de moins de 8 ans…
Les médias de la presse parlée n’ont donc logiquement pas fini d’altérer la « consonance juive » des noms divulgués de certains délinquants, surtout de délinquants sexuels, de pédophiles en particulier, au nom d’une certaine « bienpensance » ethnique… Les victimes apprécieront…
Lire aussi: La pédophilie dans le Talmud et l'Ancien Testament
- Source : MPI