3 false flags attribués aux islamistes, pourtant commandités par l'Algérie et couverts par la France
Premier cas avec l'enlèvement de 3 agents consulaires de l’ambassade de France en 1993. Une opération psychologique entièrement commanditée par l'Algérie et la France. On nous annonce pourtant au JT qu'ils ont été enlevés par des "islamistes extrémistes à Alger" et que "la police algérienne a donc marqué un point décisif face aux terroristes". Ecoutez Alain Juppé remercier hypocritement les autorités algériennes de l'époque pour leur efficacité dans cette affaire...
Faux coupables et vrais terroristes
Deuxième cas avec les attentats du RER B Saint-Michel en 1995. Cette vidéo d'archive nous indique que la France savait que le gouvernement algérien était impliqué dans les attentats et n'a jamais rien fait pour éclaircir l'affaire. Aujourd’hui encore, l'attentat est officiellement attribué au GIA. Le rôle de l'état français dans cette affaire reste flou à ce jour.
Les services secrets Français responsables des attentats du métro Saint Michel !
Troisième cas avec les meurtres des moines trappistes de Tibhirine en 1996. Autre fait macabre commandité par Alger. Des anciens militaires algériens expliquent qu'en soignant les maquisards islamistes, les moines exaspéraient les patrons du DRS précisément chargés d'éradiquer les insurgés. Que les autorités avaient exigé à plusieurs reprises que les moines quittent Tibhirine, sans succès. Et qu'en 1996, le général Smain Lamari, alors patron de la Direction du contre-espionnage, avait fini par se résoudre à faire enlever les moines sous couvert d'une "opération islamiste de Djamel Zitouni".Selon ces nouveaux témoins, les moines ne devaient pas être tués, mais des soupçons grandissants sur le DRS (ex "sécurité militaire") auraient finalement incité ses patrons à faire éliminer secrètement les moines. La France n'a jamais incriminé l'Algérie.
Avec le recul, on constate d'une part, qu'il y a 20 ans, les médias enquêtaient encore volontiers sur ce type d'affaire quitte à mouiller les hautes sphères de l'état (certaines enquêtes sont signées Canal plus hmm hmm). Aujourd'hui, ce type de démarche serait impensable. Soit ils ne commenceraient même pas ces reportages soit ils ne les diffuseraient pas. On les accuseraient de complotisme, tout simplement.
D'autre part, cela démontre que la France et l'Algérie, comme bien d'autres pays, trempent amplement dans les psy ops et autre opérations sous faux drapeaux. La stratégie de la tension a été largement utilisée ces dernières décennies et reste d'actualité à n'en pas douter.
- Source : Fawkes News